Comment CONVAINCRE son BANQUIER ? (avec Jérôme YVON)

Salut à tous !

Je retrouve aujourd’hui Jérôme YVON à Lyon avec qui on va parler BANQUE ! Et oui, obtenir son financement lors d’un projet immobilier est certainement le point le plus important et parfois le plus compliqué… Comment fonctionne une banque ? Que recherche un banquier ? Quelles sont les conditions pour obtenir un prêt immobilier ? Jérôme répond à toutes ses questions, et bien plus encore…

Le cadeau de Jérôme pour vous :

• Une conférence gratuite pour vous aider à obtenir votre prêt immobilier : https://www.clubmillionnaire.fr/jerome-yvon

Où retrouver Jérôme :

• Son blog : http://www.investisseurimmobilierdebutant.fr/
• Sa chaîne Youtube : Youtube

Comment CONVAINCRE son BANQUIER ? (avec Jérôme YVON)

https://www.youtube.com/watch?v=mmp4Xy1FWcc

livre-des-bancs-de-la-fac-a-lindependance-financiere

Retranscription texte de la vidéo :

Raph : Salut à tous, bienvenue sur cette nouvelle vidéo, donc je me trouve aujourd’hui à Lyon, en compagnie d’un invité, donc un invité qui s’appelle Jérôme Yvon, Jérôme Yvon, il est investisseur immobilier sur la ville de Lyon et alentours et également blogueur immobilier donc Jérôme, salut, est-ce que tu vas bien ?

Jérôme : Salut Raph, salut à tous,

Raph : La forme ?

Jérôme : Oui, oui ça va, il fait un peu chaud, là, voilà,

Raph : Il fait un peu chaud, il doit faire une petite trentaine de degrés dehors, là, mais bon, c’est comme cela, est ce que tu peux te présenter peut être un petit peu plus, pour tous ceux qui nous regardent actuellement,

Jérôme : Oui, donc très rapidement, moi je suis Jérôme Yvon, je suis investisseur immobilier, je suis également l’auteur du blog « investisseurimmobilierdebutant.fr »

Raph : Je mettrai l’adresse en dessous,

Jérôme : Voilà, merci

Raph : C’est avec plaisir,

Jérôme : Voilà et je fais aussi des formations sur tout ce qui est investissement immobilier, pour aider notamment les débutants, les gens qui n’ont jamais investis, à se lancer dans l’investissement immobilier, passer leurs barrières,

Raph : Okay,

Jérôme : Avec je dirai, un de mes domaines de prédilection, si je puis dire, c’est le financement, comment obtenir son financement, parce que c’est vraiment le point qui bloque la plupart des investisseurs,

Raph : Cela tombe bien, puisque l’on va parler de cela aujourd’hui, je pense,

Jérôme : Voilà, cela tombe bien,

Raph : Cela tombe très bien, toi tu as fait un petit peu tous types de location ? C’est cela ? Saisonnier, de l’immeuble je crois, de la maison ?

Jérôme : J’ai commencé avec le plus simplement du monde, avec un appartement que j’ai loué nu,

Raph : Okay, classique

Jérôme : Et puis c’est là que j’ai appris qu’on se faisait vite rattraper par les impôts,

Raph : Oui, c’est vrai qu’en nu, je peux le confirmer, je pense que

Jérôme : Donc la première année, j’avais des travaux, tout cela, cela été et puis après quand je me suis fait allumer la première année, j’ai vite compris qu’il fallait mettre des meubles dedans,

Raph : Okay,

Jérôme : Donc je suis passé à la location meublée, de la location meublée, je suis passé à la location saisonnière et après quand j’ai continué d’investir, alors je n’ai pas un immeuble entier

Raph : Oui,

Jérôme : Mais en fait, j’ai presque un immeuble, parce qu’il y avait un appartement, qui n’est pas à moi dans l’immeuble,

Raph : C’est-à-dire que tu as racheté progressivement tous les appartements, c’est cela ?

Jérôme : Non, en fait, bon c’est une petite copro, dans laquelle il y a trois appartements,

Raph : Okay,

Jérôme : Je l’ai acheté à un marchand de bien,

Raph : Okay

Jérôme : Et il a gardé le dernier appartement qui est en studio

Raph : Pour lui ?

Jérôme : Pour son fils,

Raph : D’accord,

Jérôme : Donc là je ne pouvais pas lutter donc j’ai acheté le reste, j’ai les places de parking et tout cela, mais il y a juste le studio que je n’ai pas, mais bon voilà,

Raph : Bon, un jour, peut être,

Jean : Oui, on verra,

Raph : Okay, pour conclure, meubler plus intéressant que le nu, bon on ne va s’attarder dessus parce que ce n’est pas le sujet de la vidéo aujourd’hui, mais il faut le retenir, je pense que ton expérience te le confirme ?

Jérôme : Ah oui, oui, bon j’aime bien tester, mais là j’ai testé

Raph : C’était amer, au niveau des impôts,

Jérôme : J’ai payé pour apprendre,

Raph : Oui et bien c’est une bonne expérience, qui coute cher, mais bon c’est quand même une expérience. Au niveau de ton expérience, bon elle est validée, Jérôme, il a beaucoup investi déjà, il sait de quoi il parle, aujourd’hui, on va s’attarder un petit peu plus sur le financement, puisque moi je reçois beaucoup d’e-mails de personnes qui sont soit en

Jérôme : Normal

Raph : Alors le CDI c’est le cas le plus simple, mais qui sont souvent en CDD, en alternance, en intérim, des fois étudiant, des fois intermittents du spectacle, bref un peu tous les cas qui font que quand on va voir une banque avec ces situations-là, on se fait un petit peu regarder bizarrement, les gros yeux du banquier, il nous dit non, il nous jette un peu comme un malpropre. Aujourd’hui je voudrai vraiment un petit peu insister avec toi sur qu’est-ce qu’il fait qu’un banquier va être rassuré et qu’est-ce qu’il qu’on va pouvoir lui apporter un bon dossier, finalement c’est quoi un banquier ? Qu’est ce qu’il veut ? Comment il réfléchit ? Là, je t’ai donné une grosse question vaste,

Jérôme : Ah, oui, oui et là la question c’est bon,

Raph : Je ne parle plus là, je crois,

Jérôme : Oui, non c’est bon,

Raph : À ton tour,

Jérôme : Asseyez bien, prenez de quoi boire, de quoi manger, de quoi dormir aussi parce qu’on est là jusqu’à demain,

Raph : Oui, cela va durer longtemps ? Fait simple,

Jérôme : Je vais essayer de faire court, bon alors c’est vrai que le banquier c’est une personne qui est très complexe, parce qu’en fait, ce n’est pas le banquier qui décide,

Raph : C’est qui alors ?

Jérôme : Quand on s’adresse à un banquier, parce que le banquier est l’interlocuteur qu’on a en face,

Raph : Okay,

Jérôme : Mais il faut voir que derrière le banquier il y a toute une hiérarchie,

Raph : Okay,

Jérôme : C’est que généralement quand vous allez à la banque, vous allez voir un conseiller, donc le conseiller à un certain pouvoir, après le conseiller il y a le directeur d’agence,

Raph : Okay,

Jérôme : Qui a un certain pouvoir, qui est un petit peu plus au-dessus,

Raph : C’est ce qu’on appelle le pouvoir de délégation c’est cela ?

