5 risques sous-estimés des trackers (ETF)

Enormément de particuliers adorent investir dans les trackers car ils ne comprennent pas grand chose à la bourse et/ou n’ont pas beaucoup de temps. Et c’est très bien car, au moins, ils investissent.

Toutefois, beaucoup d’investisseurs ignorent quelques risques propres aux trackers (ETF). Quand j’entends que placer un tracker qui réplique le S&P500 dans un PEA pour bénéficier du meilleur des deux mondes (la performance américaine et la fiscalité du PEA), je me rends compte que beaucoup d’investisseurs ne se rendent pas compte de ce que ça implique et c’est très grave.

Je te partage donc dans cette vidéo 5 risques autour des trackers que j’estime être sous-estimés.

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5 risques sous-estimés des trackers (ETF)

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Retranscription de la vidéo :

Les amis, il va falloir qu’on parle très sérieusement aujourd’hui, parce qu’il y a beaucoup d’investisseurs, soit ils sont très fort pour me trigger soit ils n’ont rien compris et je suis face à des investisseurs de pacotille.

Mais, j’en ai marre d’entendre des gens me dire : « Raph, tu es trop bête, on peut investir dans un PEA sur un tracker qui réplique le S&P500. Comme ça, on a le meilleur des 2 mondes. On a la performance des marchés américains, mais je reste dans mon PEA magique, cette enveloppe fiscale magique où je ne vais pas subir de fiscalité ».

Donc, si les gens me disent ça pour me trigger, jusqu’à ce que j’en fasse une vidéo, bravo à vous, vous avez réussi.

Mais, par contre, j’ai quand même peur qu’en fait, beaucoup d’investisseurs ne comprennent pas du tout ce qu’ils font, que je sois face à des investisseurs « de pacotille » qui n’ont même pas pris 5 minutes pour se renseigner sur ce qu’ils achetaient réellement au sein de leur PEA. Et, ça, ça fait quand même bien peur surtout quand, après, on les voit crier sur tous les toits, prétendant avoir trouvé la solution magique.

Je le rappelle, le PEA est une enveloppe fiscale créée par le législateur français, pour investir dans des entreprises françaises ou européennes dans un but de stimuler les entreprises et l’investissement dans les entreprises françaises ou/et européennes.

Il n’y a pas de cadeau fiscal pour que tu ailles investir aux Etats-Unis, en Inde, en Australie ou que sais-je et qu’en plus de ça, l’Etat te donne un avantage fiscal. Voilà, à l’heure surtout où on cherche de l’argent et des impôts partout, il n’y a pas de cadeau.

C’est une niche fiscale comme on l’appelle mais il ne faut pas croire que c’est aussi simpliste que ça.

Donc, les amis, dans cette vidéo, je vais te partager 5 risques sous-estimés autour des trackers et je te garde le plus important, celui que j’ai l’impression que tout le monde néglige, pour la fin. Donc, reste bien jusqu’à la fin de la vidéo.

Si tu me connais ou pas, moi, je n’aime pas du tout les trackers. J’investis uniquement dans des actions en direct. J’ai investi pour à peu près 1.050.000 dollars d’actions à dividendes. Et, je n’ai jamais acheté de ma vie des trackers.

Je peux comprendre que certains aiment ça. Moi, je n’aime pas du tout pour 2 raisons. La première, c’est que je déteste payer des frais pour maintenir mon patrimoine. Et, que la deuxième raison principale, c’est que je déteste mettre un intermédiaire entre ce que je détiens moi et mes actifs. C’est-à-dire que moi, mon patrimoine, je le détiens en direct, mon immobilier, mes actions, mes cryptos, mes start-ups.

Voilà, plus il y a d’intermédiaires, plus ça complexifie les choses. Et, un tracker c’est un intermédiaire. C’est une société commerciale, c’est un émetteur qui est entre toi et tes actions. Et, donc, il y a un risque supplémentaire.

On ne va pas développer ça puisque j’en ai déjà parlé en large, en long et en travers sur pleins d’autres vidéos YouTube, dans mon livre « La Magie des dividendes » que tu peux retrouver dans la barre de description où j’explique en détails pourquoi je n’aime pas les trackers. Mais, en tout cas, on va dire que ce sont les 2 raisons principales pour lesquelles, personnellement, je n’aime pas les trackers.

