Salut à tous,
Je te présente aujourd’hui un couple et je crois que c’est la première fois que ça arrive !
Sacha et Seb, comment vous les présenter. Si vous les rencontrez un jour, et je vous le souhaite, je vous garantis, sans trop prendre de risques, que vous allez beaucoup rire mais aussi beaucoup apprendre.
Sacha & Seb, c’est le genre de couples déconneurs mais qui savent être extrêmement sérieux dès qu’on parle business et argent. Bref, du business à la cool.
Ils ont investi 1 500 000€ en l’espace de 15 mois seulement et en couple et tu verras dans cette vidéo que la première opération qu’ils ont réalisé était loin d’être de tout repos !
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Comment créer un patrimoine de 1,5 MILLIONS d’EUROS en COUPLE ? (Sacha & Seb)
Retranscription de la vidéo :
Raph : Salut à tous, bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Je me trouve aujourd’hui dans le sud de l’Espagne avec Sacha et Seb que je vais vous présenter tout de suite. Et on va parler de « Comment se faire un patrimoine de 1.5 millions d’euros en étant en couple ? »
Donc avant qu’on commence cette vidéo, comme d’habitude cliquez bien sur le bouton s’abonner ci-dessous, pour recevoir en avant-première toutes les prochaines vidéos et lisez bien la barre de description puisque j’ai un petit cadeau pour vous. Il s’agit d’un pack de bienvenue au contenu 100% secret pour commencer à amorcer son indépendance financière. Donc, Sacha et Seb, sur cette longue description, comment vous allez ?
Seb : Super ! Nickel !
Raph : Donc on va parler d’un gros sujet aujourd’hui. Comment se faire un patrimoine de 1.5 millions d’euros en étant en couple puisque vous êtes en couple ?
Seb : Je m’appelle Seb. On est un couple, on habite à Lille, dans le nord de la France. Et on a démarré nos investissements immobiliers en 2015. Donc, on travaillait beaucoup beaucoup.
Raph : Du coup, qu’est-ce que vous avez fait ? Vous avez commencé par investir directement ? Vous vous êtes fait formé ?
Seb : Moi, j’ai lu beaucoup de livres.
Raph : Oui, des livres.
Sacha : Moi aussi, j’ai lu, non en fait, j’ai lu un livre.
Raph : Pourquoi tu rigoles ? Je ne comprends pas là.
Seb : Moi, je lis et je lui fais les résumés.
Raph : D’accord. Okay.
Sacha : Et en fait, moi je n’en ai lu qu’un, mais ça m’a suffit. J’ai dit Seb écoute, là il faut qu’on trouve une solution puisque moi, … je n’en peux plus. Il faut qu’on frappe fort tout de suite comme ça. Après, c’est bon. On peut arrêter de travailler.
Raph : Du coup, à l’heure actuelle, vous avez combien de biens ? Qu’on fasse un petit état des lieux. Vous en êtes où là ?
Seb : Donc le premier est assez long à expliquer.
Raph : On va l’expliquer justement juste après.
Seb : D’accord. Et sinon, on a fait six opérations immobilières en 30 mois.
Raph : Okay. Propre.
Seb : Donc, mais à chaque fois, c’est des grosses opérations. C’est -à-dire que…
Sacha : Pour nous, ce n’est pas 50 000 par ci, 50 000 par là.
Raph : C’est combien du coup ?
Sacha : Nous, c’est plutôt dans les 300 000.
Seb : Jusqu’à 540 là.
Raph : Chaque fois, en une seule opération ?
Seb : Oui, en une seule opération.
Raph : De gros projets ?
Seb : Oui. C’est ça.
Raph : Dans la région… Pardon, je t’ai coupé.
Seb : C’est ça.
Sacha : C’est l’avantage d’être en couple, parce qu’en fait, tu as deux capacités d’emprunt du coup quand tu investis ensemble.
Raph : Du coup, le taux d’endettement directement, il est beaucoup plus élevé.
