7 leçons que j'ai apprises avant 30 ans

Que le temps passe vite et 30 ans est l’âge parfait pour voir ce qu’on a fait, pas fait mais aussi pour regarder ce qu’on a pu apprendre et comprendre pendant sa vingtaine…

Je te propose dans cette vidéo 7 leçons de vie que j’estime avoir appris jusqu’à présent. Dis-moi dans les commentaires celle que tu préfères…

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7 leçons que j’ai apprises avant 30 ans

Retranscription de la vidéo :

Les amis, bienvenue sur cette nouvelle vidéo dans laquelle on va parler de 7 choses que j’ai appris avant mes 30 ans. Ça y est, j’ai 30 ans incessamment sous peu, peut-être même que à l’heure où va sortir cette vidéo, c’est même quasi sûr, j’aurais déjà 30 ans. Là, je ne les ai pas encore. Mais, ça se joue à 2 semaines.

Bon voilà, c’est comme ça, c’est la vie. Je ne vais pas te mentir que ça me fait extrêmement chier de me dire que ça y est, on passe le cap des 30 ans. Que mon âge commence par un chiffre qui est le numéro 3.

Aie aie aie aie aie, ça y est, finies les bêtises, le début des responsabilités, les enfants, le mariage, tout ça. Non, non, on rigole. On rigole, on rigole. On va encore se laisser avec le temps de ne pas penser à tout ça. En tout cas, je n’en ai pas envie pour le moment.

Ne jamais se comparer aux autres

Première chose, ne jamais se comparer aux autres. Si c’est bien quelque chose que j’ai appris, c’est bien ça. Tu vois, hier, j’ai bossé toute la journée. Tu vois, tranquillement et à la fin de la journée, je me suis dit : « Putain, aujourd’hui c’est vraiment une belle journée productive, j’ai fait beaucoup de choses, j’ai fait ci, j’ai fait ça, tout c’est bien passé, blablabli, blablabla. »

Mais, en somme, la journée, elle avait été assez simple. Tu vois, je m’étais levé tranquillement, je suis allé bosser dans un café, j’ai fait mes trucs, je me suis baladé un peu, une petite journée simple, à Tallinn, en Estonie, sans fioriture, mais, ce qu’il fallait, tu vois.

Et le soir, avant de me coucher, je suis sur Instagram, et là, je commence à mater des profils de gens que je suis. Et je me dis : « Ah ouais, putain, le bâtard, lui il était là, il a fait ça. Ah putain, la salope, elle a fait ça aujourd’hui. Oh, l’enculé, oh, oh, oh, oh ! » Et j’ai l’impression que tout le monde avait eu une meilleure journée, une meilleure vie que moi.

Alors qu’au début, j’étais content de ma journée, en disant : « Putain, j’ai fait plein de trucs, c’était super cool. A la fin, avant de me coucher, j’étais en mode : « Ah ouais, en fait, en fait, pas si ouf ma journée. » Tu vois ?

Donc, ne jamais se comparer aux autres parce que c’est le meilleur moyen à l’époque des réseaux sociaux que de vous décourager, de vous démotiver. Avancez à votre rythme, il n’y a aucune compétition avec personne.

Ne pas imposer ta façon de penser

La deuxième chose que j’ai compris avant les 30 ans, c’est que je n’aurais jamais l’unanimité auprès de tout le monde sur ce que je pense et sur ce que j’estime être la vérité.

Ça peut être sur tous les sujets que tu veux, ça peut être sur la politique, sur l’économie, sur comment fonctionne le monde, sur même un évènement dramatique, ou une théorie du complot, les relations aux autres, les relations sentimentales, amicales, les relations à l’argent. Tu n’auras jamais l’unanimité sur ce que tu penses auprès des autres.

Et vouloir essayer d’imposer ta façon de penser aux autres, ça c’est prendre le risque de te perdre toi-même dans des choses qui sont finalement très très peu utiles, puisque le plus important, encore une fois, c’est toi-même. Il faut savoir être égoïste, et avancer avec sa façon de penser sans chercher à imposer quoi que ce soit aux autres.

C’est normal que des autres personnes ne pensent pas comme tu penses et c’est même ce qui fait cette beauté du monde.

Ne pas vouloir être aimé par tout le monde

Troisième point, les amis, c’est que, c’est okay également que certains ne t’aiment pas, que les gens ne t’aiment pas. En fait, on a toujours tendance à vouloir être aimé par tout le monde, ne pas froisser les gens, faire en sorte que tout soit un peu lisse, tu vois, de changer un peu de personnalité ou d’opinion en fonction de qui on a en face de soi. Là, en fait, on s’en fout, on s’en fout.

Polarisez, soyez okay avec l’idée que les gens ne vous aiment pas. Et souvent, ce qu’il faut comprendre, c’est qu’il y a beaucoup de gens qui ne s’aiment pas eux-mêmes. En fait, ça commence par là.