Dans cette vidéo, je vais te partager, sans animosité, parce que je sais que le débat, il est toujours là, tracker, stock-picking… Les gens veulent toujours faire un débat, « tu ne battras pas le marché, blablabli, blablabla ».

Le but n’est pas de battre forcement le marché quand on investit dans des actions en direct. Encore une fois, il faut arrêter de croire qu’on cherche forcément à battre le marché. Ça peut être d’autres raisons, d’autres objectifs derrière un investissement autre que devoir systématiquement avoir la prétention de battre le marché. Okay ?

  1. Changement de politique de gestion du tracker

Alors, 5 risques. Par lequel je commence ? Le premier. Je vous ai dit, je garde vraiment le plus important celui qui me rend un petit peu fou, et qui me fait dire que les gens ne comprennent pas réellement ce qu’ils font, pour la fin. Donc, reste bien jusqu’à la fin.

Le premier c’est le changement de politique de gestion du tracker. Encore une fois, comme je vous l’ai dit à l’instant, il y a un intermédiaire entre tes actions et toi. C’est ce qu’on appelle le tracker, l’émetteur de ce tracker, qui, lui, a une politique commerciale de gestion.

C’est une entreprise qui est là pour faire des bénéfices et elle peut changer sa politique de gestion du tracker. Ce n’est pas un risque qui est à sous-estimer. Ce n’est pas quelque chose qui n’est jamais arrivé. On l’a déjà vu.

Parmi les changements de politique de gestion, ça peut être quoi ? Ça peut être le fait de passer d’une réplication physique à synthétique. Donc, si tu ne maitrise pas ces termes, je t’invite à te renseigner sur ce que c’est. Mais, en gros, ce que va acheter cet émetteur pour mettre au sein de son tracker, la réplication peut être physique et passer une réplication synthétique.

Ça peut être pour intégrer des critères ESG de gouvernance, sociales, environnementaux, parce qu’il y a de la pression externe. Ça arrive qu’il y a des émetteurs de trackers qui ont de la pression externe et qui se mettent à appliquer des critères tels que ce ESG.

Ou encore, ça peut être un mode de changement dans la distribution, par exemple, des dividendes. On peut passer par exemple d’un ETF qui serait capitalisant à un ETF qui devient distribuant. C’est déjà arrivé également dans le passé et dans ce cas-là, toi, en tant qu’investisseur, tu n’as aucun mot à dire dessus parce que c’est cet émetteur qui décide ce qui va se passer pour toi.

Donc, premier risque, changement politique autour de la gestion du tracker.

  1. Effet mouton

Deuxième risque, ça peut être ce qu’on appellerait l’effet mouton et les conséquences que ça pourrait avoir. Malheureusement ou pas, encore une fois, un tracker c’est un bel outil qui fait que beaucoup de particuliers qui ne s’y connaissent pas forcément en bourse vont préférer acheter un tracker plutôt que de s’embêter à essayer de comprendre ce qui se passe à droite et à gauche. Et, comme je dis toujours, mieux vaut faire ça que de ne rien faire, que de ne pas investir.

Mais, par contre, vu que ce sont souvent des particuliers peu ou moins éduqués avec un peu moins de connaissances, etc, on peut avoir ce qu’on appelle un effet mouton en cas de panique.

Si demain, il y a une grosse crise, et que ça fait peur à tout le monde, il y a une récession, une panique mondiale, etc…, ces gens-là, généralement, un peu moins éduqués, vont avoir tendance à revendre plus rapidement. Ça va créer de la panique parce qu’il va y avoir des ventes massives.

Et, donc, ça va amplifier la baisse puisque les trackers détiennent un panier d’actions où répliquent totalement un indice. Donc, une vente massive de produits tels qu’un tracker, un ETF, peut accélérer l’ensemble du marché vers le bas.

Donc, ça, ce n’est pas un risque à sous-estimer également. Alors qu’en tant qu’investisseur, on ne peut pas forcément contrebalancer. Parce que c’est comme ça que ça a été construit, le système autour des trackers.

Mais, aujourd’hui, les trackers sont devenus tellement puissants, tellement utilisés par énormément de personnes que ça devient un réel risque qui est documenté, ça devient un risque systémique comme on le dit. Okay ?