Jérôme : Voilà c’est le niveau de délégation

Raph : Oui,

Jérôme : Mais après le directeur d’agence, il y a la direction, ce qu’on appelle la direction immobilière, c’est quelque chose qui est géré au niveau régional où si cela dépasse le niveau de délégation du directeur d’agence, cela part au niveau de la région

Raph : D’accord,

Jérôme : De la direction immobilière, c’est un service à la direction régionale de la banque, qui ne s’occupe que de l’immobilier et c’est eux qui prennent le relais des fois, qui vont donner des accords, donc ce qui fait que vous vous allez voir, déjà même si vous vous entendez super bien, vous êtes super pote avec le conseiller, si a un moment le montant de l’investissement dépasse le niveau de délégation du conseiller, qui généralement n’est pas très élevé, voilà si vous allez emprunter moins de cent mille euros, on va dire, vous allez pouvoir traiter directement avec le conseiller, au-delà de cent mille euros, je vais vous l’expliquez un peu rapidement pourquoi cent mille, mais ce n’est pas un chiffre que je vous dis au hasard,

Raph : Okay,

Jérôme : Au-delà de cent mille euros, généralement cela va passer au niveau du directeur d’agence et après et là cela va dépendre des villes et cela va dépendre des agences et de l’expérience du directeur, cela passe au niveau régional,

Raph : Donc ce qu’il faut comprendre, c’est que c’est un barème ?

Jérôme : Voilà, mais pour le directeur d’agence, il n’y a pas de montant, on ne peut pas fixer de montant,

Raph : Okay

Jérôme : Parce que le niveau, pour comprendre on va dire que vous achetez une maison, pour faire un cas général,

Raph : Oui

Jérôme : Quand on achète une maison de cent cinquante mètres carrés, le prix d’une maison de cent cinquante mètres carrés dans le nord de la France, à Paris, dans l’Isère, sur la Côte d’Azur ou à Bordeaux, ce n’est pas le même prix

Raph : Ce n’est pas le même,

Jérôme : Et en fonction des régions, ils vont dire on va donner le pouvoir de délégation au directeur d’agence pour pouvoir financer lui-même la maison de monsieur et madame tout le monde,

Raph : Par exemple à Paris où les prix sont beaucoup plus chers,

Jérôme : Voilà et donc dans le Nord un directeur d’agence va peut être avoir un niveau de délégation de cent, cent cinquante mille euros alors qu’à Marseille il aura un niveau de délégation de trois cent mille euros

Raph : Parce que les prix du mètre carré ne sont pas les mêmes,

Jérôme : Parce que les prix du mètre carré ne sont pas les mêmes, c’est juste dû à cela,

Raph : Donc il faut comprendre que c’est vraiment un barème,

Jérôme : Voilà,

Raph : Okay,

Jérôme : Et par contre, le niveau de délégation du conseiller, c’est simplement parce qu’une agence a une enveloppe, au niveau des prêts immobiliers, les banques ont une enveloppe budget sert, pour faire du prêt immobilier,

Raph : Par an, c’est cela ?

Jérôme : Voilà, par an,

Raph : Okay,

Jérôme : Il y en a qui en tienne compte, il y en a qui n’en tienne pas compte, mais c’est pour cela qu’on dit souvent que c’est difficile d’avoir des prêts immobiliers en fin d’année,

Raph : C’est avec des quotas, c’est cela ?

Jérôme : Voilà, parce qu’une fois qu’ils ont atteint leur quota, une fois qu’ils ont dépensé leur enveloppe, voilà ils ne peuvent plus en faire ou plus envie d’en faire,

Raph : Oui, oui

Jérôme : Mais quand on est en dessous des cent mille euros, on va dire qu’ils peuvent refinancer ce montant

Raph : Okay

Jérôme : C’est-à-dire qu’un prêt immobilier de moins de cent mille euros ne rentre pas dans cette enveloppe

Raph : D’accord, donc tous ces prêts immobiliers de moins de cent mille euros ne sont pas pris en compte dans le quota annuel effectué par cette banque ?

Jérôme : Voilà,

Raph : Okay, donc c’est bon à savoir cela,

Jérôme : Donc, c’est pour cela que les petits investissements de moins de cent mille euros, on a beaucoup plus de faciliter à les faire, mais dès que l’on passe les cent mille euros, en fait c’est quelque chose qui rentre dans l’enveloppe budgétaire alors, cela ne rentre non seulement dans l’enveloppe budgétaire de l’agence,

Raph : Oui,

Jérôme : Mais aussi de la direction régionale, parce que la direction régionale aussi a une enveloppe,

Raph : Ah, avec l’agence de la région ?

Jérôme : Et la direction nationale aussi à une enveloppe,

Raph : D’accord,

Jérôme : Donc dès que l’on passe les cent mille euros, ce n’est pas le morceau qui dépasse,

Raph : Oui,

Jérôme : C’est l’ensemble du prêt,

Raph : Okay,

Jérôme : Si le prêt fait cent dix mille euros et bien ce sont les cent dix mille euros qui passent dans l’enveloppe, ce n’est pas les dix mille euros restants,

Raph : D’accord okay, cela fait une grosse différence

Jérôme : Et ce qui fait que les cent dix mille euros viennent gratter progressivement

Raph : Le chiffre à réaliser,

Jérôme : La capacité de la banque à pouvoir fournir du prêt immobilier quoi et arriver en fin d’année s’il leur en reste, ils peuvent encore faire des prêts, mais s’ils ont dépassés, ils ne peuvent plus en faire donc là c’est une petite astuce, voilà en dessous de cent mille euros, déjà c’est plus facile,

Raph : C’est plus simple,

Jérôme : De faire de meilleurs investissements,

Raph : Comment cela fonctionnent les marchés de province où il est très facile d’avoir des appartements pour moins de cent mille euros, je ne sais pas on va prendre une ville au hasard, au centre de la France, où c’est un petit marché, c’est-à-dire que les caisses régionales ou même les agences régionales comment elles font pour faire leur chiffre du coup ? Est-ce que si ce n’est que des projets à cent mille ?

Jérôme : Après, ce n’est pas des objectifs, c’est-à-dire qu’on leur dit vous pouvez, on leur donne une enveloppe dans laquelle vous pouvez piocher, voilà vous pouvez faire du prêt immobilier,

Raph : Okay,

Jérôme : Jusqu’à hauteur, je vais dire n’importe quoi, d’un million d’euros,

Raph : Okay, il y a une certaine limite quand même ?