Il y a beaucoup de gens… tu ne sais, moi je le vois avec mon activité en ligne, quand je fais des vidéos. Les haters, il y a beaucoup de gens qui me crachent à la gueule avec des commentaires, plus ou moins publiques qui me disent : « Raph, tu es une merde, Raph, tu t’es expatrié pour ci, pour ça, Raph, blablabli blablabla. »

Bon, ça, ça fait partie de la vie de tous les jours. Et ces gens-là ne s’aiment souvent pas eux-mêmes. Ils sont en fait, en face de leur propre réalité. Et ça ne leur correspond pas. Ils sont déçus de leur vie, ils ne prennent pas de bonnes décisions, ils ne sortent pas de leurs zones de confort.

Bref, soyez okay que les gens ne vous aiment pas. Et faites même en sorte qu’il y a des gens qui ne vous aiment pas. Parce que plus il y aura de gens qui ne vous aiment pas et plus généralement, c’est bon signe que vous êtes en train de faire quelque chose de différent.

Et quand on fait des choses de différent, c’est souvent là où on aura des résultats également différents de ce que les gens, la masse, n’a pas.

Alors, je passe sur une route avec plein de petits cailloux. Il faut savoir que Tallinn est en travaux actuellement, c’est une catastrophe. Là, il y a des gravillons partout et je t’avoue que ce n’est pas quelque chose qui me réjouit pour la carrosserie de la Porsche mais bon, c’est comme ça.

Ils n’ont pas voulu nettoyer les routes, c’est incroyable, c’est dommage que je ne peux pas te montrer ça parce que là, c’est vraiment mais vraiment dégueulasse. Tu entends le bruit, ou pas ? Incroyable. Comment on peut laisser des routes comme ça.

Bref, avant de passer au quatrième point les amis, j’aimerais simplement revenir sur le précédent, le troisième point. Tu sais, des fois quand tu vas dans un hôtel, un bar, un resto, ce que tu veux, un café, tu as l’impression d’être un petit peu mal accueilli, mal servi, on t’a mal parlé, ou que les gens, ils sont blasés, etc…

En fait, c’est ça les amis. Ne prenez jamais mal ce genre de situation. On sait que ça peut être très compliqué parce qu’on a payé, on est censé avoir un bon service, etc…

Mais, il faut surtout comprendre qu’il y a aussi des gens qui ont des métiers un petit peu malheureux, un peu durs, un peu compliqués. Et que si ces gens-là vous ont un petit peu mal parlé ou pas accueilli comme vous l’espériez, il faut aussi comprendre que ces gens-là ont peut-être des situations très compliquées, des métiers difficiles, ils sont usés par la vie.

Et c’est peut-être des gens et c’est sûrement des gens qui sont bons au fond d’eux-mêmes mais de par leur situation professionnelle, ça dégrade évidemment leur qualité de vie globale et donc, leur réaction aux évènements et aux autres.

Donc, ne leur en voulez jamais, les amis. Moi, c’est comme ça que j’ai appris à répondre à ce genre de situation plutôt que de me plaindre et de me dire : « Putain, pourquoi tu m’as mal parlé, j’ai payé, blablabli, blablabla, je suis un client ». Non, voilà, j’accepte que les gens n’ont pas toujours une vie aussi simple que la mienne et que tout n’est pas simple pour tout le monde. Okay ?

Ton cerveau est ta plus grande limitation

Le quatrième point, c’est de comprendre que ton cerveau est ta plus grande limitation et ton plus gros point bloquant. Alors, ça c’est très très dur à, peut-être facile à comprendre mais dur à appliquer. C’est-à-dire que ton cerveau, encore une fois, c’est ta seule limite.

Et je pense que tu es comme moi, il y a parfois où tu réfléchis trop longtemps pour faire quelque chose. Et en ayant réfléchi trop longtemps, tu ne le fais plus parce que tu as hypothétisé tout ce qui aurait pu arriver. Que ce soit, je ne sais pas, une décision business, aller parler à une fille, où est ce que tu vas partir en vacances.

Trop réfléchir, trop réfléchir, trop réfléchir. Dans quelle action investir ? Si je dois investir dans cette start-up, ou pas, ce bien immobilier, est ce qu’il est bien, est ce qu’il n’est pas bien ? Tout ce que tu veux.

Trop réfléchir, généralement, te limite, te casse dans ton passage à l’action. Et ça c’est quelque chose, je pense où tu devrais essayer de réfléchir le moins possible avant de passer à l’action. Très facile à dire, moi, c’est le point le plus difficile pour moi. Je réfléchis beaucoup trop.

Je suis le genre de profil qui veut anticiper tous les risques possibles et imaginables, tous les outcomes, le bon, le mauvais.

Donc, ça c’est extrêmement dur, mais c’est malheureusement ton cerveau qui est ta plus grande limitation aujourd’hui.

Faire les choses sans demander l’avis des autres

Le cinquième point que j’adore, les amis, c’est ne pas demander l’avis des autres mais, faites les choses.

