2 secteurs pour survivre à l’inflation (avec nom d’actions)

Je ne te l’apprends plus, nous sommes dans un contexte inflationniste et ton argent vaut de moins en moins. Alors comment le protéger ? Car avant de gagner de l’argent, il faut d’abord faire en sorte de protéger le pouvoir d’achat de celui-ci…

Dans cette nouvelle vidéo, je te partage 2 secteurs que j’affectionne particulièrement lorsqu’il s’agit de détruire l’inflation. Je te partage au passage quelques noms de valeurs dont certaines que j’ai en portefeuille.

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2 secteurs pour survivre à l’inflation (avec nom d’actions)

Retranscription de la vidéo :

Les amis, bienvenue sur cette nouvelle vidéo. On est dans un cadre plutôt très sympathique aujourd’hui. Tu vois un petit peu ce qui m’entoure. On a des beaux palmiers. On a une belle pelouse bien entretenue. On est ici au Maroc à Marrakech chez Tonton Marriott. Et on va parler d’un sujet un petit peu moins cool puisqu’on va parler d’inflation.

Et je vais te partager en fait 2 secteurs aujourd’hui qui sont anti-inflation. Je vais te citer des valeurs. Je vais même te dire quelques valeurs que j’ai en portefeuille que j’ai aujourd’hui dans ces 2 secteurs.

Alors, attention, comme toujours la mise en garde : Ce n’est pas parce que j’ai ces valeurs en portefeuille qu’il faut les acheter.

Je les ai potentiellement achetées il y a déjà longtemps, dont certaines d’entre elles – je te le dis d’avance – je les ai achetées il y a longtemps et je ne les achèterai plus aujourd’hui parce que les taux de rentabilité ne sont plus les mêmes, parce que le fondamental n’est plus le même, parce qu’il y a plein de raisons qui peuvent faire en sorte que je n’ai plus envie de les acheter aujourd’hui.

Donc attention. Je vais te partager quelques valeurs, mais ce n’est pas parce que tu les as vues dans cette vidéo et que je t’ai dit que je les avais en portefeuille qu’à la fin de la vidéo, tu dois courir pour les acheter. Okay ?

Je vais te faire apparaitre plusieurs informations également à l’écran.

Mais première chose dont on va parler, donc l’inflation, on va faire un petit point là-dessus. Malheureusement, l’inflation, à l’heure où je te fais cette vidéo, on est fin septembre-début octobre. Le temps passe très très vite. Et l’inflation ne va pas réellement mieux.

C’est-à-dire qu’on a eu les chiffres du mois d’août. On a vu aux Etats-Unis, comme tu le vois, là sur ton écran, que soit disant ça va un petit peu mieux, puisque l’inflation aux Etats-Unis ralentit pour passer de 8,5% à 8,3% sur la dernière année.

En France, c’est pareil. Ça baisse un tout petit peu en août pour aller à 5,9%. Mais la réalité de ces chiffres, c’est qu’ils ne sont pas rassurants. Pourquoi ?

Parce que ce qui fait que ça baisse un tout petit peu, c’est qu’on a le coût du pétrole qui a beaucoup baissé, et c’est ce qui fait que ça a ramené l’inflation vers le bas. Mais quand on regarde tout le reste, en fait, on se rend compte que ça continue d’augmenter.

Et quand je te parle de tout le reste, c’est ce qui nous concerne dans la vie de tous les jours : l’alimentation, les soins médicaux, les véhicules, le chauffage, le gaz, etc.

Et ça, c’est évidemment inquiétant parce qu’on a en façade le sentiment que l’inflation est en train d’être contrôlée et de prendre le chemin inverse, et pour autant, ce n’est pas forcément la réalité des choses, parce que pour toi et pour moi au quotidien, pour la vie de tous les jours, les soins médicaux, l’alimentation etc., ça continue de grimper et ça continue de coûter très très cher.

