J’ai récemment reçu cette remarque : « fais une vidéo où tu parles essentiellement de l’âge car comme tu as dit c’est bien de commencer tôt mais lorsque l’on travail ou que l’on fait des études ça devient compliqué de prendre des décisions pour des investissements ou même d’avoir le temps de se former, sinon merci pour les vidéos toujours bien faites ».
Dans cette vidéo, je réponds donc à cette question : comment devenir entrepreneur quand on est jeune et qu’on a pas forcément d’idée ou d’encouragement dans son entourage ?
Je te donne, selon moi, les 10 attitudes à développer qui te seront primordiales dans cette vidéo.
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Comment devenir entrepreneur quand on est jeune ?
Retranscription de la vidéo :
Salut les millionnaires ! J’espère que vous allez bien. Donc je suis l’auteur du livre « Des bancs de la fac à l’indépendance financière », et vous m’avez envoyé une question récemment, et je vais répondre à cette question. C’est : comment devenir entrepreneur quand on est jeune ? Et pour être plus précis, je vais même reprendre directement la question que j’ai reçue de la part de … je ne sais plus comment elle s’appelait la personne – je suis désolé parce que c’est vraiment il y a très longtemps. La personne me disait : « Fais une vidéo où tu parles essentiellement de l’âge, car comme tu as dit, c’est bien de commencer tôt, mais lorsqu’on travaille ou que l’on fait des études, ça devient compliqué de prendre des décisions pour des investissements, ou même d’avoir le temps de se former. Sinon, merci pour les vidéos, toujours bien faites ».
Ecoute, déjà merci beaucoup pour ce petit message. C’est super sympa de ta part, ça m’a fait plaisir. Et je vais essayer de répondre dans cette vidéo comment on peut commencer à entreprendre lorsqu’on est jeune. Donc avant qu’on ne commence cette vidéo, comme d’habitude, le petit bouton « S’abonner ». Je sais que tu n’es pas encore abonné, donc s’il te plait, abonne-toi. Tu recevras en avant-première toutes les prochaines vidéos. Si tu es abonné, merci à toi, c’est super cool. Et n’oublie pas de lire la barre de description puisque tu recevras, tu verras différentes informations dans la barre de description. Je ne t’en dis pas plus, mais il y a quelque chose que tu vas recevoir, qui devrait t’intéresser. Egalement, mon livre, je ne te l’ai pas dit, mais il est gratuit, je te l’offre. Tu as juste à payer les frais de livraison. Donc tu retrouveras tout dans la barre de description.
Hop ! Donc la première chose lorsqu’on veut entreprendre et qu’on est jeune, la première barrière grosse frontière qu’on va avoir à combattre, c’est la famille, l’environnement, notre cercle proche qui va très certainement – pour la famille en tout cas – te décourager, te dire : « Non, ne fais pas ça. Non, tu rêves, tu es un rêveur, c’est utopique. Ça ne marche plus. » Ils voudront en fait que tu continues tout simplement la voie qui t’a été présentée, qui t’a été tracée, celle de faire des études supérieures pour trouver un travail, pour avoir un métier, pour épargner un petit peu, pour partir en vacances de temps en temps, trouver une femme, cotiser pour la retraite, et arriver au Saint Graal : la retraite.
Donc le premier conseil – je vais t’en donner 10 de conseils – c’est de ne pas en parler à ton entourage parce qu’il risque très fortement de te décourager. Et donc, ça va être de faire tes projets en sous-marin, de ne rien leur dire, de leur montrer simplement des résultats lorsque tu auras des résultats. C’est personnellement ce que j’ai fait, moi. Au tout début, je ne disais rien du tout à mon entourage. Je leur disais que j’allais en cours, j’allais à la fac. Et encore, dès fois, je n’allais même plus à la fac puisque c’étaient des cours en amphithéâtre, donc pas obligatoires. Je restais même à la maison, je me levais tard, et je bossais sur mes projets. Et je leur disais simplement que j’avais récupéré les cours à la fac, ce qui était vrai puisqu’on a un système pour récupérer les cours à la fac. On a un système où chaque étudiant allait au cours, prenait les cours pour toute la fac, et on se les partageait, avec la complicité de la corpo et de l’association étudiante de Médecine.