En fait, les gens ne veulent pas vous voir réussir de façon inconsciente mieux qu’eux. Ça va les frustrer, ça va les énerver si vous avez plus de réussites qu’eux. Et ça même de façon inconsciente que ce soit votre famille, vos amis proches, etc…

Ne demandez pas l’avis des autres avant de faire, avant de passer à l’action. Parce que ça risque d’être ce qu’on appelle un dream killer. Les gens vont casser votre délire, vont casser vos rêves. Et, moi je l’ai vu, si j’avais écouté tout ce que les gens m’avaient dit autour de moi avant d’entreprendre et d’investir, je n’en serais jamais là où j’en suis aujourd’hui.

Je ne serais pas au volant de cette Porsche, expatrié à Tallinn, en Estonie. Je serais probablement médecin, dans un hôpital, ou je ne sais où, à être probablement très triste de ma vie, puisque j’étais avant étudiant en médecine. J’ai fait 5 ans de médecine.

Et ça, je te parle de, voilà, mes profs à l’école, ma propre famille, mes propres amis, si j’avais suivi « les avis de tout le monde et l’avis de la bien pensance du commun des mortels, de la foule, du peuple, de la société », on appelle ça comme on veut, je ne serais jamais, mais alors là je peux le garantir, jamais, là où j’en suis aujourd’hui, multimillionnaire avant 30 ans. Ça c’est une certitude.

Donc, les amis, ne laissez pas les autres détruire vos rêves, ne leur demandez pas trop leurs avis. Faites, faites, faites, faites, faites. Au mieux ça se passe très bien, au pire vous apprenez sûrement quelque chose de très très intéressant sur ce que vous avez essayé de faire et qui n’a pas fonctionné.

A ce sujet d’ailleurs, il y a une citation que j’adore qui dit que à 20 ans, tu fais attention à tout ce que les gens pensent de toi, à 40 ans, tu commences à t’en foutre de ce que les gens pensent de toi, et à 60 ans tu comprends qu’en fait, personne n’en a jamais eu rien à carrer de toi, en fait. Les gens n’en ont jamais eu rien à foutre de toi.

Et la conclusion, c’est, les gars, encore une fois, soyez putain d’égoïstes.

Combien tu gardes pour réinvestir ?

Sixième point de ce que j’ai compris avant mes 30 ans. Voilà, ça c’était pour le cadeau. C’est que, en fait, le problème ce n’est pas combien tu gagnes, c’est combien tu dépenses, combien tu gardes sur ce que tu as gagné.

En fait, ça c’est le gros problème. Les gens ils se disent toujours : « Ouais, mais je ne gagne pas assez pour faire ci, pour faire ça. » Pour investir notamment, puisqu’ici on parle d’argent. Et en fait, ce que les gens n’imaginent pas et ne comprennent pas, c’est que le gros problème, c’est combien ils arrivent à garder pour réinvestir dans des choses productives.

Donc, productif, c’est notamment dans des choses qui vont te faire gagner de l’argent quand tu dors la nuit, ou des choses qui vont te faire monter en compétence, donc, de la formation, l’apprentissage d’une langue, ce que tu veux, en fait. Et ça c’est vraiment extrêmement à comprendre combien tu gardes pour réinvestir et combien tu gardes pour aller au shopping, en vacances, aller au resto, etc, etc…

Sortir de ta zone de confort

Septième et dernier point les amis, c’est que votre plus grosse addiction, c’est le confort. En fait, les gens qui ont le plus de succès que vous ne sont clairement pas plus intelligents, c’est que simplement, ils sortent de leurs zones de confort. Ils font des choses que les autres ne font pas, encore une fois, et ils n’ont pas peur de rater.

On voit des gens qui sont bien plus riches que moi pour lequel j’ai le sentiment qu’ils sont aussi bien plus bêtes que moi. Malheureusement, j’ai l’impression d’en connaître beaucoup et encore une fois, ce n’est pas l’intelligence qui fait le succès financier. Ça se saurait si les mecs qui avaient le plus gros diplôme étaient les plus riches, encore une fois, ça se saurait.

Ce n’est clairement pas la réalité du terrain. Donc, l’intelligence ne joue que très très peu finalement dans une réussite financière. Ce qui joue le plus c’est que, en fait, tu sors de ta zone de confort et tu expérimentes sans cesse de nouvelles choses.

Donc, voilà les amis, les 7 choses que j’ai apprises de ma petite expérience de vie avant mes 30 ans.

On est dans un très beau quartier de Tallinn. Là, je ne connaissais même pas ici, je ne viens jamais, il n’y a rien à faire, très forestier.

Et, dis-moi dans les commentaires ci-dessous si tu es d’accord, si tu te retrouves dans certains de « ces petites leçons de vie » que j’ai pu un peu comprendre avant mes 30 ans. Partage-moi ta leçon de vie préférée également dans les commentaires ci-dessous.

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