Sacha : Oui.
Seb : Et puis on avait deux CDI. Enfin, il faut dire ce qui est, ça aide. On avait deux CDI, donc on rentrait bien dans les cases des banques. Ensuite, on a appris beaucoup de chose pour savoir comment présenter le dossier, pour continuer d’investir. Et c’est pour ça qu’on a réussi à faire ça aussi.
Raph : Okay. Du coup, la première opération, est-ce qu’elle a été compliquée dans le sens… Est-ce que vous avez mis du temps à la faire ? Est-ce que vous pouvez me dire un peu plus sur cette opération ?
Seb : Alors, c’est un petit peu l’opération où on a eu de la chance de la réussir. C’est pour ça qu’on a pu enchaîner rapidement. Oui, il y a pas mal de choses à raconter là-dessus. Donc, on a acheté une ruine totale.
Raph : Vraiment une ruine grosse ?
Sacha : Ah oui ! C’était une catastrophe.
Seb : Donc, quatre murs. On a acheté un emplacement quoi. Même pendant les travaux, le pignon s’effondrait.
Raph : Ça, c’est chaud.
Sacha : C’est chaud parce qu’en fait, tu vois, tu as ton mur et puis tu avais le trou, donc on voyait la rue et puis après, le seuil…
Seb : Oui, on a une photo. C’est incroyable.
Raph : Même les fondations commençaient un peu à trembler, à partir en live ?
Seb : En fait, c’est le rez-de-chaussée. Le plafond du rez-de-chaussée, il s’effondrait donc ils ont dû mettre un IPN au rez-de-chaussée pour que les étages du dessus ne s’effondrent pas.
Raph : Donc, un IPN pour les gens qui ne connaissent pas, qu’est-ce que c’est ?
Sacha : C’est une grosse poutre en fer qui permet de supporter en fait le poids. Ça répartit le poids sur les côtés, en fait.
Seb : Oui, c’est ça.
Raph : Okay. Donc là, ce n’était pas prévu ça quand vous avez acheté ce bien ?
Sacha : Eh bien non.
Seb : Et puis, il n’y a pas que ça qui n’était pas prévu.
Raph : Dites-moi en plus.
Sacha : En fait, on était tellement désespéré, si tu veux, que là, on s’est dit allez, il faut qu’on y aille. Et puis en fait, on a mis 150 000 euros de travaux. Et en fait, on a eu plein de déconvenues.
Seb : Charpentes brûlées.
Sacha : Charpentes brûlées, on n’avait pas vu. En fait, c’est en déplaquant qu’on s’est rendu compte. Le consuel, il a mis trois mois avant de passer.
Raph : Alors attends. Juste pour revenir sur la charpente brûlée. Donc, ça veut dire que le mec qui vous l’a vendu avait tout « coffré » pour que ça ne se voie pas ? Ou…
Seb : Bah en fait, il fallait tout casser pour avoir accès à la charpente. Et on n’a pas tout cassé pour avoir accès à la charpente, puisqu’on n’avait pas acheté le bien. Donc, on ne va pas dire au propriétaire je te l’achète si je casse tout pour voir comment était la charpente.
Raph : Donc, ça veut dire que quelqu’un a volontairement coffré en sachant que c’était brûlé derrière ?
Sacha : Oui, forcément.
Seb : Je pense que oui.
Raph : Donc ça, ce n’était pas gentil.
Seb : Non. Mais après, un mot petit là-dessus. Enfin, quand il y a des mauvaises surprises comme ça, c’est vrai qu’on pourrait par exemple prendre du temps pour aller en justice et gagner. Mais si ça prend deux ans, deux ans pour un investisseur immobilier, c’est…
Raph : C’est beaucoup trop.
Seb : C’est bien plus cher que ce que tu vas gagner en justice. Donc, il faut que ça se termine au plus vite.
Raph : Du coup, vous avez outrepassé ce problème et voilà. Le troisième problème, c’était quoi tu m’as dit ?
