Il y a quelques jours, j’ai partagé aux membres de mon programme « La Magie des Dividendes » une liste d’actions actuellement sous-évaluées.
Toutefois, qu’une action soit potentiellement sous-évaluée ne suffit pas pour déclencher un ordre d’achat. Il faut évidemment réaliser une analyse fondamentale dans son ensemble et intégrer d’autres indicateurs que celui de la valorisation afin d’en tirer de sérieuses conclusions.
Dans cette vidéo, je te partage 7 critères supplémentaires à considérer afin de savoir si une action peut représenter un bon potentiel sur le long terme.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ POUR ALLER PLUS LOIN ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
📚 Lire mon livre « La magie des dividendes » : https://www.clubmillionnaire.fr/bourse
✔︎ Un livre papier et numérique de 704 pages dans lequel je t’explique de A à Z la stratégie d’investissement dans des actions à dividendes. Le livre n°1 en francophonie sur ce sujet !
💶 Rejoindre le Club Dividendes : https://clubmillionnaire.fr/club-divid…
✔︎ Un service dans lequel je te partage tous les mois les actions en bourse dans lesquelles j’investis personnellement mon propre à argent. Libre à toi de recopier ou non mon portefeuille !
🎥 Rejoindre la formation « La magie des dividendes » : https://clubmillionnaire.fr/formation-…
✔︎ Une formation vidéo dans laquelle je te partage toute ma méthode d’analyse d’une entreprise cotée en bourse avant d’investir dans celle-ci. + de 15 heures de formation vidéo !
🎤 Mon prochain séminaire (1 seule fois par an) : https://clubmillionnaire.fr/seminaire
✔︎ Un séminaire présentiel dans un hôtel 5* avec des centaines de participants où moi-même et des intervenants intervenons au sujet de l’indépendance financière (immobilier, bourse, business, …) !
🇫🇷 Tous nos programmes sont éligibles au financement via le CPF. Découvrez comment l’Etat peut prendre en charge à 100% votre formation si vous êtes salarié(e) : https://clubmillionnaire.fr/cpf
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ OU ME RETROUVER ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
🔸 Site Internet : https://clubmillionnaire.fr
🔹 Instagram : https://www.instagram.com/raffaello_c
7 signes qu’une entreprise cotée en bourse est de qualité
Retranscription de la vidéo :
Les amis, bienvenue sur cette nouvelle vidéo en direct de Reims dans un des appartements que je loue en location saisonnière. Et je vais te partager dans cette vidéo 7 critères comme ça, qui vont te permettre de savoir qu’une entreprise est de qualité ou pas.
Cette vidéo, c’est le fruit finalement de quelque chose que j’ai partagé aux membres de ma formation « La Magie des Dividendes » il y a de ça quelques jours.
Je leur ai partagé une liste de 247 valeurs, de 247 entreprises qui, selon moi, sont sous-évaluées maintenant.
C’est une liste que je mets à jour tous les mois pour que tous les mois, les membres de cette formation aient une liste de valeurs dans laquelle ils peuvent potentiellement piocher pour s’inspirer et réaliser des analyses fondamentales.
Mais, la problématique, je me suis dit, en transmettant cette liste pour la première fois au mois de septembre, c’est que je me suis dit : « Okay, il ne faudrait surtout pas que les gens imaginent que parce qu’une valeur est sous-évaluée, alors qu’il s’agit d’une bonne valeur, tout simplement. »
Parce qu’aujourd’hui, il y a plusieurs raisons qui font qu’une valeur peut être « potentiellement » sous-évaluée.
Ça peut être réellement une valeur sous-évaluée parce que tout le monde ou plutôt personne ne s’y intéresse. Elle n’est pas à la mode.
Et c’est souvent les entreprises les plus « boring », les plus ennuyantes qui finalement délivrent le plus de performance sur le long terme par rapport aux entreprises qui sont un petit peu plus demandées, qui sont un peu plus risquées.
Ça, ce sont des choses que je t’avais déjà démontrées plusieurs fois dans plusieurs études.