Jérôme : Voilà, on va leur donner une limite, on va leur dire voilà après cette limite-là, quand vous aurez atteint cette limite-là, on fait du cas particulier, si vous avez un super client, qui a un super projet, voilà, on va le financer quand même,

Raph : C’est étudier au cas par cas après,

Jérôme : Voilà, après c’est du cas par cas, mais tant qu’ils sont dans l’enveloppe, voilà, ils vont pouvoir les faire, après cela ne veut pas dire que ce n’est plus possible,

Raph : Oui,

Jérôme : Après il y a des fois, l’enveloppe elle est atteinte, il y a des fois où elle ne va pas être atteinte, mais disons que c’est comme dans une boite, quand vous avez des commerciaux, qui ont des objectifs, qui ont des quotas, on essaie de mettre les quotas de manière à ce qu’il soit les plus proches du marché,

Raph : Okay,

Jérôme : Si on leur donne une enveloppe, c’est que la direction sait que globalement dans l’année, ils font à peu près ce montant-là, le marché local est à peu près tel montant dans les prêts immobiliers,

Raph : Okay,

Jérôme : Donc cela permet comme cela, de savoir qu’il faut s’adapter au marché, mais par contre c’est un petit peu un tabou au niveau des banques, c’est qu’un banquier, que ce soit le directeur de l’agence, que ce soit la personne que vous alliez avoir en face de vous, quel qu’elle soit, elle ne va pas vous dire moi j’ai un niveau de délégation jusqu’à tel montant,

Raph : Elle ne le dit jamais,

Jérôme : On essaie de le savoir,

Raph : Oui,

Jérôme : Alors cela il faut le savoir par des,

Raph : C’est quelque chose qu’il faut essayer de demander, de savoir si la personne que l’on a en face de nous, peut nous accorder le projet directement ou pas ?

Jérôme : Oui, il ne faut pas lui dire quel est votre niveau de délégation,

Raph : Ah, oui, oui, pas aussi brutalement,

Jérôme : Pas aussi brutalement, mais lui posez la question lui dire tien voilà, j’ai un projet aujourd’hui de cent cinquante mille euros, est ce que vous avez-vous la possibilité de me donner une réponse

Raph : Rapidement,

Jérôme : Sur ce projet-là ou est ce que vous allez être obligé d’aller voir ailleurs, c’est juste pour savoir moi au niveau du timing,

Raph : C’est cela, okay,

Jérôme : Voilà, c’est juste lui faire comprendre et ce qu’il va dire, bon il faut que je vois avec ma direction, ce qu’on peut faire sur un montant comme cela, vous savez que ce montant de délégation il est en dessous de cela,

Raph : Il n’est pas possible, okay

Jérôme : S’il vous dit, oui je vais regarder, déjà s’il vous dit oui je vais regarder ce que je peux faire,

Raph : C’est que c’est mort ?

Jérôme : C’est que c’est mort, c’est qu’il va regarder ce qu’il peut faire avec sa direction,

Raph : Oui, oui, on ne parle pas à la bonne personne,

Jérôme : Oui,

Raph : Okay,

Jérôme : Mais généralement, alors souvent parce que cela dépend aussi de l’expérience de la personne, quand vous avez une personne jeune, sans que ce ne soit péjoratif, quand vous avez une personne jeune, cela veut dire que vous avez une personne

Raph : Qui vient d’arriver,

Jérôme : Qui a moins d’expérience et moins d’expérience, on va lui donner moins de niveau de délégation,

Raph : Ce qui est logique,

Jérôme : Si vous avez un interlocuteur en face de vous, même si c’est un conseiller, mais qui est proche de la retraite, vous savez qu’il a de la bouteille, il a de l’expérience

Raph : On lui fait plus confiance,

Jérôme : Il aura peut-être un niveau de délégation supérieur à son collègue, qui a le même poste que lui

Raph : Mais qui est beaucoup plus jeune,

Jérôme : Mais qui est beaucoup plus jeune,

Raph : Okay, donc ce qu’il faut retenir c’est que vraiment les banques ont des quotas,

Jérôme : Oui,

Raph : À respecter chaque année, donc on dit qu’en début d’année les robinets sont ouverts, c’est beaucoup plus simple, les dossiers un peu plus compliqués peuvent passer, en fin d’année c’est plus compliqué,

Jérôme : C’est plus compliqué,

Raph : Voilà il y a moins de dossiers à faire passer, donc seulement les très bons dossiers vont pouvoir passer éventuellement, mais donc du coup voilà, un banquier est un gestionnaire de risques finalement,

Jérôme : Tout à fait,

Raph : C’est une entreprise qui doit faire du résultat, du résultat net, du chiffre d’affaires,

Jérôme : Ce qu’il faut comprendre c’est qu’avec le banquier,

Raph : Oui,

Jérôme : Quand il fait un prêt immobilier, il ne gagne pas d’argent,

Raph : Oui, cela est une bonne, oui

Jérôme : Donc surtout vu les taux actuels, le banquier ne gagne pas d’argent, donc quel est l’intérêt du banquier à nous financer des investissements et nous financer de l’immobilier ?

Raph : Alors les gens vont se dire, Jérôme tu nous dis de la merde, comment un banquier ne peut pas gagner de l’argent avec tous les intérêts que je vais payer sur mon prêt, c’est des dizaines de milliers d’euros, comment c’est possible ? Alors comment gagne de l’argent un banquier ?

Jérôme : Aujourd’hui, le banquier, lui l’argent que le banquier prête,

Raph : Oui,

Jérôme : Lui, il l’achète,

Raph : Oui,

Jérôme : Donc en fait le banquier

Raph : Il emprunte ?

Jérôme : Lui-même emprunte, la banque elle-même emprunte l’argent, donc la banque elle-même va payée des intérêts dessus, donc c’est sûr qu’elle gagne de l’argent, mais elle ne va pas gagnée,

Raph : Tout petit, des différences,

Jérôme : Des montants énormes, en plus de cela on sait qu’au niveau des statistiques, un prêt immobilier est gardé en moyenne sept ans,

Raph : Okay,

Jérôme : Parce que les gens revendent le bien,

Raph : Le solde, etc.,

Jérôme : Donc ce qui fait que les prêts sont soldés ou alors ils sont rachetés, ou alors ils sont renégociés,

Raph : Okay, sept ans,

Jérôme : Même si on emprunte sur vingt-cinq ans, même pour vous n’ayez pas peur d’emprunter sur des longues durées de vingt ans, vingt-cinq ans, parce que de toute manière vous n’allez pas garder le prêt pendant vingt ans ou vingt-cinq ans, donc il vaut mieux allonger la durée,

Raph : Et avoir une mensualité,

Jérôme : Voilà et le banquier le sait aussi, il sait très bien que vous n’allez pas garder un prêt pendant vingt-cinq ans,

Raph : Mais les gens vont aussi se dire, okay, Jérôme, mais les banquiers ils ne prennent pas de l’argent qui est de l’épargne d’autre personne de la banque ?

Jérôme : Non

Raph : Non ?

Jérôme : Non, non, eux ils utilisent l’argent, l’épargne, pour le faire travailler

Raph : Oui, avec leur trader pour gagner des bénéfices

Jérôme : Pour gagner de l’argent, etc. voilà et ensuite c’est au niveau de la banque centrale,

Raph : Okay,

Jérôme : Et c’est la banque centrale, qui va leur fournir de l’argent et quand je disais tout à l’heure que les cent mille euros ils peuvent les reconstituer derrière, cela veut dire qu’eux c’est par rapport à ce que la banque va emprunter à la banque centrale

Raph : Oui,

Jérôme : Et la banque centrale leur fournit une certaine somme, mais les cent mille euros ne rentrent pas dans les montants qui sont faits par la banque enfin c’est un mécanisme un peu complexe, mais,

Raph : D’accord, si on résume très simplement, il y a une partie de l’épargne des,

Jérôme : En fait, les banques vont tradées, elles vont

Raph : Oui c’est cela,

Jérôme : Elles vont placer votre épargne, l’épargne de tout le monde

Raph : Sur les marchés financiers

Jérôme : Sur des marchés financiers,

Raph : Okay,

Jérôme : Et c’est avec cela que les banques vont gagner de l’argent, ce qui fait que l’intérêt de la banque, ce n’est pas de vous faire un prêt immobilier, mais c’est de vous avoir comme client,