Sacha : Le consuel.
Raph : Le consuel qui a pris trois mois à passer. Il y a des gens qui ne connaissent pas le Consuel. Qu’est-ce que c’est du coup ?
Sacha : Le consuel c’est …
Seb : C’est un organisme, en gros, qui passe quand on installe un nouveau compteur électrique. Qui dit Ok, ton électricité est aux normes, donc tu as le droit de louer.
Raph : Okay. Et donc là, ils ont mis beaucoup de temps. Pardon ?
Sacha : Mais tant qu’il n’a pas mis son aval, tu ne peux pas le louer. Donc, même si ton truc est prêt, tu ne peux pas.
Seb : C’est ça.
Raph : Ca bloque tout si jamais tout est prêt, mais qu’ils ne sont pas venus, tu ne peux pas le louer.
Sacha : Bah non.
Raph : Pour vous, combien de temps vous avez mis pour faire les travaux ?
Sacha : Alors, à la base, c’était prévu 5-6 mois, et on a mis 9 mois.
Raph : 9 mois, ce qui est long. Pour quelle surface ?
Seb : Donc 110 transformée en magnifique 130.
Raph : Magnifique 130. C’est-à-dire ?
Seb : C’est-à-dire 110 pourrie, le tout retransformée en 130.
Sacha : Parce qu’on a aménagé des combles.
Raph : C’est ce que j’allais dire. Où sont les 20m² ? Donc les combles qui ont été aménagées.
Seb : Oui, c’est ça.
Raph : Okay. En quel type de location vous avez loué ça du coup ?
Sacha : En fait, on l’a fait un peu différemment. A la base, on devait le lancer en colocation. Sauf que comme ça a mis trois mois de plus, nous, on s’est dit, on a perdu trois mois de loyer. Donc, on l’avait un peu mal…
Seb : Et trois mois de loyer, ça représente quand même 9000€.
Raph : C’est ce que j’allais dire, ça fait un billet ça quand même.
Sacha : Et du coup, donc nous, on avait trouvé nos locataires. Et là, on s’est rendu compte que c’était l’Euro 2016.
Seb : On était fin mars 2016.
Raph : Et il y avait des matchs à Lille ?
Seb : Beaucoup.
Sacha : Et là, on s’est dit voilà, on a le choix. Soit, on fait rentrer les colocataires et puis ça tourne. Soit, on leur dit finalement non, on ne va pas le mettre en colocation et on fait l’Euro. Sauf que des lieux couchage, sur Lille, il n’y en avait pas. On s’est dit est-ce que ça va prendre ? Est-ce qu’on va réussir à le louer ? Enfin tu vois, c’était assez stressant puisque nous, on n’avait jamais fait.
Raph : Oui, moi je suis sûr que vous avez loué direct. Des gens qui arrivent par équipe de 10, il y en a beaucoup pendant l’Euro non ?
Seb : Oui, oui.
Sacha : Oui, mais en fait, que les weekends.
Raph : Ah ouais ?
Sacha : Et donc, du coup, ce qu’on a fait, c’est qu’on a mis 1000€ la soirée le weekend. Comme ça…
Seb : Et on a mis vendredi, samedi obligatoires. Puisque c’était de là que venait le chiffre. Parce que, par exemple, on a une réservation que samedi, le vendredi, il ne part pas. Alors si tu mets vendredi et samedi obligatoires, hop, les deux jours passent.
Raph : Il faut acheter les deux nuits mini, sinon, il n’y avait rien du tout ?
Sacha : Oui, voilà.
Raph : Et donc, vous avez loué direct ? Donc, vous avez fait en un weekend, l’équivalent d’un mois de loc limite ?
Sacha : En trois mois, on a fait 15 000€.
Raph : Et ces 15 000, vous les auriez faits en combien de temps en coloc ?
Seb : En coloc, c’était 3000 par mois donc ça fait 15 000 au lieu de 9.
Raph : Okay. Donc extrêmement rentable.