Mais surtout, une entreprise peut également être sous-évaluée parce qu’elle a de réels problèmes en interne et que les chiffres ne sont peut-être pas bons, et qu’il y a de réelles peurs autour de cette entreprise, de réelles problématiques, de réels challenges, un niveau de dettes qui est trop élevé, des bénéfices qui n’arrivent pas à augmenter ou qui même, potentiellement, descendent.
Bref, des choses qui font dire aux investisseurs que cette action, finalement, elle vaut de moins en moins, et c’est normal parce qu’elle ne délivre pas ce qu’elle pourrait ou ce qu’elle devrait délivrer.
Donc finalement, on peut même dire qu’elle n’est plus sous-évaluée. Elle vaut vraiment potentiellement ce prix-là.
Mais en tout cas, avec mon algorithme de valorisation en interne, j’arrive chaque mois à déterminer une liste de valeurs qui sont, selon moi, sous-évaluées par rapport à ce que ça doit réellement valoir par rapport à différents paramètres que j’intègre dans cet algorithme de valorisation.
Ce sont donc les bénéfices réalisés, les niveaux de marges, les endettements financiers, les capitaux propres, la performance sur les capitaux propres, ce qu’on appelle les ROI, les ROE, etc.
Si tout ça te semble un petit peu chinois, n’hésite pas à aller dans la barre de description. Tu retrouveras différentes ressources qui pourront te permettre de te former et d’apprendre un petit peu plus tous ces termes en détail, et comprendre potentiellement un petit peu mieux cette vidéo.
Dans cette vidéo, je vais partager 7 critères supplémentaires qui permettront de dire qu’une entreprise est de qualité. Et donc couplés à ces valeurs qui sont potentiellement sous-évaluées, si tu les couples déjà à ces 7 critères, ça te permettra de confirmer ou non si cette entreprise est potentiellement une entreprise de qualité, et donc à acheter.
1. Une bonne équipe dirigeante
Le premier critère, selon moi, c’est d’avoir une bonne équipe dirigeante. Comme on dit souvent dans le milieu des affaires : « Mieux vaut une équipe de catégorie A et un produit de catégorie B plutôt qu’un produit de catégorie A et une équipe de catégorie B. »
Autrement dit, l’équipe est plus importante que le produit. Une très bonne équipe pourra amener même un produit médiocre à des résultats satisfaisants, alors que l’inverse est généralement pas vrai.
Une mauvaise équipe n’arrivera pas à amener à de très bons résultats un excellent produit.
Donc une très bonne équipe est très importante puisqu’elle serait capable de saisir les opportunités, de les déceler, de les appliquer, de capitaliser sur ces opportunités, de les implémenter.
Et vous devez également regarder le turnover de ces équipes dans l’entreprise puisqu’il y a parfois des dirigeants qui arrivent dans des entreprises dans l’unique objectif de toucher un revenu – ce que vous ne savez peut-être pas.
Il y a aujourd’hui des bonus à la performance, et si par exemple, un dirigeant arrive à faire monter le cours d’une action à un certain niveau, il va toucher généralement un très bon bonus, des choses qu’on voit dans le milieu des actions dans les entreprises cotées.
Et aujourd’hui, vous devez surtout trouver des dirigeants qui ont une vision long terme, et qui ne sont pas là pour arriver, dire des belles choses aux investisseurs et aux actionnaires, faire monter les cours, toucher le bonus, et se barrer en laissant derrière lui potentiellement une situation encore plus catastrophique, ou pas forcément plus catastrophique mais moins bonne que lorsqu’il est arrivé.
Donc la première chose très importante, c’est regarder qui est derrière cette entreprise, qui l’a fait grandir, qui l’a fait vivre, qui l’a fait évoluer, quelle est l’équipe dirigeante.
2. La douve économique
Le deuxième critère, ça va être ce qu’on va appeler la « douve économique », et celui-ci, je l’adore.
La douve économique, on peut la traduire par l’avantage concurrentiel finalement qu’une entreprise a sur ses concurrents, et même tous les avantages qui vont faire en sorte qu’on élimine la concurrence.
En tout cas, on élimine qu’il y ait la possibilité qu’il y ait de nouveaux concurrents, tellement les avantages compétitifs sont élevés.