Bref, l’idée, c’est que tu ne dois pas en parler. Tu dois simplement montrer des résultats à tes parents sinon ils te décourageront.
Le deuxième conseil, c’est concernant le temps. Voilà. On évoquait dans le petit message que j’ai reçu le fait de ne pas forcément avoir le temps parce qu’il y a les cours, parce qu’il y a l’école, ou parce que peut-être que vous avez un boulot, etc. Non. Moi, le temps, ce n’est pas une excuse que j’ai envie d’entendre parce que je l’ai trop entendue, et je l’ai trop démontée, cette objection, et ça me soule, ça m’énerve. Donc je n’ai même pas envie d’en reparler, simplement, je sais et j’en suis conscient, et vous le savez très certainement, tu le sais tout autant que moi que tu as certainement du temps pour regarder Netflix, pour regarder des vidéos YouTube peut-être un peu bêtes – pas les miennes – que tu as peut-être du temps pour aller en soirée, au cinéma, au bowling.
Donc voilà. Je ne suis pas en train de te dire que tu vas avoir zéro vie sociale, mais il y a un moment où si tu veux quelque chose, tu dois te battre pour cette chose-là, et que si tu dois dire non pour aller en soirée samedi soir, cette soirée qui va en plus de ça te mettre dans le mal tout le dimanche parce que tu vas être KO, tu auras trop bu, si tu dois arrêter de regarder ta série quotidienne du midi ou du soir parce que c’est ta petite série que tu aimes bien, il y a un moment où il faut faire un sacrifice. On n’a rien sans rien.
Donc l’excuse du temps, elle n’est pas valable dans mon vocabulaire. Je ne connais même pas ce que c’est que de « ne pas avoir le temps » quand on est jeune, quand on est étudiant. Je l’ai été, et le temps, crois-moi, on peut le trouver. Je l’ai trouvé, moi, alors que j’étais étudiant en Médecine et que j’ai dû valider mes examens en parallèle, et en même temps de ça, je suis arrivé quand même à trouver un petit peu de temps pour sortir et voir mes amis. Donc quand on veut, encore une fois, on peut. Citation bateau, mais bien réelle.
Le troisième conseil que je pourrais te donner, c’est de commencer petit et de te fixer des objectifs. Rien ne sert de vouloir devenir – je ne sais pas – le nouveau Amazon, le nouveau McDonalds, ou quoi que ce soit immédiatement. Commence petit et vois petit, progresse. Tu sais, McDonalds, il a commencé en vendant son premier hamburger. D’ailleurs, je te recommande le film « Le Fondateur », le film sur McDonalds, excellent. Amazon, ils ont commencé en vendant leurs premiers livres. JK Rowling, quand elle avait écrit Harry Potter, elle n’avait pas toute l’histoire d’un coup. Elle a commencé par inventer le personnage, puis elle a écrit une première ligne, un premier mot.
Donc ne cherche pas à vouloir créer quelque chose d’immense dès le début, avoir créé ton empire ou des choses comme ça. Commence doucement, fixe-toi des objectifs réalisables, tout en ayant quand même des bons objectifs – on a souvent tendance à se dire qu’il faut avoir des objectifs qui nous effraient – mais ne te fais quand même pas trop peur.
Quatrième conseil, c’est Henry Ford qui le disait. Je pense que tu connais quand même Henry Ford qui disait : « Que vous pensez que vous puissiez le faire ou pas, vous avez raison ». Donc j’ai envie de te dire : si tu crois que tu peux le faire, fais-le. Si tu ne crois pas que tu peux le faire, écoute, ferme la vidéo, vas te coucher et ne le fais pas. Mais Henry Ford a entièrement raison là-dessus. Tous ceux qui ont réussi ont un jour fait les efforts qu’il fallait faire, et en fait, la vie récompense les gens qui passent à l’action. Et l’action a quelque chose également de vertueux. Donc passe à l’action, et tu verras que des choses vont se passer comme par magie, j’ai envie de dire.