Seb : Ah oui.
Sacha : Bah là, si tu veux, ça nous a fait plaisir parce que quand même, quand tu as 16 000 de charpente qui n’est pas prévue, que tu prends du retard, etc. Alors, après avec le recul, je sais que les travaux ça prend toujours 20% de surcoût et 30% de retard quand tu es sur un gros chantier, comme on fait.
Rapha : C’est intéressant ça. C’est une stat que tu as faite de toi-même ou… ?
Seb : Oui, c’est une marge de sécurité que nous on a fait.
Raph : 20% de surcoût et 30% de retard. Okay.
Sacha : Et puis en fait, c’est intéressant parce que du coup, quand tu fais ton crédit bancaire, tu vas demander 20% en plus. Parce que tu peux toujours dire à la banque, voilà, ça je ne l’ai pas utilisé, je vous le rends. Et dans ce cas-là, ils vont baisser les mensualités. Par contre, l’inverse, se dire voilà, je n’ai pas assez, je redemande. Là, c’est plus compliqué.
Raph : C’est vrai, c’est vrai. C’est plus compliqué dans ce sens là. Du coup, après vous avez fait comment ? Vous avez continué à louer en saisonnier ?
Sacha : Ah non, parce qu’en fait, c’est nous qui faisions le check-in, check-out, ménage. Et nous, on a la particularité d’avoir des salles de bain privatives donc 5 chambres, 5 salles de bain.
Raph : C’était la merde. 5 douches à laver…
Sacha : C’était horrible. Et puis surtout, pendant l’Euro, mais c’était horrible. Ils pissaient partout, il y en avait partout.
Raph : Ce n’était que des mecs je suppose ? Qui venaient en bande ?
Seb : Oui.
Raph : Soirée fou de pizzas, ou abonné bourrés quoi.
Sacha : Et en fait, pour le coup, on n’avait pas délégué parce que des gestionnaires, ils nous disaient, non c’est trop gros, moi je ne prends pas.
Raph : Oui. 130m², c’est vrai que ça prend du temps. Du coup ?
Sacha : Donc, du coup, collocation.
Raph : Plan initial, on revient à ça ?
Seb : Bah, c’est le plan initial. C’est pour ça qu’il y a cinq. Parce que nous vraiment, on a une salle de bain privative par chambre. Une toilette par chambre. Une télé par chambre. Pour vraiment faire du haut de gamme. Et chaque chambre est supérieure à 14m².
Raph : Donc vraiment, collocation haut de gamme. Vous louez combien à la chambre du coup ?
Seb : Plus cher qu’un studio en tout cas. Sur le secteur. Parce qu’ils ont plus qu’un studio. Puisqu’il y a un espace aussi qui est hyper convivial. Un espace de vie commune, et de l’intimité, une chambre très sympa.
Raph : C’est un régal.
Sacha : Et puis on loue 535 hors charge. Et 60 de charge.
Raph : Ah ouais ! Et combien de chambres ?
Seb : Cinq chambres.
Raph : Ah ouais ! Donc, beau projet. On peut parler cashflow ou pas ?
Seb : Bah oui.
Raph : Du coup, combien de cashflow sur cette opération ?
Seb : Donc, 1137€.
Raph : 1137€ net de cashflow.
Seb : Brut.
Raph : Brut. Okay. Propre. Ça reste quand même très intéressant. Ce bien, vous l’avez encore aujourd’hui ou pas ?
Sacha : On l’a revendu.
Seb : Parce qu’en fait, entretemps, on a racheté deux autres biens. Pour faire de la courte durée, parce que l’Euro 2016 nous a donné – on va dire – l’envie de continuer. Et on est passé par un agent immobilier qui nous a vendu le deuxième bien. On a discuté, puis on aime bien discuter comme ça, et on lui explique ce qu’on a fait. Et il dit, bah attendez, votre coloc, moi je vais la visiter et voir un petit peu combien ça vaut ! Au cas où, je vais vous dire.