Donc on réduit finalement la barrière à l’entrée. Cela peut être quoi ?
Pour parler concrètement, ça peut être des coûts de production qui sont très très faibles, parce qu’on a des économies d’échelle. On est tellement une grosse entreprise qu’on arrive à avoir des coûts de production qui sont très faibles.
Et donc forcément, si un nouvel entrant sur le marché va avoir des coûts de production qui sont plus élevés, puisqu’il est tout petit, il ne pourra pas faire ces économies d’échelle, il va être mort dans le fil tout de suite. Il ne pourra pas faire les mêmes marges que vous.
Ça peut être des brevets, ça peut être des licences gouvernementales ou autres. Ça peut être des marques qui sont très très fortes.
Bref, vraiment des entreprises qui ont un avantage compétitif certain. On pense notamment à tout ce qui peut être Coca-Cola (marque très forte), Apple, Walt Disney, Colgate.
Vous voyez ce que je veux dire ? Des grosses entreprises qui ont un avantage compétitif certain et indéniable. Ça c’est vraiment un gage également de sécurité.
3. La stabilité des bénéfices
Le troisième critère, c’est de regarder la stabilité des bénéfices. Parce qu’en effet, si on a un cours qui semble être sous-évalué par rapport à ce que vaut potentiellement réellement l’entreprise, il faut regarder ce qui se passe au niveau des bénéfices.
Idéalement, nous, ce qu’on recherche, ce sont des bénéfices qui sont croissants et réguliers. On évite tout ce qui est en dent de scie.
Pourquoi ? Parce que si le cours des bénéfices ressemble à des montagnes russes, finalement, ce qui va se passer, c’est que les prévisions d’évolution des bénéfices vont être beaucoup plus floues.
Forcément si un coup, ça monte, un coup ça descend, un coup ça monte et un coup, ça descend, les prévisions sont difficiles à réaliser.
Et ce qui se passe, c’est que si on a des prévisions difficiles à réaliser, on a plus de risques de faire des erreurs sur ces prévisions.
Alors, quand on dit « on a plus de risques », c’est-à-dire les dirigeants. Ce sont les dirigeants de cette entreprise qui vont faire les prévisions d’évolution des bénéfices.
Tu ne le sais peut-être pas, mais chaque trimestre, aux Etats-Unis en tout cas, les entreprises émettent ce qu’on appelle des « guidance », des prévisions d’objectifs à réaliser pour le prochain semestre.
Et si les bénéfices ont l’habitude d’être vraiment très irréguliers, les guidances, les prévisions pour le prochain trimestre seront également plus ou moins irrégulières, plus ou moins floues, plus ou moins précises.
Ce qui se passe, c’est donc qu’il y a plus de chances de faire des erreurs, donc moins de ne pas se rapprocher de ces guidances, de ces prévisions.
Et donc, du coup, ça risque de décevoir les investisseurs et les actionnaires, et donc ça risque d’impacter plus grandement le cours des actions, puisque forcément, si les guidances n’ont pas été respectées, généralement, les conséquences assez immédiates, c’est que les investisseurs sont déçus, et que le cours baisse, donc de la volatilité et des choses comme ça qui apparaissent.
Donc c’est pour ça qu’il faut faire très attention également à regarder la stabilité des bénéfices, et toujours privilégier une croissance régulière et progressive, et en tout cas, quelque chose de relativement stable et qui ne va pas dans tous les sens.
4. Le bilan comptable
Le quatrième critère, ça va être de regarder si le bilan comptable, il est solide, parce que ça reste la base de la base lorsqu’on fait une analyse fondamentale d’une entreprise cotée en Bourse.
Par « solide », qu’est-ce que je veux dire par là ? C’est de regarder par exemple notamment l’endettement financier.
On ne va évidemment pas entrer dans les détails. Ce serait beaucoup trop long pour cette vidéo. Mais un critère que vous pouvez regarder, c’est ce qu’on appelle le « leverage », le levier financier.
