3 traits qui rendent pauvres les hommes

J’ai voyagé dans 116 pays et j’ai remarqué quelque chose chez TOUS les êtres humains.

C’est que tu sois équatorien, ougandais, thaïlandais, biélorusse, estonien, français, saoudien, mexicain ou que sais-je, la quasi-totalité des êtres humains ont les mêmes croyances limitantes.

Des croyances limitantes qui empêchent de réaliser et d’accomplir certaines choses. Je te partage dans cette vidéo les 3 traits humains que j’ai le plus rencontré. Fais particulièrement attention au 3ème profil que je vais te partager.

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3 traits qui rendent pauvres les hommes

Retranscription de la vidéo :

Les amis, bienvenue sur cette nouvelle vidéo. Nous sommes en direct d’Asunción, au Paraguay.

Laisse-moi te montrer rapidement la vue. Ici, on est sur le toit de l’hôtel. C’est une vue très jungle. Un petit peu comme Panama, où il y a beaucoup de verdure, où tu sens que c’est une ville qui sort « de la forêt ».

J’espère que tu m’entends bien entre la musique derrière moi et le vent. Par mesure de sécurité, je vais sûrement aller tout de suite à l’intérieur pour la suite de la vidéo.

Mais, on va parler aujourd’hui de 3 traits qui rendent « pauvres » les êtres humains. Ce constat, il vient d’une réflexion que j’ai eu, par exemple, en marchant ce matin ou hier dans les rues, ici, d’Asunción où je me disais qu’en fait, partout où je suis allé dans le monde.

Et je suis allé dans 116 pays, aujourd’hui, donc ça commence à faire, que ce soit en Amérique du Sud, en Inde, en Equateur, en Thaïlande, au Kirghizistan, en Biélorussie, en Europe, partout dans le monde, en Afrique.

En fait, je me rends compte que les êtres humains sont globalement plus ou moins tous les mêmes. C’est-à-dire qu’on a beau avoir des différences physiques, on a beau penser différemment sur certains sujets, quand il s’agit de penser à sa propre vie, à ses propres opportunités, à comment on peut gagner plus d’argent, être plus heureux, être plus épanouis, grandir, etc., je me rends compte que tous les êtres humains ont les mêmes croyances limitantes, ont les mêmes blocages qui sont bien souvent malheureusement inconscients.

Et, aujourd’hui, dans tous mes voyages, 116 pays, tu imagines bien que j’ai parlé à tout un tas de personnes, des centaines, si ce n’est des milliers de personnes sur mon chemin, sur ma route, que ce soit des chauffeurs de taxis, que ce soit des nanas que j’ai rencontrées à travers des dates qui sont devenus, certaines, des relations un peu plus profondes, que ce soit un vendeur de carte SIM, un mec à l’aéroport, un mec croisé dans la rue au hasard.

Bref, j’ai tout un tas de retours d’expérience assez concrets de différentes nationalités. Et, je me rends compte qu’il y a vraiment 3 paramètres, il y a vraiment 3 types de personnes, aujourd’hui, qui fait que les gens se bloquent, s’auto sabotent. Et je te propose que j’aille tout de suite à l’intérieur pour qu’on partage ces 3 traits.

1. Ne pas se rendre compte de sa chance

On se retrouve dans la chambre où au moins vous allez avoir la certitude d’avoir un bon son. Le premier trait que j’ai remarqué, c’est le fait de ne pas se rendre compte de la chance que les gens ont déjà d’être dans la situation dans laquelle ils sont et de ce qu’ils ont également déjà.

Alors, en fait, quand tu voyages dans les pays, notamment, du tiers monde, pauvres, pays émergents, il y a une question que les gens ont envie de te poser assez rapidement, c’est : Est-ce que tu aimes mon pays ? Et, comment c’est « chez toi » ? Comment c’est en France, comment c’est en Europe ? Je rêverais d’aller en Europe, je rêverais d’aller en France, de voir peut-être Paris, etc, etc…

Bref, il y a des images toujours préconçues, avec les films, les séries et compagnie. Et, en fait, les gens idéalisent ce qu’ils n’ont pas. C’est-à-dire que si ça t’arrive également, certainement. Moi, ça m’arrive également souvent.