Raph : Oui, l’estimation.
Sacha : Et là, attends, il visite le truc et il nous dit bah moi, 420 ça part.
Raph : Oui. Alors que vous, prix de revient ?
Seb : 330.
Raph : Okay.
Seb : Et là, on se regarde.
Sacha : Oui, et on se dit bon et bien, on va essayer 425-430 pour…
Raph : Pour la négo et on va revenir à 420. Et alors ?
Seb : Et alors, et en plus, nous, on était des vendeurs non pressés. On lui dit, nous de toute façon, on n’est pas vendeur.
Sacha : Parce que le truc, ça tourne.
Seb : Ça tourne ! On n’est pas vendeur du tout.
Raph : Oui, il y a du cashflow…
Seb : Donc, si tu arrives à vendre à ce prix-là, je t’en prie et je te laisse le temps. On a même dit si tu y arrives dans un an, ce n’est pas grave. Dans trois ans, ce n’est pas grave. Et je lui dis, par contre, ne vient pas me voir avec un prix en dessous.
Raph : C’est au prix ou rien du tout.
Seb : Et il a essayé, évidement, il a essayé. Donc voilà, un client à 380 enfin, peu importe. Je dis non, mais je t’ai dit que ce n’était pas, pas de négo. Et donc du coup euh…
Sacha : Il nous appelle et il nous fait ah désolé, j’ai trouvé un vendeur au prix, vous êtes obligé de vendre.
Raph : Et du coup, vous avez vendu ?
Seb : Oui, on a vendu. Et on a appris ce que c’était aussi, ça peut peut-être aider certaines personnes : la vente parfaite.
Raph : La vente parfaite ?
Seb : On ne connaissait pas !
Sacha : En gros, si tu signes avec un agent immo le fait que tu veux vendre.
Seb : A un certain prix.
Sacha : Tu sais le document… à un certain prix, si finalement, tu ne veux plus vendre, mais que lui te trouve quelqu’un qui achète au prix, tu es obligé de vendre.
Raph : Ah oui ?
Seb : Oui, parce qu’en plus, ce qui s’est passé c’est qu’on était à un point où ça nous énervait qu’il ne propose que des prix en dessous. Et je l’ai appelé, écoute, je ne veux plus vendre. Ça tourne, je veux le garder. Et c’est quand j’ai dit on ne veut plus vendre, il nous appelle et il nous dit : »bah écoutez, je suis désolé, vous êtes obligé de vendre. Parce que j’ai quelqu’un qui achète au prix. La vente est parfaite. Vous devez vendre ». Et là, on se regarde et on se dit, ce n’est pas possible.
Raph : Donc, vous n’avez pas le droit de retirer le mandat ?
Seb : Non !
Sacha : Si, mais le prix que tu as demandé donc…
Seb : Mais non, parce qu’en fait… Ou alors, il faut – à nous de payer les indemnités. Il faut payer les frais d’agence, des indemnités…
Raph : Ah, vous étiez engagés sur une certaine durée de mandat, c’est ça ? Et vous ne pouviez pas rompre, pardon, le contrat.
Sacha : Bah, quand tu romps le contrat, tu as toujours un délai – tu sais – un peu comme quand tu quittes ton appart, tu as un préavis donc…
Raph : Parce qu’il n’y avait pas eu d’offres qui étaient acceptée, ça n’a encore rien à voir avec ça ? Quand on n’accepte pas une offre, on est engagé indirectement ? Enfin directement même.
Seb : Bah en fait, vu qu’il a fait l’offre/l’acheteur au prix du mandat, on est obligé de vendre. La vente est parfaite.
Raph : Vente parfaite.
Sacha : Du coup, écoute, on a été obligé de prendre les quasi-100 milles de plus-values donc…
Raph : C’est triste ça hein ? Alors, vous avez fait quoi du coup ?