Raph : Pour avoir de l’épargne,

Jérôme : Pour avoir votre argent, pour avoir de l’épargne et c’est avec cet argent que la banque va faire travailler, c’est avec cet argent que la banque va gagnée de l’argent,

Raph : Donc elle veut surtout les loyers qui rentrent plutôt que d’accorder un prêt qui va être emprunté à la banque de France

Jérôme : Voilà, aujourd’hui, dire tiens moi je vais vous faire un prêt immobilier chez vous, ce prêt immobilier, je vais dire n’importe quoi, je vais avoir une mensualité de cinq cents euros,

Raph : Oui,

Jérôme : Derrière, j’ai sept cents euros de loyers qui vont rentrés, je dis n’importe quoi,

Raph : Bien sûr,

Jérôme : Je prends un chiffre comme ce qui me passe par la tête, eux ils se disent voilà sur les sept cents euros, derrière vous avez remboursé la mensualité, vous avez payés l’assurance, vous avez payé peut être des frais annexes,

Raph : Des charges,

Jérôme : Des taxes, des impôts, etc., ce qui fait qu’à la fin, il va rester cinquante euros à la banque,

Raph : Oui,

Jérôme : Ils disent derrière on va se retrouver avec cinquante euros, cela ne nous intéresse pas,

Raph : Oui,

Jérôme : Eux ce qu’il va les intéresser, cela va être éventuellement, oui d’avoir ces cinquante euros, mais aussi d’avoir les salaires,

Raph : Donc une domiciliation des salaires avant,

Jérôme : Voilà, parce qu’avec l’argent des salaires, c’est avec cet argent-là que vous allez constituer une épargne et avec cette épargne eux aussi vont pouvoir travailler, éventuellement vous allez ouvrir des comptes pour vos enfants, donc les enfants vont rester longtemps dans cette banque-là,

Raph : Ils vont être rattachés,

Jérôme : Donc ils vont pouvoir aussi faire travailler l’épargne des enfants

Raph : Sur les livrets et tout, oui

Jérôme : Oui, voilà, les salaires des enfants quand ils travailleront, etc., donc eux ce qu’ils essaient d’avoir c’est un partenaire, c’est avoir quelqu’un avec qui ils vont avoir plusieurs sources de revenus donc ils vont avoir vos salaires, ils vont avoir votre épargne, ils vont avoir les biens immobiliers, ils vont avoir vos enfants, ils vont avoir une assurance vie, etc., et ce qui intéresse la banque c’est d’avoir tout un panel de produit à vous vendre,

Raph : Oui,

Jérôme : De manière à vous avoir comme client pour travailler avec un maximum d’argent,

Raph : Okay

Jérôme : Et en fait, le prêt immobilier est juste un produit d’appel sur lequel ils ne vont pas gagner beaucoup d’argent, mais c’est pour vous attirer,

Raph : On peut même dire que c’est un outil de fidélisation finalement, cela garde le client, il est là, il est engagé sur vingt ans, vint cinq ans, c’est beaucoup, c’est vingt ans, vingt-cinq ans d’épargne potentielle avec les salaires, etc. quoi,

Jérôme : Un prêt auto, voilà vous le soldez n’importe quand, un prêt conso vous le soldez n’importe quand, alors qu’un prêt immo,

Raph : Un prêt immo,

Jérôme : Alors qu’un prêt immobilier, c’est plusieurs dizaines, plusieurs centaines de milliers d’euros,

Raph : Cela engage,

Jérôme : Donc là quand vous avez un prêt dans une banque, vous êtes engagé avec cette banque-là pendant longtemps

Raph : Oui

Jérôme : Et ils jouent un petit peu là-dessus,

Raph : Okay,

Jérôme : Donc ce qu’il fait qu’il faut arriver à ce que la banque vous accepte comme client,

Raph : C’est là l’intérêt de la banque finalement,

Jérôme : Oui

Raph : Là, on ne le voit pas forcément tout de suite,

Jérôme : Parce qu’après ce qu’il faut comprendre, c’est se dire voilà, il faut que la banque voie un intérêt à m’avoir comme client, donc ce que je dis souvent, c’est que quand vous allez voir le banquier pour lui demander un prêt immobilier, le prêt immobilier c’est quasiment la dernière chose à lui demander,

Raph : On lui demande d’ouvrir pleins d’autres produits annexes c’est cela,

Jérôme : Oui, ce n’est pas de lui demander d’ouvrir, mais il faut l’avoir en tête,

Raph : Oui,

Jérôme : En fait, il faut d’abord, vous présentez quoi, c’est un petit peu comme un jeu de séduction,

Raph : Oui, oui, c’est des cartouches,

Jérôme : Avec le banquier, donc il y a tout un processus, d’ailleurs j’ai fait une vidéo qui est sur ma chaine YouTube,

Raph : Oui,

Jérôme : Ou vous savez justement les six étapes, du rendez-vous chez le banquier,

Raph : Okay

Jérôme : Et en fait, la demande de prêt immobilier, c’est la sixième étape, vraiment la fin,

Raph : Tu es devant lui, c’est la sixième étape, c’est la dernière chose que tu nous montres quoi,

Jérôme : Voilà il y a six étapes, même si le banquier vous le connaissez, voilà il faut y aller progressivement, c’est un petit peu comme

Raph : Un jeu de séduction,

Jérôme : Oui, oui, voilà c’est un jeu de séduction et vous y allez étape par étape quoi,

Raph : On ne lui demande pas tout de suite de se marier,

Raph : Voilà, la dernière étape c’est est-ce que vous voulez passer à l’action avec moi ?

Raph : Okay, c’est bien résumé, c’est bien résumé,

Jérôme : Et donc, ce qu’il faut faire comprendre au banquier, c’est déjà que vous êtes une personne sérieuse

Raph : Oui,

Jérôme : Il faut déjà vous présentez, vous, votre situation, familiale, professionnelle, vos revenus, etc.,

Raph : Être bien habillé, rasé, avoir un vocabulaire sérieux,

Jérôme : Déjà, il ne faut pas y aller déjà en short et en chemise à fleurs, il faut y aller voilà, là vous avez les deux extrêmes, moi je n’y vais pas comme cela chez le banquier, là toi tu peux aller chez le banquier,

Raph : Cela passe c’est bon ?

Jérôme : Mais voilà déjà présenter une situation qui soit correcte, c’est-à-dire déjà situation stable

Raph : Qu’est ce que cela veut dire situation stable ?