D’autant plus que voilà, passer de 8,5 à 8,3% ou être à 5,9% d’inflation en France, oui ça baisse un petit peu, mais ça reste extrêmement élevé.

Donc malgré toutes ces manœuvres monétaires qui sont faites par les banques centrales aussi bien aux Etats-Unis et en France, en Europe, on se rend compte que l’inflation est loin d’être un combat qui est gagné.

Donc dans ces conditions, évidemment, il faut faire en sorte de trouver des solutions, parce que comme je le dis toujours, gagner de l’argent, c’est une chose, mais le conserver en est une autre.

Gagner de l’argent, ce n’est pas forcément le plus dur. Après, il faut savoir le conserver, parce que tout le monde va venir te le chercher, que ce soit les impôts, les banques, tout le monde va vouloir piocher dans ton argent, et ensuite, il faut le faire travailler pour d’abord combattre l’inflation et ensuite gagner de l’argent.

Les gens ont le sentiment, quand ils placent leur argent à X% que ça fait tout de suite gagner de l’argent.

Non. La première chose, c’est que tu combats l’inflation. L’inflation, encore une fois, c’est une taxe vicieuse, pernicieuse, invisible, qui fait en sorte que ton argent vaut de moins en moins. Okay ?

Donc avant de gagner de l’argent, il faut regarder quel est le taux d’inflation, aller regarder à combien tu dois placer ton argent pour gagner plus que l’inflation.

Donc là, quand on regarde aux Etats-Unis par exemple, 8,3% d’inflation, si tu fais travailler ton argent à moins de 8,3% par an, ça veut dire que tu t’appauvris malgré le fait que tu aies placé ton argent.

Donc il faut que ton argent travaille à un taux de rentabilité qui soit supérieur à 8,3%. Entre toi et moi, c’est extrêmement compliqué. C’est pour ça qu’il ne faut pas regarder que l’inflation en ce moment à l’instant T, sinon c’est impossible. Il faut la regarder sur le long terme.

En général, sur le long terme, on se rend compte que l’inflation, elle est environ de 2% par an, ce qui est beaucoup plus facile à contrer, et c’est beaucoup plus facile à investir dans des actifs qui vont te permettre d’avoir plus de 2% par an, et donc de gagner de l’argent.

Donc la réalité, c’est ça. C’est que l’inflation, elle est toujours très élevée, et qu’il faut trouver des solutions pour placer son argent dans des secteurs également qui vont contrer cette inflation.

Donc comment on contrôle l’inflation ? En allant dans des secteurs qui ont cette capacité à augmenter leurs prix selon ce qu’on appelle le « pricing power ». Donc ils vont pouvoir augmenter leurs prix pour suivre le cours de l’inflation.

Il y a des secteurs où c’est très compliqué. Tous les secteurs où justement la concurrence se fait sur les prix, où on tire toujours les prix vers le bas, c’est compliqué de dire au consommateur : « ça va monter ».

Il n’y a pas de choix à un moment ou un autre. Si la survie de l’entreprise en dépend, il n’y aura pas le choix. Mais les entreprise qui par nature ont cette capacité de pouvoir fixer des prix relativement librement parce qu’elles ont un branding très très fort, une marque très très forte, par exemple Apple, c’est beaucoup plus simple pour elles de suivre l’inflation.

Parce qu’évidemment, une entreprise comme Apple, elle va potentiellement acheter ses composants, ses matériaux beaucoup plus cher auprès de ses fournisseurs, et il va falloir qu’elle répercute ça sur le prix de l’iPhone si elle veut conserver ses marges.

Et c’est quelque chose que fait entièrement Apple parce qu’elle a cet effet d’échelle premièrement, et elle a une marque extrêmement forte. Okay ?