Seb : Donc, du coup, bah on a soldé une grosse dette de 300 milles. Ce qui n’est pas si mal parce que pour nous aider à investir encore plus, on avait de plus en plus de mal. Parce que voilà, on augmente les crédits en cours. On augmente, on augmente. Et les banques, ça te fait de plus en plus de risques. Et on a de plus en plus de mal à continuer.
Sacha : Donc, à un moment donné tu es obligé de mettre de l’apport tu vois.
Seb : Donc, ça nous a bien aidés parce que les fonds propres fatalement augmentent avec 100 000 de plus values. Tu soldes des dettes. Donc tu arrives à la banque avec pas beaucoup de dettes et encore plus de fonds propres. Donc, on a pu emprunter encore plus qu’avant.
Raph : Ce qui rassure la banque, vous êtes repartis sur de bonnes bases.
Seb : Oui, c’est ça.
Raph : Okay. Où est-ce que vous vous voyez dans cinq ans ?
Sacha : Bah déjà, avec des enfants.
Raph : Et d’un point de vue immobilier ?
Seb : Bah déjà là, il y a trois chantiers en cours.
Raph : Okay.
Seb : On a trois projets en même temps là qu’on est en train de faire.
Sacha : Coloc six chambres, coloc sept chambres et résidence principale.
Raph : Okay.
Seb : Avec le même modèle que le premier investissement.
Sacha : Et puis où est-ce qu’on se voit dans cinq ans franchement, c’est difficile de répondre parce que nous, on est très opportuniste. On aime bien l’aventure donc, moi les chemins tout tracés, ça ne nous…
Raph : Tu n’aimes pas trop ça.
Seb : On ne sait pas. Peut-être une rencontre va arriver et qu’il y aura une opportunité. On est très ouvert aux opportunités donc où tu seras dans cinq ans…
Sacha : Je sais qu’on sera encore plus haut que ce qu’on est aujourd’hui. Mais après, comment ? Si ça trouve demain, on va faire des immeubles, ou de la promotion, des locaux commerciaux…
Seb : On est ouvert à beaucoup de…
Raph : Vous n’êtes pas fermés. Ici ou ailleurs, peu importe.
Seb : Oui. Si on rencontre, je ne sais pas, un promoteur, on peut très très bien s’intéresser à la promotion. Enfin, on n’est pas fermé du tout.
Raph : Okay, nickel. Où est-ce qu’on peut vous retrouver ?
Sacha : Donc on a une chaîne YouTube, donc Sacha et Seb de Business Malin. Et bien justement, comme tu nous interview sur ta chaîne, on offre aussi donc une heure de formation… dans une colocation qui cartonne. Voilà, c’est sur la description.
Raph : C’est ce que je voulais te demander. Super ! Donc je mettrai tout dans la barre de description ci-dessous. Téléchargez ça immédiatement, c’est un petit cadeau de la part de Sacha & Seb. Donc allez voir tout ça. Sur ce, petit mot de la fin ou pas ? Dernier petit conseil peut-être pour ce…
Sacha : Oui, dernier petit conseil c’est quand tu investis, il n’y a pas euh… Il faut que tu investisses en fonction de la personne que tu es. C’est en fonction de ce que tu es capable de supporter au niveau des dettes, au niveau des travaux, etc. Et surtout, de comment ton conjoint réagit aussi. Parce que s’il y en a un qui a vraiment très peur d’investir, il ne faut pas lui dire allez, tout de suite chéri on achète un immeuble de rapport. Il faut peut-être commencé par un studio si ton conjoint a du mal avec ça.
Seb : Oui, parce qu’on a connu pas mal de couples. Tiens, deux cas : un cas où il y a un conjoint qui ne veut pas donc le défrustrer. Donc la frustration, elle augmente, elle augmente, elle augmente et ça finit souvent en divorce. Et l’autre cas, ils investissent quand même. Dans ce cas-là, c’était la femme qui ne disait pas à son conjoint qu’elle avait peur de toutes ses dettes.
Sacha : Et puis en fait, elle a pété un plomb et elle est partie.
Raph : Trop, c’est trop et…
Seb : Trop de dettes. Et pendant qu’ils se sont séparés, elle a dit je ne veux plus de dettes, je ne veux plus entendre parler de ça.
Raph : Okay. Donc, ça ne se passe pas bien.
Seb : Je ne suis pas capable de gérer ça émotionnellement quoi.
Raph : Parce que c’est vrai qu’à la base, la vidéo c’était « investir en couple ». Et je n’ai posé aucune question sur le couple. Donc rapidement, encore deux ou trois minutes, je pense qu’on a un petit peu de temps. Est-ce que dès le début, vous aviez la même vision ou pas ? D’un point de vue immobilier. Est-ce que quelqu’un a convaincu l’autre ? Parce que Seb, comme tu l’as dit, il y a beaucoup de problèmes, on voit beaucoup de divorces malheureusement. Dès que quelqu’un commence à s’intéresser à l’immobilier et que l’autre n’est pas du tout intéressé, ça casse, fracture. Donc vous, de votre côté, comment ça s’est passé ?
Sacha : Bah nous, il faut savoir qu’on n’est pas du tout les mêmes personnes. Lui est très littéraire, moi je suis très mathématiques. Et en fait, on n’a pas les mêmes peurs non plus. Toi, tu as plutôt peur des travaux. Et moi, j’ai plutôt peur de la fiscalité, les impôts et tout ça… Genre que l’état me prenne tout…
Raph : Oui, je vois. Vous, vous êtes un peu complémentaire indirectement ?
Seb : Chacun gère un petit peu sa partie. Donc moi je gère pas mal la fiscalité, toi les travaux, les plans.
Sacha : En fait, si c’est…
Seb : Elle a une très belle vision de l’espace. On fait nous-mêmes nos plans avec le petit laser mètre, tac. Ensuite, on rentre les côtes, on fait les plans…
Sacha : Ce qui est important surtout c’est de ne pas se marcher dessus. Chacun sa spécialité. Et tu fais confiance. Tu délègues à l’autre.
Raph : Mais dès le début, vous étiez d’accord pour investir dans l’immobilier en couple ?
Seb : Oui.
Raph : Tu n’as pas convaincu Sacha ou inversement…?
Seb : Notre vision, c’est vraiment de gagner ensemble la liberté financière.
Sacha : Mais attends, Seb lui, il me sort des idées toutes les heures.
Raph : C’est vrai ?
Sacha : Il a voulu ouvrir un hôtel, un KFC, la grande distribution…
Raph : Donc tu fumes du cerveau, tu as toujours des idées ?
Sacha : Ah oui, c’est… c’est un sport.
Seb : Ça n’arrête pas.
Raph : Ah oui, mais c’est bien. Il faut se canaliser, mais c’est bien.
Seb : Enfin moi, il faut vraiment canaliser. Les idées…
Raph : C’est vrai ? Top ! Encore une fois voilà, téléchargez le petit cadeau gratuit de Sacha et Seb, sitôt par le lien d’inscription.
Sacha : Le gros cadeau !
Raph : Gros cadeau, mais c’est français, il devient petit.
Seb : On a deux cadeaux.
Raph : C’est vrai ? Je mettrai tous les cadeaux. C’est quoi le deuxième cadeau ?
Seb : Le deuxième cadeau, c’est six vidéos offertes où on explique étape par étape comment on a fait pour passer de 0 à 1.5 millions d’euros de parcs en 30 mois. Puisqu’on a fait ça en 30 mois.
Raph : En 30 mois, félicitations.
Sacha : Bah merci !
Raph : Donc, tout est ci-dessous. Petit Like si vous avez bien aimé la vidéo, petit commentaire si vous avez des questions, petit partage si des gens seraient intéressés par l’immobilier ou la colocation ou investir en couple.
Merci à vous en tout cas pour la vidéo. Je vous dis à très très vite.
Seb : A très vite !
Raph : Ciao Ciao !
Seb & Sacha : Salut !
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