Jérôme : Situation stable, cela va être une situation stable au niveau de la famille,

Raph : Oui,

Jérôme : C’est-à-dire que déjà si vous allez voir le banquier en disant voilà je voudrais sécuriser mes revenus parce que là je suis en instance de divorce,

Raph : Oui,

Jérôme : Là déjà, instance de divorce, il ne sait pas à quelle sauce vous allez être mangé,

Raph : Il va y avoir du remue-ménage,

Jérôme : Voilà, est-ce que vous allez devoir payer quelque chose, est-ce que vous allez avoir des revenus en plus, est-ce que vous allez avoir des revenus en moins,

Raph : Soit tu te fais plumer, soit tu gagnes,

Jérôme : Voilà, il ne sait pas trop où cela en est, voilà tout ce qui va constituer votre stabilité personnelle,

Raph : Oui,

Jérôme : Cela va être au niveau de l’emploi,

Raph : Okay,

Jérôme : Donc il va préférer, tu en parlais tout à l’heure, le CDI,

Raph : Oui,

Jérôme : Cela malheureusement reste et c’est toujours le tapis rouge chez les banquiers,

Raph : L’argument numéro un quoi,

Jérôme : Personnellement, je ne comprends pas pourquoi,

Raph : Moi, non plus, rassure-toi,

Jérôme : Parce que comme je le dis c’est que le I de contrat à durée indéterminée, c’est justement qu’il est indéterminé,

Raph : C’est cela,

Jérôme : Donc il peut se terminer demain, alors qu’un CDD, vous avez un CDD de deux ans, vous savez qu’au moins pendant deux ans,

Raph : On a du taffe,

Jérôme : Vous avez du taffe quoi,

Raph : C’est cela,

Jérôme : Il peut y avoir des intérimaires longues durées aussi, moi je connais des personnes qui sont intérimaires depuis

Raph : Très longtemps oui,

Jérôme : Depuis des années, enfin qui sont intérimaires à temps plein, il y a même d’ailleurs des boites d’intérim qui font des CDI à leurs intérimaires,

Raph : D’accord,

Jérôme : Il ya des CDI d’intérimaires maintenant,

Raph : Sérieux ?

Jérôme : Oui, oui, il y a certaines boites d’intérim qui font cela, en fait c’est un CDI qui est fait avec la société d’intérim et la société d’intérim place les intérimaires dans différentes sociétés,

Raph : C’est marrant,

Jérôme : Parce que justement, les intérimaires n’ont plus accès au crédit et tout cela,

Raph : À cause de cela,

Jérôme : Et aujourd’hui même pour un prêt-auto et tout cela, les banquiers vont demander d’avoir un CDI et comme ceux qui bossent en intérim, maintenant avec le marché du travail, il y a de plus en plus d’intérimaire, comme ils n’arrivaient plus à avoir accès au crédit, maintenant il y a des boites d’intérim qui font du CDI d’intérimaire,

Raph : C’est marrant cela, c’est intéressant à savoir, c’est les deux opposées qui s’attirent entre guillemets,

Jérôme : Oui, oui donc on en est arrivé là,

Raph : Donc bref, CDI c’est recommandé,

Jérôme : CDI c’est recommandé, mais surtout il faut une stabilité au niveau des revenus,

Raph : Oui

Jérôme : Donc que vous soyez intérimaire, intermittent du spectacle, que vous fassiez des jobs en saisonnier, donc avoir des boulots en été, des boulots en hiver, ce que va regarder le banquier, c’est que vous ayez des revenus qui soient stables dans le temps,

Raph : Okay,

Jérôme : Pas forcément stable au niveau du montant,

Raph : Oui,

Jérôme : Pas forcément dire, il faut que vous ayez deux mille euros par mois constants tous les mois,

Raph : Donc tout en évitant les montagnes russes comme mêmes,

Jérôme : Voilà, il ne faut pas trop que ce soit les montagnes russes, mais si vous avez des jobs saisonniers, vous allez peut être touché un petit peu plus, en hiver, en station, parce qu’il y a peut être des gens qui ont plus de moyens et tout cela,

Raph : Oui,

Jérôme : Plutôt que l’été sur la plage, etc., parce que les gens quand ils sont en maillot de bain, ils n’ont pas le porte-monnaie avec eux,

Raph : Oui, le porte-monnaie,

Jérôme : Donc pour les pourboires c’est plus difficile, donc voilà ils vont peut être voir qu’il y a des revenus qui changent, mais vous allez peut être avoir deux mille deux cents en hiver et deux mille en été,

Raph : Oui, okay

Jérôme : Par exemple,

Raph : Une petite variation

Jérôme : Il peut y avoir une petite variation, donc ils vont faire une moyenne, mais ils voient que vous avez du boulot, onze moi ou douze mois de l’année, cela fait une stabilité de revenue, si vous avez cela pendant deux ans, trois ans, cela fait des revenus qui sont stables, il y a un statut qui n’est pas du tout aimer des banquiers,

Raph : Oui, lequel ?

Jérôme : C’est les intermittents du spectacle,

Raph : Oui, là c’est le pire, je pense,

Jérôme : Parce que là comme on dit, c’est intermittent quoi, donc avec le temps vous allez avoir un gros job avec un gros salaire pendant un moment, puis après plus rien, mais il y a des intermittents du spectacle qui arrivent à avoir des revenus qui sont assez réguliers parce qu’ils ont des contrats avec des sociétés de productions, etc., donc ils vont passer sur des projets différents, mais régulièrement, donc cela va permettre d’avoir des revenus qui sont lissés sur l’année,

Raph : Est-ce que toi tu en as déjà vu se faire financer ?

Jérôme : Oui, oui,

Raph : Des intermittents du spectacle ?

Jérôme : Oui, il y a des intermittents du spectacle qui arrivent à se faire financer, mais il faut que ce soit

Raph : Dans les conditions que tu as dites,

Jérôme : Des intermittents qui n’ai pas trop d’intermittence quoi,

Raph : Voilà c’est cela, qu’il n’y a pas trop d’intermittence

Jérôme : Il faut que ce soit assez régulier,

Raph : Tu l’as déjà vu, donc c’est possible ?

Jérôme : C’est possible,

Raph : Tu as déjà vu des CDD, des intérims, des apprentissages ?

Jérôme : Comme je le dis toujours, tant que ce n’est pas interdit,

Raph : Oui

Jérôme : Ce n’est pas impossible,

Raph : Okay,

Jérôme : Mais par contre cela peut être difficile,

Raph : Moi, j’ai déjà vu tous les cas, se faire financer donc c’est possible en tout cas,

Jérôme : Il y a des CDI qui se font jeter,

Raph : Oui, oui c’est cela, il y a de très bons CDI des fois,

Jérôme : Voilà, il y a de très bons CDI qui se font refuser leur prêt

Raph : À cause d’un taux d’endettement, de trucs un peu bizarres des fois,

Jérôme : Oui ou le projet n’est pas bon,

Raph : Voilà, on voit de tout et n’importe quoi des fois,

Jérôme : Je vous raconterez une anecdote, moi un truc qu’il m’est arrivé après, un truc hallucinant,

Raph : Oui,

Jérôme : Je crois que je suis le seul au monde à qui c’est arriver, parce qu’à tous ceux à qui j’en parle, des gros investisseurs,

Raph : Ne te crois pas ?

Jérôme : Des gros coachs, cela ne s’est jamais vu, je vous dis cela dans deux minutes

Raph : On a hâte de savoir, oui

Jérôme : Oui, restez là, c’est un truc de fou et donc je ne sais plus où j’en étais du coup, oui donc surtout avoir des revenus stables,

Raph : Voilà,

Jérôme : Mais, voilà j’ai vu toutes sortes de personnes se faire financer donc ce n’est pas impossible,

Raph : C’est vrai que, oui

Jérôme : Mais par contre, c’est vrai que quand j’ai vu des gens qui étaient au Pôle Emploi ou des gens qui étaient en CDD avec des salaires qui n’étaient pas énormes, il y en a qui doivent faire dix, douze, quinze banques,

Raph : Ah, il ne faut pas se décourager, oui

Jérôme : Oui, qui doivent voir trois courtiers différents, qui se retrouvent dans une banque qui est à deux cents kilomètres de chez eux, enfin voilà, il y a des trucs, des situations des fois, mais si vous êtes super motivés, voilà quoi, vous allez finir par trouver,

Raph : C’est vrai que les banques ne sont pas rationnelles, entre un conseiller, une agence, une banque, enfin c’est complètement l’opposé des fois,

Jérôme : Ah, oui, oui, et il y en a même certains qui se retrouvent, moi j’en connais, qui ont du passer par des banques étrangères parce que les banques françaises ne financer pas,

Raph : Et là cela passait ?