5. Le leverage
Est-ce que finalement, l’entreprise, elle est fortement endettée ou pas ? Et le « leverage », c’est quoi finalement ? La formule, c’est les dettes au nominateur, divisées par l’EBITDA. Alors, l’EBITDA (Earnings before interest, taxes, depreciation and amortization), si ça ne va pas vous parler, c’est un terme anglais (je vous invite à regarder dans Google, si vous voulez).
Ou encore une fois, lisez la barre de description ci-dessous pour retrouver notamment mon livre de 704 pages dans lequel je vous parle de l’EBITDA parmi 20 à 25 autres critères d’investissements, et ça vous permettra d’y voir plus clair.
Mais sachez que c’est un indicateur très important à regarder, le « leverage » pour voir si l’entreprise, elle est fortement endettée ou pas.
Parce qu’une entreprise qui est fortement endettée, c’est une entreprise qui s’en sortira beaucoup moins bien en cas de crises, en cas d’évènements un petit peu délicats à traverser, en cas de challenges, ou en cas de problématiques divers et variés.
Donc avoir un bilan comptable solide, c’est extrêmement important. Je vous parle du « leverage » à l’instant, en guise d’exemple. Il y a évidemment d’autres choses à regarder telles que les capitaux propres, et d’autres choses.
Mais pour ne pas alourdir cette vidéo, je vous parle uniquement de cet indicateur.
Autre indicateur que je vais vous partager pour ce cinquième point, c’est l’efficacité opérationnelle. Et pour ça, on va regarder ce qu’on appelle le ROA (Return on Asset).
La formule, c’est quoi ? Finalement, c’est le résultat net tout en haut (nominateur) sur le total des actifs. Et qu’est-ce que ça démontre ? Cela démontre la capacité qu’a une entreprise à générer des bénéfices sur la base de ce qu’elle possède en termes d’actifs.
Donc c’est en gros, pour faire simple, « est-ce qu’elle arrive à générer du cash avec ce qu’elle a ? » Quel est son niveau de marge et de profitabilité ? Quelle est sa capacité à faire du cash avec ce qu’elle a ?
Et ce que vous devez faire avec le ROA, idéalement, c’est de comparer avec d’autres entreprises du même secteur pour voir si par rapport au secteur dans lequel appartement votre entreprise si votre entreprise s’en sort mieux ou moins bien que les autres entreprises du même secteur.
Idéalement, plus le ROA est élevé, et mieux c’est. Plus, cela signifie que votre entreprise dégage du cash avec ce qu’elle a.
Par exemple, si vous avez un ROA de 5%, ça veut dire que l’entreprise dégage 5 centimes de bénéfices pour chaque euro d’actif.
6. Le cycle de vie de l’entreprise
Le sixième critère également très important pour vérifier la solidité d’une entreprise, c’est de regarder quel est le cycle de vie de l’entreprise.
Par « cycle de vie de l’entreprise », ce que je veux dire ici, c’est : est-ce que l’entreprise, elle sait s’adapter ? Est-ce qu’elle sait évoluer avec son temps ?
Aujourd’hui, on est dans un monde qui évolue très très vite, qui change très vite. On a de nouvelles technologies.
Et justement, est-ce que l’entreprise que vous avez dans le viseur, elle sait s’adapter ? Est-ce qu’elle sort de nouveaux produits et de nouveaux services ? En gros, est-ce qu’elle ne s’endort pas ?
Est-ce qu’elle adapte de nouvelles technologies ? En 2021, 2022, 2023, 2024, ça va être la blockchain. Est-ce que votre entreprise, elle est en train de développer des technologies autour de la blockchain ?
Elle est en train d’implémenter cette nouvelle technologie ? Est-ce qu’elle a de nouvelles équipes ? Est-ce qu’elle recrute des teams complètes pour développer ce pôle ?
On voit aujourd’hui que de plus en plus énormément d’entreprises cotées en Bourse recrutent, recrutent, recrutent des personnes spécialisées dans la blockchain pour implémenter tout ça.
Donc en gros, est-ce que votre entreprise, elle est en train de se faire endormir ou est-ce qu’elle est au contraire toujours en mesure de proposer plus de valeur à ses clients en sortant de nouveaux produits, de nouveaux services, et en s’adaptant aux nouvelles technologies, tout simplement ?