Donc, savoir que ça peut amplifier vos pertes en cas de paniques sur les marchés.

  1. Augmentation des frais

Troisième chose, ça va être l’augmentation des frais. Encore une fois, il y a cet émetteur. Cet émetteur, il fait ce qu’il veut. C’est-à-dire que demain, s’il vous dit : « Là, tu payais 10, maintenant, je veux que tu paies 20, voilà, c’est comme ça ».

Donc, c’est déjà arrivé aussi dans le passé. Ce n’est pas un risque que je vous sors comme ça, « sorti de mon chapeau » pour vous faire peur, c’est des choses qui sont déjà arrivées avec, notamment, BlackRock qui a augmenté ses frais sur un ETF de croissance. Ou l’XEA également qui en 2020, a augmenté ses frais sur un tracker qui était, lui, orienté sur les marchés émergents.

Donc, si demain, votre tracker, il vous dit : « Ce que tu payais là, ce n’est plus ce que tu as payé mais ce sera plus », tu n’as rien à dire. Avec l’action en direct que tu as pu acheter, une fois que tu l’as acheté, tu n’as plus rien à payer, elle est à toi, elle est stockée dans ton compte-titre. Il n’y a plus aucun frais.

Donc, ça, il faut être conscient que tu peux être victime, encore une fois, de cette politique de gestion de ton tracker, de cet émetteur qui peut changer sa méthode de gestion mais peut aussi changer ses frais parce que c’est une entreprise commerciale. Et, elle peut vouloir décider de faire plus de blé, ou de contre balancer des frais supplémentaires qu’elle a et te facturer plus de frais.

Donc, même si les frais sont globalement faibles, attention, encore une fois, il y a beaucoup de gens qui sous-estiment la puissance de ces frais, qui eux aussi, vivent ce qu’on appelle les intérêts composés, qui sur le long terme, sur 20 – 30 – 40 ans ou plusieurs millions de dollars, centaines de milliers de dollars investis représentent énormément d’argent.

  1. Fermeture ou fusion potentielle

Le quatrième point, avant d’arriver sur le dernier et le plus important, c’est, potentiellement, la fermeture ou la fusion de ce tracker. Alors, encore une fois, sur des trackers principaux qui vont répliquer l’indice du S&P500, ou les gros indices mondiaux, il y a extrêmement peu de chance que ça arrive. Parce qu’il y a tellement d’actifs sous gestion, ce sont tellement des trackers qui sont demandés, voire les principaux dans lesquelles des particuliers vont aller investir. Il y a extrêmement peu de risques.

Il faut savoir, encore une fois, que l’émetteur d’un tracker, c’est une société commerciale qui a pour but de faire de l’argent. Et, donc, des fois, il peut y avoir une décision commerciale d’arrêter de commercialiser un tracker parce qu’il n’y a pas assez de volumes, il n’y a pas assez d’intérêts ou de faire une fusion.

Et, dans ce cas-là, tu pourrais être, encore une fois, dépendant de cette décision et devoir réallouer soit ton cash, tes actifs, ou subir une nouvelle gestion en cas de fusion entre 2 trackers.

Donc, ça, c’est également quelque chose à ne pas négliger. Mais, un peu plus anecdotique, on ne va pas se le cacher, surtout si tu investis sur des trackers qui répliquent le S&P500 ou le NASDAQ ou que sais-je, ou un indice World.

  1. Le point le plus important

Beaucoup de gens qui investissent dans un tracker qui réplique justement le S&P500, donc, l’indice américain à travers un PEA, ont le sentiment d’avoir trouvé la réponse magique. « Je ne paie pas d’impôts, les dividendes ne sont pas fiscalisés, j’ai un ETF capitalisant, et je profite de la performance des marchés américains qui délivrent évidemment bien plus de performance », et on l’a très bien vu sur l’année 2024, que les marchés européens ou français.

Alors, est-ce que c’est une solution magique ? Ma réponse, malheureusement, c’est que c’est loin d’être une solution magique puisque beaucoup de gens ne se rendent pas compte qu’en faisant ça, ils ne détiennent ni d’actions américaines ni non une diversification en dollars.