Le cinquième conseil, ça va être de s’entourer et de se former. Tu le sais peut-être aujourd’hui, il y a la mode du « je suis self-made, je me suis fait tout seul, moi je n’ai eu besoin de personne, si j’en suis arrivé là c’est que je suis trop fort, moi je me suis fait tout seul, tu vois ? Je nique les autres, self-made ». Non. Okay, c’est cool, c’est stylé de dire « je suis self-made millionnaire, je suis self-made entrepreneur, je suis self-made guignol », tout ce que tu veux. Non. Aujourd’hui, il n’y a pas de réussite qui s’est fait toute seule. Que tu veuilles l’accepter ou pas, il va falloir t’entourer d’une équipe qui soit visible ou invisible, elle peut être dans ton dos, en back-up, personne ne sait qu’elle existe mais elle sera là.
Donc entoure-toi, forme-toi, c’est très important. Tout seul, tu n’y arriveras pas. Et la réussite, c’est un jeu d’équipe. Ça veut dire que voilà, t’entourer, ce n’est pas forcément ne t’entourer que de gens physiques sur le quotidien avec toi. C’est t’entourer de gens que tu vas suivre sur les réseaux, sur Internet, lire des livres, participer à des séminaires, échanger avec des gens, pas forcément des gens qui vont devenir ton cercle proche d’amis mais t’entourer, être dans une dynamique où tu t’entoures de gens qui vont, à leur propre façon, avec peut-être une seule phrase ou un seul mot, hop, te donner un déclic.
Moi, les séminaires ou lors de certaines discussions, même avec des gens qui ne sont pas entrepreneurs, des gens, des discussions avec des gens qui ont des métiers qui n’ont rien à voir, je ne sais pas, un maçon, un boulanger, je ne sais pas, il me dit une phrase et puis : « Mais oui, oui, oui, c’est vrai », ça me fait tilt et ça me fait penser à une idée pour mon business. Donc se former et s’entourer, c’est très très important.
Le sixième conseil, c’est qu’il va falloir accepter d’affronter ses peurs et de prendre des risques. Je le sais, toutes les premières fois, ce n’est jamais confortable. La première fois où tu es allé au lycée, tu as eu peur. La première fois où tu as fait l’amour, tu as eu peur. La première fois où tu as pris ton avion pour aller à l’autre bout du monde, tu as eu peur. La première fois où tu as fait ton premier investissement immobilier, tu as eu peur. La première fois où tu as conduit une voiture toute seule sans moniteur, peut-être que tu as eu peur aussi un peu.
Bref, il y a plein de situations dans la vie où on a peur. Donc c’est la première fois où tu montes sur scène, la première fois… Toutes les premières fois ont quelque chose un petit peu d’excitant puisque c’est nouveau, on a envie de connaitre la sensation, on a envie de savoir ce que c’est et on a envie de le vivre. Mais ça fait peur parce qu’on ne sait pas, on ne connait pas. On a peur de mal agir, de mal se comporter, de faire les choses de travers, et ça peut parfois nous bloquer et nous paralyser, et vouloir nous forcer à rester dans cette fameuse zone de confort. Et ça, c’est quelque chose que tu dois accepter, de te dire qu’il va falloir affronter tes peurs et aller là où tu n’es encore jamais allé.
Le septième conseil, ça va être de passer à l’action. L’implémentation, c’est clairement ce qui fait la différente entre ceux qui ont des résultats et ceux qui n’ont pas de résultats. Des gens qui ont des cerveaux qui chient, j’en connais plein. Ce que j’appelle les cerveaux qui chient, ce sont des gens qui sont là, qui te parlent, ils ont plein d’idées à la seconde, ils te disent : « Oui, moi, j’ai une idée de malade mais je ne t’en parle pas puisqu’on ne sait jamais. Imagine que tu me la voles et puis en plus, toi tu as plus, je ne sais pas, tu pourrais me la voler et la mettre en application, et puis moi, je serai comme un con »
Voilà. Des cerveaux qui chient comment ça, il y en a plein. Les mecs, qui ont des idées, ils font genre : « C’est la meilleure idée ». Ils la protègent et ils ne font rien. Ils n’ont pas d’implémentation. L’implémentation, c’est ce qui va faire la différence entre ceux qui restent sur le côté – ils sont là et ils regardent les trains passer, il ne se passe rien du tout dans leur vie – et ceux qui ont des résultats, ils ont osé, ils ont implémenté, ils sont passés à l’action, et même une mauvaise implémentation a quelque chose de formateur, l’échec qui va enseigner une leçon qui va te permettre de continuer à avancer. Donc l’implémentation.
Le huitième conseil, ça serait de te laisser le temps. Probablement, tu es jeune ou moins jeune, je ne sais pas quel âge tu as à l’heure où tu regardes cette vidéo. Tu as peut-être 16 ans, peut-être même plus jeune, 18, 20 ans, 22, 24, 30 ans… Quel est l’âge pour être jeune au final ? Entreprendre quand on est jeune, ça veut dire quoi, être jeune ? 30 ans, c’est encore un âge jeune pour entreprendre. 40, ça peut être un âge jeune également. Il y a beaucoup de grandes réussites de multinationales, de grosses sociétés, de grands noms aujourd’hui, qui ont commencé à entreprendre très très tard, même certains à 60-70 ans, et qui sont devenus milliardaires et multimillionnaires.
Donc laisse-toi le temps parce que rien ne s’obtient par magie, rien ne s’obtient du jour au lendemain. En tout cas, rien de valeur ne s’obtient du jour au lendemain. Donc il faut accepter que tout process nécessite du temps, il faut que ça agisse. C’est comme – je ne sais pas comment te donner une bonne comparaison mais – un gâteau, il faut que ça cuise, il faut lui laisser le temps de cuire pour qu’il soit bon, ton gâteau au chocolat. Laisse-toi aussi le temps de construire ton chemin et d’avoir tes premiers résultats. Ne cours pas après une réussite trop rapide. C’est souvent ce qu’on a tendance à vouloir, enfin, c’est souvent ce qu’on voit sur Internet, et c’est souvent ce qu’on veut pour nous. On nous vend des réussites très rapides du jour au lendemain. Donc en effet, ça peut aller très très vite grâce au levier Internet, je ne vais pas te mentir, aujourd’hui, on peut bâtir des fortunes très rapidement, mais ne te stresse pas vis-à-vis du timing, prends le temps qu’il te faut.
Neuvième et avant-dernier conseil, c’est apprendre de ses erreurs. S’il y a une chose que je te souhaite sur cette vidéo, c’est que tu te casses la gueule. Je ne suis pas en train de te dire : « Tu es un bâtard. Comment ça, que tu veux que je me casse la gueule ? » Oui. J’espère que tu vas bien te casser la gueule, parce que c’est ce qui va faire que tu vas apprendre, apprendre de tes erreurs. On en a parlé juste auparavant : l’échec, ce n’est pas quelque chose que tu dois éviter mais c’est limite quelque chose que tu dois chercher, que tu dois vouloir trouver, parce que l’échec va t’apprendre certainement la meilleure des leçons.
Crois-moi, réussir sans avoir échoué, ce n’est même pas avoir réussi parce que la saveur ne sera déjà pas la même et ça t’aura paru parfois même trop facile, alors que dans beaucoup de projets dans l’entreprenariat, se cachent d’énormes échecs. Moi-même, j’ai fait beaucoup d’échecs. J’ai voulu lancer des trucs, ça n’a pas marché. J’ai voulu faire des choses, ça n’a pas marché. On le sait un peu moins parce qu’on n’en parle pas de ses échecs. On a souvent tendance à les garder pour nous. Mais croyez-moi, tous les entrepreneurs que vous connaissez, sans exception, même ceux qui ont l’air d’avoir le plus gros des résultats ont connu des échecs – et j’ai envie de dire – cuisants même, parce qu’on a tous connu des échecs cuisants.
Dixième et dernier conseil, ça serait de connaitre ton marché. Ne joue pas à un jeu dont tu ne connais pas les règles mais dans lequel d’autres personnes gagnent à ce jeu. Tu vas arriver dans le jeu. Tu ne connais pas les règles ? Tu vas te faire plumer. Tu ne vas rien comprendre à ce qui se passe, et tu vas repartir bredouille, complètement « détruit » parce qu’on t’aura dépouillé. Donc certes, il y a des gens qui « jouent à ce jeu », qui gagnent de l’oseille mais toi tu ne connais pas les règles, donc ça ne sert à rien.
Donc pour ça, comment on connait les règles ? On se renseigne sur son marché. Connaitre son marché, c’est quelque chose de primordial pour que tu puisses « te battre » sur ce marché, avoir un poids sur celui-ci, « défier » tes concurrents. Là, je suis en train de te parler dans ce dixième conseil comme un gladiateur, tu as l’impression que c’est la guerre, mais je pense que tu as cerné ce que je vais te dire : il faut connaitre ton marché sinon tu ne vas pas pouvoir le percevoir, le cerner, et lui parler comme il faut.
Donc voilà les 10 conseils que je peux te donner aujourd’hui en tout cas si tu souhaites entreprendre. Des conseils, il y en a encore beaucoup d’autres que je pourrais te donner. J’ai vraiment essayé de te synthétiser ça dans 10 conseils qui sont vraiment, selon moi, très importantes, 10 conseils que j’aurais aimé entendre lorsque j’ai commencé à entreprendre, lorsque j’étais le mini-Raphaël, que j’étais là en mode « Ah, l’entreprenariat, l’investissement, c’est trop cool ! Comment on fait ? » Et je ne comprenais rien, je ne savais rien, et j’ai fait pas mal d’erreurs ou j’ai beaucoup cherché. Ces 10 conseils-là, j’aurais aimé qu’on me les donne au moment où j’ai commencé. Donc j’espère que tu les recevras et que tu en feras bon usage. J’espère qu’ils t’ont été utiles.
Si tu as aimé cette vidéo, petit pouce bleu en l’air, un gros Like s’il te plait pour cette vidéo. Commente-la en me disant ce que tu en penses. Est-ce qu’il y a quelque chose qui te bloque ? Est-ce qu’il y a un conseil sur lequel tu as un peu plus de mal à appliquer ? Dis-moi en toute honnêteté ce que tu penses de ces 10 conseils. Partage la vidéo avec des gens qui souhaiteraient entreprendre mais qui pensent qu’il faut soit avoir déjà un métier, soit attendre d’être plus vieux, soit avoir une vraie situation. Bref, peu importent les objections, partage-la.
Et encore une fois, n’oublie pas de regarder la barre de description puisque j’ai un programme qui s’appelle l’Ecole de l’Elite Financière dans lequel je t’apprends à devenir indépendant financièrement le plus rapidement possible. C’est mon programme-phare. On parle de psychologie de l’argent. On parle d’immobilier, de marchés financiers, de cryptomonnaies, de comment lancer un business sur Internet, d’investir, de s’expatrier, de créer un livre. On parle de beaucoup, beaucoup de choses. Je ne vais pas t’expliquer tout en détails, non. Ça prendra beaucoup trop de temps, mais lis bien la barre de description, le programme l’Ecole de l’Elite Financière, il y a des chances qu’il puisse t’être adapté.
Je te dis « à très très vite ». Merci de m’avoir écouté. Ciao ciao.
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