7. Le dividende
Et le septième point, ça va être – vous me voyez certainement venir – le dividende.
Evidemment, en tant que grand investisseur dans des actions à dividendes, je ne peux pas le rater celui-ci. Les entreprises qui ont un long historique de versement du dividende en augmentation d’autant plus, ont systématiquement été gages de qualité, de sérieux, de marge, de marque forte.
Bref, les entreprises qui sont capables d’augmenter le dividende année après année pendant des décennies (25 ans pour les Aristocrat Dividends, 50 ans pour les Dividend Kings), ce sont généralement de très très bonnes entreprises.
Donc ce sont vraiment 7 critères que je vous invite à compléter si jamais, par rapport à l’exemple que je vous ai donnée au début de cette vidéo, de cette liste d’actions sous-évaluée que j’ai transmise à mes clients, ce sont vraiment 7 critères qu’on doit pouvoir coupler déjà au minimum.
Et ce n’est qu’un début à cette liste pour pouvoir déjà faire un gros tri, par exemple, vis-à-vis du dividende. S’il y a des actions qui sont sous-évaluées, ça ne fait qu’un ou 2 ans qu’elles ont augmenté le dividende, c’est trop léger, et ça dégage déjà directement tout ça.
Si on voit que l’entreprise, elle ne sais pas se servir de ses actifs, qu’elle n’a pas d’avantages concurrentiels, ou qu’elle est trop endettée et qu’elle a un « leverage » trop élevé ou d’autres choses comme ça, comme on a pu voir dans cette vidéo ensemble, également ce n’est pas terrible pour le long terme puisque rappelez-vous encore une fois que l’investissement en Bourse, telle que je le vois en tout cas, dans des actions qui versent des dividendes, c’est quelque chose qu’il faut appréhender sur le long terme.
Il faut l’assimiler à un marathon et certainement pas à un sprint. Et je ne vois vraiment pas ça comme l’idée de faire un flip (où on achète une action et on la revend rapidement).
Non. Il faut vraiment faire une vraie analyse fondamentale pour être certain que l’entreprise dans laquelle on va injecter des ronds soit suffisamment solide et qu’elle ne soit pas sous-évaluée pour rien.
Il y a forcément une raison quelque part, et des fois, ce sont des bonnes raisons. C’est tout simplement parce que personne ne s’y intéresse, parce que tout le monde est concentré sur les valeurs technologiques, sur un secteur particulier qui est à la mode, et qu’il y a parfois des effets de mode, et qu’il y a des secteurs qui sont parfois laissés à l’abandon, qui n’intéressent personne parce que ce n’est pas sexy.
Ou parce que ce n’est pas fancy de dire : « J’investis dans le secteur industriel, dans telle entreprise qui produit je ne sais pas quoi. »
Non, c’est peut-être plus sexy de dire : « J’investis dans Facebook ou dans Google, ou dans Apple » que dans d’autres entreprises.
Donc des fois, il y a des raisons qui sont totalement stupides. Il y a de vraies valeurs qui sont sous-évaluées sur le marché.
C’est personnellement ce que j’essaie d’acheter tous les mois. Tous les mois, vers le 15 du mois, j’investis dans des actions qui versent des dividendes.
Et évidemment, je cherche systématiquement à investir dans des valeurs qui sont sous-évaluées ou au maximum justement valorisées, mais jamais survalorisées, notamment en regardant plein d’indicateurs financiers comme les niveaux de valorisation, le PER mais pas que…
Il y en a presque 30 que je regarde pour prendre ma décision finale.
Bref, si tout ce que je viens de te dire t’intrigue en tout cas, tu vois dans la barre de description pas mal de ressources qui permettront d’y aller plus ou moins fortement dans ton apprentissage, du format livre, du format papier, du format séminaire, du format services, du format vidéo, du gratuit, du payant.
Tout est dans la barre de description.
Si tu as aimé cette vidéo, n’hésite pas à me le dire dans les commentaires, à laisser un petit pouce bleu, à partager cette vidéo avec tes amis investisseurs.
Et je te retrouve avec grand plaisir pour une prochaine vidéo.
Ciao ciao !
Laisser un commentaire