In fine, ce qu’ils ont au sein de leur PEA, c’est un tracker qui a acheté des actions européennes en euros. Toi, tu me diras : « Attends, attends, Raph, comment ça ? Moi, mon tracker me dit que j’investis dans un ETF S&P500, tu es en train de me dire que j’ai des actions européennes et j’ai des euros ».

Oui, c’est la réalité. Puisqu’encore une fois, un PEA ne te donne l’autorisation de n’investir que dans des actions françaises ou européennes. Donc, penses-tu réellement que les trackers ont un passe-droit pour pouvoir faire ce qu’ils veulent ? Non. On a beau s’appeler BlackRock ou que sais-je, on ne fait pas ce qu’on veut.

Donc, ce qui se passe, en fait, c’est que tu vas détenir des actions européennes généralement, donc, émises par des banques qui vont répliquer la performance du S&P 500 via des mécanismes de swap. Ce sont des produits dérivés.

Déjà là, je vais peut-être te perdre, mais, grosso-merdo, ton tracker, l’émetteur de ton tracker achète des actions européennes qui vont être « échangées » via ce swap, un contrat dérivé pour quelque chose qui réplique la performance du S&P500.

Donc, à ça, tu ajoutes, en fait, déjà un risque de contrepartie, un risque potentiellement de faillite parce que l’émetteur, il y a un risque supplémentaire au niveau de ce produit dérivé.

Généralement, quand tu as déjà les termes produits dérivés et swap, ça devient un peu compliqué, ce n’est pas terrible. Mais, l’idée c’est qu’en fait, tu n’as aucune diversification et tu es investi en euro.

Donc, en fait, quand ton idée c’est de se dire : « Je veux profiter de la performance des marchés américains, et avoir une diversification supplémentaire par rapport à l’euro », parce qu’on voit également très bien ce que donne l’euro en Europe, ta solution magique d’investir à travers un PEA dans un ETF qui réplique soi-disant le S&P500 ne fonctionne plus du tout. Parce que les ETF qui sont éligibles aux PEA, pour répliquer le S&P500 sont des ETF synthétiques. Ils ont des réplications synthétiques et non pas physiques.

La réplication physique va acheter pour de vrai les actifs américains, les actions américaines cotées en dollars. Une réplication synthétique va devoir acheter des produits dérivés à travers des swaps, donc, qui ne sont pas du tout des actions américaines mais pour le coup des actions européennes en euros.

Donc, attention, encore une fois, malheureusement, et je ne pense pas que je me trompe en disant ça, je sais qu’énormément d’investisseurs, notamment sur Twitter et compagnie qui se vantent d’avoir compris quelque chose de fou, d’avoir trouvé une solution magique pour pouvoir investir sur les marchés américains, à travers leurs PEA, ne comprennent probablement pas qu’ils sont en train d’acheter un ETF avec une réplication synthétique, libellé en euros.

Et, ce ne sont pas du tout des actions américaines que vous détenez mais des actions européennes.

Voilà les amis, pour les 5 risques sous-estimés des ETF. Encore une fois, les ETF ne sont pas forcément mauvais. Il faut juste être conscient que ça apporte quand même quelques couches supplémentaires de risques par rapport à une détention en direct qu’on est prêt à assumer ou pas.

Voilà, il y a les frais, on ne détient pas en direct les actions, on est dépendant de la politique de gestion de l’émetteur en terme de frais, en termes de changement de direction, etc., etc… Il faut en être conscient. Il ne faut pas forcément en avoir peur mais il y a plus de risque qu’une détention en direct des actions.

Voilà les amis, dites-moi dans les commentaires ci-dessous si vous étiez au courant de ce dernier point. Je ne sais pas si les gens qui n’étaient pas au courant le diront. Mais, en tout cas, j’ai fait mon devoir d’avertir. C’est aussi ça YouTube. Le but c’est « d’éduquer », de partager des connaissances.

Pose-moi toutes tes questions dans les commentaires ci-dessous, s’il y en a. j’essaie d’être le plus clair possible.

Lis-bien la barre de la description, il y a énormément de ressources qui devraient pouvoir t’aider notamment, concernant l’investissement dans les actions à dividendes dans laquelle j’ai pu investir plus d’un million d’euros de capital personnel. Et, je te dis à très très vite pour une prochaine vidéo. Ciao ciao.

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