Jérôme : Mais en allant voir des agences en France, des agences de banques étrangères, c’est des banques étrangères qui les financer,

Raph : Et cela passait ?

Jérôme : Et leur projet passait, alors qu’ils s’étaient fait jeter par toutes les banques françaises,

Raph : C’est peut être une question un petit peu de mentalités françaises autour de tout cela aussi, avec la version du risque ou je ne sais trop quoi, mais bon, tu as parlé du courtier avant que l’on rebondisse sur ton anecdote ?

Jérôme : Oui,

Raph : Tu as parlé d’un courtier, est-ce que tu recommandes aux gens qui sont peut-être en CDD, intérim, apprentissage, intermittent, de voir un courtier plutôt que de se battre un petit peu tout seul ?

Jérôme : D’une manière générale, je dirai que pour tout le monde,

Raph : Oui,

Jérôme : Je recommande d’aller voir un courtier,

Raph : Tu recommandes, dans tous les cas en fait,

Jérôme : Oui, oui

Raph : Okay, pourquoi ?

Jérôme : Pour une raison très simple,

Raph : Okay,

Jérôme : C’est que le courtier connait toutes les banques, parce qu’il est en contact avec eux, tout le temps,

Raph : Oui,

Jérôme : Il traite directement avec les directions immobilières, donc là il va avoir accès à des informations, que vous vous n’avez pas,

Raph : Avec les directeurs d’agence,

Jérôme : Et que même les directeurs d’agence n’ont pas forcément,

Raph : Okay,

Jérôme : Donc ils arrivent à traiter directement, ils traitent directement avec les directions immobiliers, j’expliquais tout à l’heure qu’il y a donc plusieurs étapes,

Raph : Oui

Jérôme : Et le plus haut placé, c’est la direction immobilière, donc les courtiers travaillent directement avec eux, de temps en temps, ils peuvent repasser voir des directeurs d’agences et tout, cela n’empêche pas, mais ils ont les contacts directs avec les directions immobilières, ce qu’il fait qu’ils connaissent les stratégies commerciales des banques,

Raph : C’est cela,

Jérôme : Et en fonction du type de projet, de votre profil et du type de votre projet, ils vont tout de suite orienter le dossier vers

Raph : Tel ou tel type de banques,

Jérôme : Tel ou tel type de banques, si vous allez voir un courtier en lui disant, c’est pour faire de la location saisonnière, à lui vous pouvez le dire et il va voir la manière dont présenter le projet et peut être qu’il va dire, tien moi je connais, telle banque qui suit sur les projets de location saisonnière, parce que les banquiers ont horreur de cela et la plupart des banques ont horreur de cela ou alors il va dire tient compte tenu de votre projet, c’est de la location saisonnière, mais on ne va pas le présenter en tant que location saisonnière, on va le présenter simplement en tant que location meublée,

Raph : Okay,

Jérôme : Parce que vu votre profil, etc. dans telle banque, eux ils financent bien la location meublée dans tel secteur, dans tel secteur géographique,

Raph : Ensuite tu fais du saisonnier,

Jérôme : Donc on sait que si on leur demande, votre dossier va passer tout seul,

Raph : Donc en fait c’est un confident un peu le courtier ?

Jérôme : Ah oui, c’est un confident,

Raph : On peut lui dire ce qu’on ne peut pas dire au banquier,

Jérôme : Le courtier travaille pour vous,

Raph : Oui,

Jérôme : Donc lui sont intérêt, c’est que vous ayez votre prêt, parce que le courtier n’est payé qu’une fois que le prêt est accordé, donc lui c’est là où il va vraiment toucher de l’argent,

Raph : C’est cela,

Jérôme : Donc si vous n’avez pas le prêt, le courtier il ne touche rien, il va peut être vous demandez juste des frais de dossiers de cinq cents euros, mais cela ne va pas le faire vivre très longtemps, donc lui son intérêt c’est que vous ayez votre prêt, donc le courtier, lui, son intérêt, c’est d’aller voir vraiment

Raph : Les banques ciblées,

Jérôme : Les banques, cibler les banques en fonction de votre situation, de votre profil personnel et de votre projet, on voit même certains cas où on ment, de manière concomitante avec le courtier, on lui dit voilà, il y a ma situation qui est là, il faudrait que l’on cache cela, le courtier cache avec nous le truc aux banques,

Jérôme : Ah, oui, oui

Raph : Pour qu’on puisse faire passer un dossier,

Jérôme : Après voilà, il y a des choses,

Raph : C’est un confident, quoi,

Jérôme : Voilà, le courtier, je dirai c’est un peu comme un avocat, je dirai que le courtier ne va pas mentir à la banque,

Raph : Ou il va oublier de dire certaines choses,

Jérôme : Mais il va oublier de dire certaines choses, voilà donc il ne ment pas, mais il ne le dit pas,

Raph : Voilà, c’est cela, c’est borderline, voilà, il est malin, il est rusé,

Jérôme : Voilà, vous pouvez très bien dire à votre courtier, voilà j’investis dans l’immobilier parce que je quitte mon job, dans six mois, je me mets à mon compte,

Raph : Oui,

Jérôme : Ne dites jamais cela à un banquier,

Raph : Ah non c’est clair,

Jérôme : Parce que votre prêt et si lui il dit cela, c’est sur que votre prêt, vous ne l’aurez pas donc vous lui dites, il le sait, donc il sait qu’il faut absolument que dans votre timing, il faut que vous ayez votre prêt, il faut que le dossier soit bouclé, donc lui vous lui dites, mais lui ne va pas le dire, mais par contre, cela va l’aider à comprendre votre situation, à comprendre votre projet et peut être à mettre en place aussi, un montage financier en fonction de cela, parce qu’on sait que quand on investi, on en parlait tout à l’heure qu’il vaut mieux avoir des meubles,

Raph : Oui

Jérôme : Et bien dans un prêt immobilier, il va y avoir l’immobilier en tant que tel, peut être les frais de notaires, il va y avoir les meubles, il va y avoir des travaux, etc. et en fonction du projet, en fonction du profil et en fonction du montant emprunter, peut être que le courtier va dire, bon on va faire un montage avec deux prêts différents, par exemple, que l’on va imbriqué l’un dans l’autre ou d’un coté, on va faire un prêt travaux et à côté on va faire un prêt immobilier, ce qui évitera éventuellement que le dossier ne parte en direction immobilière, enfin avec une étude spécifique,

Raph : Oui,

Jérôme : Parce que si on fait, admettons un prêt de quatre-vingt-quinze mille euros et à côté on fait un prêt de trente mille euros,

Raph : Une question de barème encore,

Jérôme : Et bien, on ne passe pas les cent mille euros,

Raph : C’est cela,

Jérôme : Parce que c’est deux prêts différents, d’un coté, on va avoir un prêt immobilier, de l’autre coté, on va avoir un prêt travaux, c’est

Raph : C’est séparé ?