On a souvent tendance à idéaliser la vie des autres, à s’imaginer tout un tas de choses, penser que les choses se passent de telle façon. Alors que la réalité, elle est bien souvent tout autre et souvent bien moins belle.

Par exemple, vous qui me regardez, vous pourriez avoir tendance, également, à penser que ma vie elle est incroyable, que je suis tout le temps dans un 5 étoiles, que je gagne de l’argent très facilement tout le temps tous les jours, que je n’ai aucun stress, aucun problème, aucune difficulté. Parce que sur les réseaux c’est un peu ce qu’on voit malheureusement, et ce qu’on a tendance à mettre en avant. Mais, la réalité, elle est surement bien moins belle que ce que les gens imaginent. Parce que sur YouTube, on parle d’argent, de devenir millionnaire, de start-ups, de tout ce que j’ai pu accomplir, etc…

Mais, évidemment, personne n’a une vie qui est parfaite de A à Z.

Et donc, en fait, je me suis rendu compte qu’il y a vraiment ce trait qui est présent chez tous les êtres humains de l’Amérique du Nord à l’Asie du Sud-Est, vraiment dans le monde entier, c’est que les gens ne se rendent pas compte de la chance qu’ils ont, de ce qu’ils ont déjà, de ce qu’ils ont pu acquérir, de ce qu’ils ont pu atteindre.

Et, ça, ça marche même pour quelqu’un qui est dans un pays pauvre. Parce que, en fait, on se rend compte que même dans les pays émergents, les gens ont souvent l’essentiel, c’est-à-dire boire, manger, pour certains, une famille heureuse avec de l’amour, des choses comme ça qui sont parfois bien plus importantes que l’argent. Les deux sont évidemment importants.

Mais, les gens ne se rendent pas compte des fois, qu’ils ont une tranquillité d’esprit, que vivre dans une grande capitale comme Paris, ou New York, ou Miami, ce n’est pas toujours reposant, parce qu’on est sans cesse sollicité, il y a sans cesse du mouvement, des tentations, des gens plus riches, des gens plus beaux, des gens qui ont fait plus que nous.

Donc, voilà, vraiment, chose très importante, à retenir dans ce premier trait, c’est : ne pas se comparer, ne pas imaginer que la vie sera toujours mieux ailleurs, que l’herbe est plus verte ailleurs. Donc, là, je ne vous parle pas d’impôts ou de choses comme ça. Là, on pourrait avoir à débattre sur ce sujet.

Mais globalement, revenez à l’essentiel, et comprenez que vous avez potentiellement déjà bien plus que la majorité des gens et que vous avez déjà un équilibre de vie potentiellement pas si dégueulasse que ce que vous imaginez.

Alors, attention, encore une fois, si vous êtes dans la rat race, que ça vous soule, que ça vous casse la tête de vous lever à 7 h du mat, d’aller prendre un métro, d’être dans les bouchons, etc…, évidemment, ça peut être difficile de relativiser. Et, il faut faire quelque chose pour sortir de ça parce que vous avez toutes les clés, aujourd’hui, nécessaires pour pouvoir sortir de ça.

Mais, rendez-vous compte quand même un petit peu de la chance que vous avez d’être sur cette planète Terre, de respirer, d’être en bonne santé.

Moi, je me lève tous les matins, j’ouvre mes volets, je regarde dehors, je me dis : « Mais, quelle chance d’avoir une nouvelle journée sur cette planète, de voir du monde dehors, de voir la vie, les odeurs, de voir des choses ». Donc, ça, soyez conscients de ça.

2. Ne pas choisir les opportunités

Deuxième chose, c’est de ne pas saisir les opportunités alors qu’elles sont déjà là.

Alors, il y a beaucoup de gens, encore une fois, dans tous mes voyages, qui me disent : « Ouais, mais, c’est difficile, ouais, mais, je ne peux pas, ouais, mais, là, j’ai ça qui bloque, j’ai la famille, je n’ai pas assez d’argent mais je le ferais plus tard, là, je fais des études ».