Deux secteurs, qui sont pour moi anti-inflation et que j’adore beaucoup parce qu’en fait, au-delà d’être anti-inflation, peu importe ce qui se passe dans l’économie, ces secteurs se portent bien. C’est-à-dire que ces 2 secteurs – peut-être que tu me vois venir – (il y en a 11 des secteurs de l’économie).

Ces 2 secteurs que je vais te citer aujourd’hui, c’est le secteur de la santé et le secteur des biens de consommation courante.

Biens de consommation courante, ça veut dire quoi ? C’est tout ce qui concerne la vie de tous les jours : le shampoing le matin quand tu te laves, le gel pour le corps également, les savons, la lessive pour laver tes habits, le dentifrice, ce que tu vas manger, donc de la nourriture, ce que tu vas boire également, donc de l’eau, de l’iced tea, de la bière, ce que tu veux.

C’est tout ce qui concerne la vie de tous les jours pour nos besoins, pour laver le sol de ta maison… Tout ce que tu veux, le Mr Propre etc.

Et ces 2 secteurs, évidemment, tu comprends très bien, ça résiste à l’inflation et aux récessions parce que les gens ont besoin de se soigner. Ça veut dire, crise ou pas crise, quand ça ne va pas, on a besoin de se soigner, on fait tout pour que ça soit une priorité.

Et crise ou pas crise, je crois qu’on continue de boire de l’eau, de manger, même si c’est de la qualité moins bonne, même si c’est en quantité plus faible, même si c’est moins régulièrement, on le fait quand même. Il faut quand même survivre. Il faut manger.

Donc ces 2 secteurs, je les adore. Et pour avoir une première approche sur comment sélectionner des entreprises dans ces secteurs, c’est ce que je dis toujours à mes clients.

Ça peut faire toujours peur puisqu’il y a plein d’entreprises cotées en Bourse et on me dit : « Ouais mais Raph, moi je vois que le S&P500, c’est 500 entreprises. En réalité, il y a même des milliers d’entreprises qui sont cotées en Bourse aux Etats-Unis. Comment tu fais pour trouver des valeurs qui versent des dividendes et qui sont intéressantes sans y passer un temps monstre parce qu’évidemment, je n’ai pas le temps d’aller voir toutes les valeurs ou ça va me prendre beaucoup de temps ? »

Donc première approche pour faire le tri, pour aller vers des entreprises qui sont potentiellement très solides, c’est d’aller ce qu’on appelle « les Aristocrat Dividends » ou les « King Dividends ».

Les Aristocrat Dividends, c’est 25 ans de suite d’augmentation du dividende. Les King Dividends, c’est 50 ans de suite d’augmentation de dividendes.

Et pour l’exemple de cette vidéo, j’ai choisi d’aller voir au minimum des Aristocrat Dividends, donc des entreprises qui ont versé pendant au moins 25 ans de suite un dividende croissant. Donc pendant 25 ans, le dividende ne fait qu’augmenter.

Et je suis allé voir dans le secteur des biens de consommation courante et dans le secteur de la santé quelles étaient ces entreprises qui correspondaient à ce critère, qui était donc une Aristocrat Dividend et qui a augmenté le dividende pendant au moins 25 ans de suite.

Je te mets à l’écran la slide pour le secteur de la santé en premier. Et tu peux voir qu’il y a quelques entreprises qui ressortent, notamment Cardinal, notamment Abbvie,Medtronic, Johnson&Johnson…

Alors, peut-être que tu ne les connais pas toutes. Encore une fois, quand on est Français ou Européen, et qu’on investit aux Etats-Unis, ces entreprises américaines potentiellement, on ne les connait pas toutes parce qu’on ne les voit pas tous les jours dans son quotidien.

Si je te parle d’entreprises françaises, il y a de fortes chances que tu en connaisses beaucoup plus. Mais là, c’est normal que tu ne les connaisses pas toutes.

Potentiellement, tu connais Johnson&Johnson, et Walgreens peut-être parce qu’il y a des pharmacies Boots au Royaume-Uni, notamment beaucoup que tu as déjà peut-être dû voir, ou dans des aéroports, et Abbvie peut-être, tu connais.

Je ne sais pas. Dis-moi dans les commentaires d’ailleurs si tu les connais ou pas du tout.

En vert, que je t’ai mis, c’est celles que j’ai personnellement en portefeuille. Donc tu vois qu’il y a Abbvie, Walgreens, et Cardinal.

Alors, encore une fois, ces entreprises-là, je sais que pour certaines d’entre elles et je ne te dirai pas lesquelles, je ne les achèterais pas aujourd’hui, forcément en 2022 pour plusieurs raisons.

Il y a quelques entreprises que je n’achèterais pas forcément aujourd’hui parce que j’estime qu’elles sont trop chères. Encore une fois, comme en immobilier, comme dans un business, quand on investit, on veut toujours faire en sorte qu’on paie bien le prix de son actif, et si j’estime qu’on paie trop de fois les bénéfices, je n’achète pas.

Donc aujourd’hui, il y a des entreprises que je t’ai citées et que je n’achèterais pas. Okay ?

Secteur des biens de consommation courante, je te le mets à l’écran également. J’ai ciblé ces entreprises qui sont des Aristocrat Dividends donc avec un dividende croissant d’au moins 25 années.

Tu as certainement beaucoup plus de marques que tu connais cette fois-ci. Tu as Coca-Cola, Pepsi, McDonald’s, Hormel, Archer Daniels Midland, Sysco. Bref, dis-moi ce que tu connais dans les commentaires ci-dessous.

Encore une fois, en vert, c’est ce que j’ai. Donc tu vois que je n’en ai qu’une. Et là, je peux te dire très franchement, aujourd’hui maintenant, tout de suite, je ne l’achèterai pas du tout, parce que c’est une très très belle entreprise.

Toutes les entreprises que je viens de te montrer, aussi bien dans le secteur de la santé que des biens de consommation, ce sont de très belles entreprises qui sont solides, qui sont leaders de leur secteur, de leur domaine, qui savent ce qu’elles font, qui font beaucoup d’argent, de chiffres d’affaires, qui font beaucoup de bénéfices, qui ont de la marge, qui reversent beaucoup de dividendes à leurs actionnaires.

Mais cette entreprise Archer-Daniels, je ne l’achèterais pas aujourd’hui parce qu’elle n’est pas du tout rentable. Elle est même trop chère en ce moment et pas du tour rentable. Elle est à à peu près 1% de rentabilité en ce moment je crois, si je ne dis pas de bêtise.

Et en fait, ce qui s’est passé, c’est que je l’ai achetée à un moment où elle a été bradée. C’était pendant le Covid.

Pendant le Covid, je ne sais plus combien elle a pris dans la gueule, à moins je ne sais plus combien. Elle était bradée et j’ai pu verrouiller en fait à l’achat une belle rentabilité, je ne sais plus précisément combien mais autour de 4%, donc une belle rentabilité à l’achat, que j’ai pu verrouiller et également une plus-value, puisque cette valeur, elle va être pas loin des 100% de plus-value à l’heure où je te parle aujourd’hui, ou un petit peu moins ou un petit peu plus.

Je ne sais plus précisément. Mais on a une très très belle plus-value là-dessus. Okay ?

Mais l’idée, c’est ça. C’est de se dire que ces 2 secteurs combattent l’inflation et qu’il ne faut pas hésiter à aller voir dans ce genre d’entreprise parce que c’est rassurant. C’est-à-dire que c’est l’entreprise qui commercialise des produits dont tu as besoin tous les jours, ça combat évidemment facilement l’inflation.

Pour le secteur des biens de consommation courante, c’est très très facile de comprendre.

Le secteur de la santé, il faut payer le soin de santé, l’hospitalisation. Le coût, ça va être le coût tel qu’il est. C’est comme ça, il faut payer.

Le secteur des biens de consommation courante, ce qui est bien avec ce secteur, c’est que les entreprises qui sont dans ce secteur ont plein de possibilités de s’en sortir notamment dans la façon dont elles vont vendre à leurs clients.

Par exemple, je te mets une slide également encore une fois sur ton écran. Par exemple, les clients, plutôt que d’acheter du vin, ils vont peut-être acheter un alcool un peu moins cher, une bière, une 8-6 par exemple, une bière un peu moins chère.

Plutôt que d’acheter du saumon, ils vont acheter du poulet moins cher. Plutôt que de prendre un caddie complet, ils vont prendre un petit panier au magasin et venir un peu plus fréquemment. Plutôt que d’acheter une bouteille de Coca de 2L comme ils faisaient avant, ils vont prendre une bouteille d’1,5L ou d’1L. Ou alors, plutôt que d’acheter du Nutella, ils vont acheter comme on le dirait peut-être ici au Maroc, du Nutello, de la pâte à tartiner un peu moins chère, etc.

Donc l’idée, c’est que ce secteur peut toujours vendre. Ils vont potentiellement vendre des produits de moins bonne qualité, et c’est pour ça qu’ils ont des gammes de produits différentes, des gammes qui sont chères et des gammes un peu moins chères. Ça leur permet de vendre tout le temps.

Donc voilà les amis ce que je voulais vous dire. Ces 2 secteurs sont extrêmement importants pour combattre l’inflation.

D’ailleurs, dis-moi si dans les valeurs que je t’ai citées, il y a des entreprises que tu as déjà en portefeuille.

Petite remarque pour terminer : Ce n’est pas parce qu’on est en pleine période d’inflation qu’il faut à tout prix investir dans ces secteurs. Potentiellement, tout le monde est déjà sur ces secteurs. C’est-à-dire qu’il y a une forte demande pour ces secteurs parce que ça rassure et que c’est déjà peut-être trop tard quand on est un peu inflationniste d’aller sur ces secteurs.

C’est pour ça que personnellement, en ce moment, j’investis beaucoup sur des valeurs qui sont cycliques et qui sont bradées parce qu’elles ne rassurent pas. Des valeurs cycliques, ce sont des valeurs qui suivent l’état de l’économie.

Donc quand l’économie va mal, ces valeurs vont mal. Là, l’économie va plus ou moins mal, donc ces valeurs, elles vont mal dans la mesure où elles sont bradées par les investisseurs, et le coût est – pas en chute libre mais bradé.

Pour moi, il y a beaucoup de bonnes affaires dans le secteur non cyclique. Et à l’inverse, là où tout le monde irait maintenant sur les secteurs qui sont rassurants parce que ça contre l’inflation, c’est potentiellement déjà trop tard, parce que les valeurs s’achètent beaucoup trop cher.

Donc tu vois ce que je veux dire ? Il y aura une sorte de décalage dans le temps, d’acheter des valeurs qui ne sont pas intéressantes sur l’instant T, pour plus tard.

C’est-à-dire qu’il fallait acheter des valeurs qui contrent l’inflation, par exemple le secteur de la santé et le secteur des biens de consommation courante quand il n’y avait pas l’inflation.

Et maintenant qu’il y a de l’inflation et que les valeurs cycliques sont décotées, n’intéressent personne, c’est peut-être le moment de les acheter pour quand l’économie prendra un autre tournant et où ces valeurs seront beaucoup plus achetées par les autres investisseurs. Okay ?

Donc voilà ce que je veux te dire en remarque de fin. N’hésite pas à me dire ce que tu en penses dans les commentaires. Ça me ferait plaisir d’avoir ton petit retour là-dessus.

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Et je te laisse sur ces quelques mots en direct de Marrakech, du Maroc et de ce beau soleil à l’heure où en France, il ne fait pas très beau.