Jérôme : Voilà,

Raph : Et cela, le courtier le sait ?

Jérôme : Voilà, c’est deux enveloppes séparées, donc ce qui fait que l’on va pouvoir faire un prêt de cent trente mille euros, sans dépasser la barre des cent milles,

Raph : C’est vrai que le mec qui arrive tout seul, cela il ne le sait pas,

Jérôme : Voilà,

Raph : Le courtier, c’est son job, il sait parfaitement les barèmes,

Jérôme : Éventuellement, c’est peut être deux prêts dans deux banques différentes,

Raph : En plus.

Jérôme : Généralement, cela va être dans la même banque, donc il va s’arranger pour que cela soit fait pareil, pour que ce soit plus simple, mais voilà il va y avoir des montages particuliers comme cela, que va pouvoir faire un courtier, je recommande vraiment,

Raph : Donc la conclusion, c’est vraiment d’utiliser les services d’un courtier,

Jérôme : Oui,

Raph : Ton anecdote, qu’est ce que c’est ?

Jérôme : Cela t’intrigue ?

Raph : Parce que moi, je n’ai pas oublié,

Jérôme : Oui, oui, c’est un truc de fou,

Raph : Dis-nous,

Jérôme : Donc c’est juste comme cela, pour mettre un petit peu de punch dans la vidéo, donc moi j’ai fais un projet, un projet immobilier, mais là c’était un peu particulier, c’était pour ma résidence principale, j’ai changé de résidence principale,

Raph : Okay,

Jérôme : Voilà, si on regarde un peu j’ai fait des vidéos, tout cela où j’explique un petit peu cela et en fais, j’avais déjà fait un investissement immobilier, avec une banque,

Raph : Okay,

Jérôme : Qui m’a financé mes appartements, mon fameux immeuble,

Raph : Où il en manque un,

Jérôme : Voilà, où il en manque un, mon presque immeuble,

Raph : Oui,

Jérôme : Donc j’ai financé mon presque immeuble, c’est bizarre comme nom, j’ai financé mon presque immeuble avec cette banque et dans les conditions, dans ce qui était prévu, c’était qu’il rachète le prêt de ma résidence principale que j’avais,

Raph : D’accord, okay

Jérôme : Pendant mon investissement, cela m’a pris comme cela avec ma femme, on a dit hop on se casse, on déménage, on change de maison, donc il n’y avait plus ma maison à refinancer, puisque je l’ai revendue,

Raph : D’accord,

Jérôme : Il y avait une hypothèque sur cette maison-là, donc j’étais obligé de rembourser le crédit,

Raph : Okay, donc cela a été soldé,

Jérôme : Donc le crédit a été soldé et donc j’ai refais un autre prêt immobilier, pour ma résidence principale et là je retourne voir cette banque et je dis voilà, par l’intermédiaire du courtier toujours,

Raph : Okay,

Jérôme : Parce que j’étais toujours avec mon courtier et donc là on dit voilà, ce n’est plus un refinancement de mon prêt de résidence principale actuel, mais c’est un nouveau prêt,

Raph : C’est un financement tout cour ?

Jérôme : Qu’on va faire chez vous, on ne va pas aller voir ailleurs,

Raph : Oui,

Jérôme : Par contre, comme j’avais commencé les négociations avec le courtier, on a continué avec le courtier,

Raph : Okay

Jérôme : Qui a vu cela avec la direction immobilière aussi, qui a dit voilà, on ne fait pas un refinancement sur une maison existante, mais on en finance une nouvelle,

Raph : Une nouvelle, une autre, oui okay

Jérôme : Ce qui est d’autant plus intéressant pour eux puisque c’était un montant plus important,

Raph : Okay, super

Jérôme : Au lieu de refinancer deux cent mille euros, il finançait trois cents milles

Raph : Donc tout bénef pour la banque,

Jérôme : Donc tout bénef pour eux, on leur a dit on a prévu de faire cela chez vous, pas de soucis, en plus c’est une banque où il y avait

Raph : Des boss fidèles,

Jérôme : Des bonnes conditions, c’est aussi pour cela qu’on restait chez eux, le truc accepté, nickel, au niveau de la direction immobilière pas de problèmes, voilà votre dossier, allez voir le directeur de l’agence pour signer votre offre de prêt,

Raph : Okay

Jérôme : Donc tout était nickel, j’avais mon investissement qui tournait et qui rapporte de l’argent, avec un gros cashflow derrière, domiciliation des revenus tout cela, on avait joué le jeu, on avait ouvert les épargnes chez eux, enfin tout ce qui été prévu, on avait fait la totale, il ne restait plus qu’à faire ce financement où on avait l’accord de la direction immobilière,

Raph : Okay et qu’est-ce qui s’est passé alors ?

Jérôme : Rendez-vous avec le directeur

Raph : Oui,

Jérôme : De l’agence et arrivé avec ma femme pour signer l’offre de prêt,

Raph : Tout content.

Jérôme : Tout content, super on va avoir notre maison, on va pouvoir faire nos travaux et tout cela, le directeur de l’agence qui nous regardent droit dans les yeux, alors on lui explique tout, cela a duré une demi-heure la rigolade et au bout d’une demi-heure, il nous dit non votre dossier, je n’en veux pas,

Raph : Mais non ? Alors que tu le connaissais déjà ?

Jérôme : Ah oui j’étais déjà client là bas, j’avais des investissements, j’avais tout chez eux,

Raph : Quel était son motif de refus ?

Jérôme : Aucun, il n’avait pas envie,

Raph : Il n’avait pas envie aujourd’hui,

Jérôme : Ce n’était pas le bon jour,

Raph : Mal levé, pas eu son café,

Jérôme : Oui, je ne sais pas, et il a dit non, moi votre dossier, je n’en veux pas, bon vous avez un accord de la direction immobilière, c’est déjà bien pour vous donc moi ce que je vous recommande c’est de retourner voir la direction immobilière et voir avec eux pour qu’ils vous orientent vers une autre agence, mais moi votre dossier dans mon agence, je n’en veux pas,

Raph : Et avec le recul maintenant, qu’est ce que tu en penses ? Pourquoi tu penses qu’il a agit comme cela ?

Jérôme : Aucune idée,

Raph : Tu ne sais pas du tout ?

Jérôme : Et le courtier m’a dit derrière,

Raph : Okay,

Jérôme : Enfin, après le courtier et reparti voir la direction immobilière, etc. et le courtier m’a dit que dans les semaines ou les mois qui ont suivis, quoi dans les deux mois qui ont suivis, il y a eu trois dossiers successifs qui venaient de ce courtier-là, qui avait des accords de la direction immobilière et que ce directeur d’agence a refusés, sachant qu’il y avait, donc moi c’était pour une résidence principale,

Raph : Oui,

Jérôme : Il y avait des gens c’était pour une renégociation de prêt,

Raph : Okay,

Jérôme : Et il y a des gens c’était pour un prêt relais de cinquante mille euros,

Raph : Donc c’est quoi, c’est une guerre,

Jérôme : Les gens avaient leur maison qui été vendue

Raph : Oui

Jérôme : Et ils achetaient une nouvelle maison, la maison qui a été vendue été quasiment payée, ils rachetaient une nouvelle maison, ils leur manquaient cinquante mille euros et ils avaient un prêt relais qui allait durer deux mois sur cinquante mille euros,

Raph : Et il a dit non ?