Tu sais, il y a souvent un meme qui traine sur les réseaux sociaux, un petit peu Twitter et compagnie, du : « Je le ferais, tu sais, tu as 20 ans et tu te dis, je le ferais après mes études. Après, tu as 30 ans, je le ferais quand j’aurais un peu plus d’argents parce que là, je viens juste de trouver un travail. A 40 ans, je le ferais quand mes enfants seront grands. A 50 ans, je le ferais quand je serais à la retraite. Et, quand je serais à la retraite, je le ferais quand je serais mort. »

J’ai mal raconté, mais l’idée elle est là, c’est qu’à toutes les étapes de la vie, il y a toujours une raison pour ne pas faire la chose maintenant. Il n’y a jamais de moment idéal, on a toujours le sentiment qu’il faut attendre un petit peu quand les choses seront meilleures, que ce soit conditions financières, d’avoir plus de temps, etc…

Mais, la réalité, c’est que ce moment parfait n’arrivera jamais. Comme je le dis souvent, les étoiles ne s’aligneront pas dans le ciel pour vous. Il n’y aura personne qui viendra vous voir un jour, un beau matin, toquer à votre porte et vous dire : « Raph, c’est le bon moment, tu dois y aller, tu dois le faire ». Il n’y a pas un mec dans la rue, avec un chapeau et qui va vous dire : « Vas-y, c’est bon, c’est maintenant ».

Donc, il faut commencer tout de suite. Et, souvent, ces gens qui pensent ne pas avoir d’opportunités, ne se rendent pas compte qu’il y en a tout un tas autour d’eux.

Plein de fois, dans certains pays où je suis allé, les gens me disent, mais, moi, je ne vois pas ce que je pourrais faire, je n’ai pas d’opportunité. Et, en fait, moi, quand je marche dans les mêmes rues que ces personnes, je vois énormément d’idées, de potentiels, de manques à combler, de comment je pourrais m’en sortir.

Parce que moi, j’aime bien me poser la question quand je vais dans des pays qui sont pauvres, émergents, me dire : « Si je devais recommencer de zéro, ici, qu’est-ce que je ferais ? Là, maintenant, avec mes compétences et mon cerveau, et me mettant dans la place d’un local qui n’a pas forcément beaucoup d’argent pour commencer, qu’est-ce que je ferais ? »

La réalité, c’est qu’il y a quand même internet. Donc, déjà, même si tu n’as pas d’ordi, tu vas dans un cyber-café, ou tu squattes avec ton téléphone le wifi d’un café, ou d’un centre commercial, tu peux commencer à te connecter à internet. Enfin, bref, moi, je vois plein d’opportunités pour commencer à faire des micro-trucs qui ne me feraient pas gagner énormément d’argent, je ne vais pas te mentir. Je ne suis pas en train de te dire que dans certains pays qui sont compliqués, je vois des opportunités à un million de dollars tout de suite, ça serait mentir et me faire passer pour un mec prétentieux.

Mais, je vois toujours des petits moyens de subvenir, de commencer à créer des petits business, de commencer à générer des premiers dollars, que tu pourrais réinvestir dans d’autres choses, etc., etc…

Le problème, ce n’est pas forcément le marché dans lequel les gens sont, c’est tout simplement, en fait, un manque de vision. Les gens ne perçoivent pas l’opportunité.

Alors, pourquoi ? Tout simplement, parce qu’ils n’ont potentiellement pas grandi dans un cercle qui fait que la famille était entrepreneur, les parents entrepreneurs. Ils sont peut-être, ils n’ont pas cette vision, on ne leur a pas appris à déceler les opportunités, à réfléchir comme un entrepreneur, un investisseur. Et à penser un petit peu par eux-mêmes.

Alors, ça peut paraître un petit peu contre-intuitif, parce que tu as énormément de gens dans les pays émergents qui sont finalement des entrepreneurs puisqu’ils n’ont pas le choix. Si tu vois, dans la rue, ici, au Paraguay, à Asunción, il y a beaucoup de gens qui vont te vendre des trucs dans la rue, ça peut être des chaussettes, de la nourriture, évidemment. Ça peut être tout et n’importe quoi.

En Amérique du Sud, les gens te vendent tout et n’importe quoi. Le pays où j’ai le plus vu ça c’est en Equateur, où, littéralement, tu as l’impression que toute la population est entrepreneur indépendant et vend quelque chose dans la rue. Un petit service, un coton tige, un stylo, ce que tu veux. Mais, ils essaient de s’en sortir.

Mais, voilà, ça reste du business, entrepreneur, survie où on vend du bien, des nécessités premières pour essayer de subvenir, de boucler les fins du mois comme on dit. Mais, ce n’est pas encore des gens qui ont cette vision plus entrepreneuriale où ils vont se dire : « Si j’arrive à vendre tant d’arepas, de nourritures, je vais essayer d’ouvrir un deuxième point de vente et puis, je vais essayer de mettre quelqu’un qui va pouvoir m’épauler ». Non, ils n’ont pas cette vision de grandir, de se dire je peux en faire un business.

Donc, en fait, il y a des opportunités partout, ce que tu peux retenir, toi, ici, sur ce deuxième trait, c’est que les opportunités sont bel et bien présentes partout dans le monde que tu sois à Paris, en Equateur, au Venezuela, en Thaïlande, en Corée du Sud. Il y a des opportunités partout. Et les gens ne les saisissent généralement pas, soit parce qu’ils n’ont pas encore la vision, ils n’ont pas été entourés.

Ils ne se sont pas entourés de personnes qui sont un peu plus dans la mentalité entrepreneur soit parce qu’ils se voilent la face et ils préfèrent trouver des excuses. Ce que les gens font beaucoup malheureusement soit disant, ce n’est pas maintenant le bon moment, je le ferais plus tard. Quand ? Quand j’aurais plus d’argent, quand je serais plus en forme, quand j’aurais ci ou ça. Okay ? Ça c’était le deuxième trait.

3. Les gens qui pompent ton énergie

Le troisième trait que j’ai repéré chez beaucoup de personnes dans le monde entier, encore une fois, c’est que les gens sont ce que j’appellerais des suceurs de calories. Donc, ça c’est les gens qui pompent ton énergie mais ne fournissent rien. Alors, pourquoi je le cite ici, comme étant un troisième trait parce que surtout, c’est ce genre de personnes qui peuvent te freiner littéralement dans la réalisation de tes objectifs.

Je m’explique : ça peut être sous la forme de femmes et d’hommes. C’est-à-dire que moi, je suis un homme. Donc, j’ai rencontré des femmes, mais, j’ai rencontré aussi des hommes et je vois ce trait chez les 2 sexes.

Les femmes, ça va tout simplement être, pour moi en tant qu’homme, des femmes qui sont intéressées par l’argent, qui vont demander beaucoup d’énergie, beaucoup d’attention, et qui vont nécessiter un niveau de dépenses plus ou moins élevé mais où tu te rends compte qu’au quotidien, ça suce ta calorie.

C’est-à-dire qu’il faut toujours leur en donner, sous forme d’attentions, d’argent, etc, etc… Et, en face, si tu n’as pas forcément d’intérêts très pertinents à avoir ce genre de personnes à tes côtés parce que leur apport personnel est assez limité. Et, niveau homme, ça va être des gens qui vont t‘influencer dans le mauvais chemin, dans la mauvaise direction avec des tentations tout le temps, en mode « on sort, on boit, on fait ci, on va au casino, on va fumer ».

Bref, avoir toujours des trucs à faire mais qui ne sont pas productifs. Et, même qui potentiellement, peuvent te détruire, te saboter. 

Donc, dans les 2 sexes, tu as des suceurs de calories, ça prend, ça prend, ça prend, ça consomme ce que tu as généré avec ton sang, ton énergie, ta sueur. Et, en face, le bénéfice de ces personnes pour toi, parce qu’encore une fois, une relation humaine ça reste quand même une relation win – win, tu ne traines pas avec des gens simplement parce que « tu as envie ». Il y a quand même un intérêt mutuel qui soit conscient ou inconscient.

Les gens autour de toi t’apportent quelque chose. Sinon, il n’y a aucun intérêt que tu sois avec ces gens-là.

Et donc, tu as beaucoup de suceurs de calories qui n’apportent rien mais qui eux, adorent prendre. Donc, tu vois, ça ce n’est pas un équilibre qui est viable. Toi, en tant que personne, tu dois donner, tu dois prendre et il faut trouver cet équilibre pour que tout le monde soit content et puisse trouver finalement là où est la valeur pour tout le monde.

Donc, il faut faire très attention à ça et savoir très vite identifier les suceurs ou les suceuses de calories parce que ce n’est clairement pas viable. On n’est pas là pour bosser et prendre des risques pour qu’on viennent tout nous prendre sans, derrière, avoir un bénéfice.

Moi, je veux bien donner mais il faut que derrière tu puisses m’apporter quelque chose. Encore une fois, il n’y a rien de gratuit dans la vie. Et là, ça marche pour une relation amicale, une relation amoureuse, une relation professionnelle. Voilà, il faut qu’il y ait du win – win, et ça, vous devez toujours comprendre ça quand vous vous adressez à quelqu’un, à un autre être humain. Quelle est la relation win – win que vous avez ?

Alors, je ne suis pas en train de dire qu’il faut toujours faire des contrats avec les gens. Des fois, on peut être simplement bienveillant, gentil par pure volonté, on se dit : « Cette personne je vais l’aider », je ne suis pas une personne en difficulté dans la rue. Tu peux l’aider d’une façon ou d’une autre en lui donnant de l’argent, ça peut être, même, donner une direction à quelqu’un dans la rue. Finalement, il n’y a plus un contrat en mode : « Okay, je te dis où est la gare mais par contre, tu dois, toi, me faire quelque chose en retour ». Non, on n’en est pas là.

Mais, globalement, pour des relations un peu plus profondes etc, vous devez toujours faire attention à ne pas attirer des gens qui vont vous sucer la calorie, okay, et pas autres choses les amis.

Donc, voilà, c’étaient vraiment les 3 traits à retenir, je pense, de cette vidéo, en tout cas, que moi, j’ai vu dans ces 116 pays.

C’est que les gens ne se rendent pas compte de la chance qu’ils ont déjà de ce qu’ils ont, de ce qu’ils ont pu faire. De ne pas saisir les opportunités alors qu’en fait, elles sont là et les gens se voilent souvent la face pour ne pas les saisir parce qu’encore une fois c’est trop dur, c’est la faute à un tel, c’est la faute à mes parents, c’est la faute au gouvernement, c’est la faute à la vie, à cette pute de vie. Et, troisième trait, c’est éviter les suceurs de calories.

Donc, voilà les amis, dites-moi dans les commentaires ci-dessus si vous avez, pas mal voyagé ou même un petit peu voyagé, si vous avez repéré ces traits chez les gens. Mais, même si on est France, on les voit, il y a toujours des gens qui veulent tout nous prendre sans rien donner. Et, il y a des gens qui ne voient jamais les opportunités ou qui blâment toujours les autres et puis, il y a des gens qui ne sont jamais contents de ce qu’ils ont alors qu’ils sont en France et qu’ils ont tout un tas d’avantages qui sont devenus tellement normaux et considérés comme acquis qu’on ne les considère même plus comme étant des avantages surtout quand on n’a pas pu voir ce qui se passe ailleurs dans le monde entier. Je pense à l’Inde, au Bengladesh, les Philippines et pleins d’autres pays « pauvres » où je suis allé.

Donc, voilà les amis, dites-moi tout ça dans les commentaires ci-dessus. Partagez cette vidéo à vos amis, peut-être que ça leur fera du bien pour leur faire comprendre qu’au bout d’un moment, c’est à l’intérieur, ici, que ça se passe si on veut avancer et grandir dans la vie.

Et je te dis à très très vite. Lis-bien la barre de la description également. A très vite. Ciao ciao.