Jérôme : Alors qu’il y avait eu un accord de la direction immobilière, le directeur d’agence a dit non

Raph : Donc cela ressemble un petit peu à un petit conflit interne cela.

Jérôme : Mais alors pourquoi, je n’en ai aucune idée, est-ce que c’était avec la direction immobilière, est-ce que avec le courtier,

Raph : Il y a un truc en tout cas,

Jérôme : Ce qui me rassure,

Raph : C’est que tu n’étais pas le seul

Jérôme : C’est que ce n’est pas forcément après moi,

Raph : Je pense que ce n’était pas toi c’est bon,

Jérôme : C’est malheureux, mais quand j’en parle autour de moi, même à des courtiers,

Raph : Ils ne comprennent pas,

Jérôme : Ils n’ont jamais vu cela, mon courtier qui était sur ce dossier, n’avait jamais vu cela et tous les investisseurs que je connais, personne n’a jamais été dans une situation comme celle-là,

Raph : Voilà, on l’a vu maintenant, c’est bon tu es le premier,

Jérôme : Donc je suis, je dois être le mouton noir, mais voilà comme quoi, pour vous dire que tout peut arriver, tant que vous n’avez pas l’offre de prêt qui est signée,

Raph : Noir sur blanc,

Jérôme : Même si vous avez les négociations qui sont faites, il y a quand même à un moment donné où vous allez en agence pour signer l’offre de prêt et il se peut qu’à un moment donné, vous tombiez sur un directeur d’agence,

Raph : Qui n’a pas envie,

Jérôme : Qui n’a pas envie, donc même si vous avez un accord de la direction immobilière, je vous rassure, il y a quatre-vingt-dix-neuf virgules neuf pour cent de chance que tout se passe bien,

Raph : Cela reste un accord,

Jérôme : Mais j’aime bien tester des choses, mais là j’ai testé un truc franchement je ne m’y attendais pas

Raph : Oui,

Jérôme : Donc ce qu’il fait que résultat des courses, quand même je vais donner

Raph : La finalité,

Jérôme : Je dirai la finalité, la chute de cette aventure,

Raph : Oui,

Jérôme : C’est que du coup et bien on a tout passé sur une autre banque,

Raph : Vous avez tout enlevé de chez eux,

Jérôme : Et donc ce qui fait que

Raph : Bye bye,

Jérôme : Cette banque chez qui j’avais tout, n’a plus d’épargne, n’a plus la domiciliation des salaires, ils n’ont plus rien et ils n’ont plus que mon prêt immobilier de mes investissements, avec les revenus locatifs qui arrivent chez eux,

Raph : Donc ils ont tout perdu ?

Jérôme : Ils ont tout perdu,

Raph : Ils ont tout perdu, okay bon, la conclusion de cette vidéo voilà, qui est bien complète, je pense, et que les banques ce n’est pas rationnel, il n’y a pas de cas généraliste, ce n’est que du cas par cas,

Jérôme : Disons que voilà schématiquement pour revenir donc au sujet initial de la vidéo, d’une manière générale, il faut avoir une situation stable,

Raph : Voilà, une situation stable,

Jérôme : Voilà et aller voir le banquier en étant à la recherche d’un partenaire et pas simplement de quelqu’un à qui vous allez racketter de l’argent pour avoir un prêt immobilier,

Raph : Donc une relation gagnant gagnant,

Jérôme : Voilà, c’est lui dire voilà moi je cherche un partenaire financier donc moi je voudrai vous apportez mes revenus, de l’épargne, des comptes pour mes enfants, enfin voilà vous voyez un petit peu tout ce que peut avoir envie l’agence, vous regardez simplement les offres publicitaires qu’il y a dans l’agence et dire voilà, on fait de l’assurance de prêt, on fait de l’assurance habitation, on fait tout cela, on dit voilà, moi je veux bien prendre l’assurance habitation,

Raph : Oui

Jérôme : Et tout cela chez vous, mais par contre pour tout cela, il faudrait me financer mon projet immobilier et expliquez pourquoi vous faites le projet,

Raph : Relation gagnant gagnant, 

Jérôme : Voilà donc j’explique pas mal de choses sur la chaine YouTube aussi,

Raph : Je mettrai tous les liens dans la barre de description, il me semble même que tu as une formation gratuite ?

Jérôme : Oui,

Raph : Autour de l’immobilier, donc je mettrai le lien directement aussi dans la barre de description ci-dessous pour que les gens puissent aller voir un petit peu ce que tu proposes, c’est vraiment gratuit, donc n’hésitez vraiment pas à aller voir,

Jérôme : Oui, là ce n’est pas que sur la partie financement,

Raph : Non, non c’est vraiment sur tout ?

Jérôme : C’est sur l’immobilier au sens large, oui

Raph : Tu peux en parler mieux que moi donc vas-y,

Jérôme : Voilà, j’aborde je dirai les douze étapes indispensables,

Raph : Oui,

Jérôme : Pour investir dans l’immobilier et je dirai la première chose c’est pourquoi vous voulez investir,

Raph : Oui,

Jérôme : Jusqu’à la gestion du bien,

Raph : Donc de A à Z, quoi,

Jérôme : Voilà, vraiment toutes les étapes de A à Z, en gros, il y a douze grandes étapes,

Raph : Oui,

Jérôme : Le financement étant une de ces étapes, mais en tout il y en a douze et donc j’aborde tous ces dans une formation gratuite,

Raph : Profitez-en

Jérôme : Profitez en, regardez les panneaux que vous avez sur le blog, sur la chaine YouTube, sur Facebook, tout cela,

Raph : Je vous mettrai tout,

Jérôme : J’en parle donc voilà,

Raph : C’est gratuit, donc profitez-en, moi Jérôme, je te remercie pour cette vidéo qui doit être bien complète

Jérôme : Merci à toi

Raph : Je ne sais pas combien elle dure, mais il y a beaucoup de choses dedans, il y a beaucoup de viandes comme on dit, donc j’espère que vous avez bien aimé, mettez un petit like ci-dessous, un petit commentaire si vous avez une question sur la banque à poser encore, on y répondra avec plaisir et Jérôme je te dis à une prochaine,

Jérôme : Alors surtout,

Raph : Dis-moi,

Jérôme : Si vous avez une anecdote comme la mienne, mettez-la dans les commentaires,

Raph : Ah oui dites nous s’il y a des trucs

Jérôme : Parce qu’on aime bien les anecdotes, savoir un petit peu ce qu’il se passe, s’ils vous arrivent des trucs un petit peu tordus avec les banquiers,

Raph : Je ne pense pas qu’on va pouvoir te battre, mais essayez quand même, si vous avez de l’imagination,

Jérôme : Okay, donc merci Raph, c’était sympa,

Raph : À une prochaine Jérôme,

Jérôme : Merci, à très bientôt,

Raph : Ciao, ciao

Jérôme : Passez une bonne fin de journée, ciao

Que pensez-vous du profil de Jérôme ? Avez-vous des questions pour lui ? N’hésitez surtout pas à les poser dans les commentaires ci-dessous ! 🙂

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *