Pourquoi les pauvres perdent toujours en bourse

Après plusieurs années en tant qu’investisseur en bourse (et en ayant gagné de l’argent), je me rends compte qu’il y a un profil d’investisseur qui perd toujours de l’argent…

Ce que j’appelle les « pauvres » ou les particuliers. Ce sont systématiquement eux qui font les plus grosses erreurs et qui se font tondre comme des moutons…

Dans cette vidéo, je te partage l’histoire d’un client et de ce qu’il m’a dit au téléphone. J’en profite pour te partager deux images qui illustrent parfaitement pourquoi les pauvres perdent de l’argent en bourse.

Pour terminer, je te partagerais les 6 erreurs que j’ai remarqué et qui reviennent systématiquement chez les pauvres qui perdent de l’argent en bourse.

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Pourquoi les pauvres perdent toujours en bourse

Retranscription de la vidéo :

Les amis, bienvenue sur cette nouvelle vidéo toujours en direct de Tallinn, en Estonie. On va parler d’un truc qui m’énerve, qui m’énerve : Pourquoi les pauvres perdent toujours de l’argent en bourse ? Qu’est ce qui fait que ce sont toujours le même profil, le même type de profil qui perd de l’argent en bourse ?

On va, du coup, couper cette vidéo en 3 morceaux : premier morceau, je te raconte une petite histoire d’un client qui c’est passer il y a quelques jours. Deuxième morceau, je te montre une belle petite image qui résume parfaitement toute l’idée qui se cache derrière cette vidéo. Et troisième morceau de la vidéo, on va résumer en 6 points pourquoi finalement les pauvres « perdent toujours de l’argent » sur les marchés financiers lorsqu’ils investissent en bourse.

Donc, pour commencer, par la petite histoire : j’ai au téléphone, il y a de ça quelques jours, un client, au téléphone. Et ça m’énerve, d’autant plus, quand c’est un client, je me dis : « Merde, comment ça se fait, comment ça se fait encore une fois que malgré toute la théorie, malgré tout ce qu’il a pu apprendre dans les formations, tout ce que j’ai peu lui dire et redire sur « comment se comporter » quand on a parfois des évènements sur les marchés qui sont un peu désagréables. Comment, malgré tout ça, j’ai encore ce type de question ? «

Et en fait, ce client, je l’ai au téléphone et il me dit : « Bon, voilà… » Il me pose quelques questions, blablabli, blablabla, et à un moment, il commence à me dire : « Bon, en ce moment, les marchés ce n’est pas fou, fou, tout est dans le rouge, mon portefeuille il est dans le rouge. Toi, aussi, Raph, tu es en mode… »

Il cherchait un petit peu à se faire rassurer, je sentais qu’il voulait être certain que, voilà, ce n’était pas que lui, et que « c’était un petit peu tout le monde ».

Je lui dis : « Ecoute, oui oui, en ce moment, là en effet, sur les derniers jours, ce n’est pas fameux, il y a beaucoup de volatilité, il y a beaucoup d’incertitudes ». Mais, je lui dis : « Tu sais, ça fait depuis 2020 que malheureusement, les marchés sont extrêmement volatiles entre le Covid, l’inflation, ce qui se passe en Ukraine, la remontée des taux d’intérêts et tout ce que tu veux. Il y a en effet, pas mal de choses qui font bouger les marchés dans un sens tout comme dans l’autre avec des amplitudes relativement plus grosses que ce qu’on avait pu connaitre dans le passé. »

Et je lui dis : « Oui, écoute, moi aussi, en ce moment, ces derniers jours, c’est volatile, c’est normal. »

Et je lui pose la question que je pose systématiquement à tout le monde, dès lors qu’on me demande presque « des comptes » même si ce n’est pas réellement le cas sur un portefeuille. Et je lui dis : « Mais ton portefeuille, il a quel âge ? Tu as commencé à investir quand ? »

Et là il me répond, tenez-vous bien : « 15 jours ». Et là, dans ma tête, je me dis : « Non ! ». Enfin, je ne le dis même pas dans ma tête, je lui dis aussi directement à lui, je lui dis : « Ecoute, franchement, 15 jours, ce n’est rien du tout. Tu ne peux pas tirer des conclusions sérieuses sur un portefeuille en seulement 15 jours, tu vois ? »

Là, 15 jours, je crois que c’est le record que j’ai eu parce que 15 jours, c’est vraiment rien du tout.

Je te fais apparaître le petit graphique à l’écran et tu peux voir qu’en fait, ça te partage, ça te montre en fait la différence entre l’investissement et le gambling, un petit peu le casino.

Et, en fait, on peut voir à droite les chances de faire de l’argent, à gauche les chances de perdre de l’argent. Et on voit qu’en fonction du temps d’horizon, sur un mois, tu n’as seulement que 62% de chances de faire de l’argent. Alors que sur 1 an, ta probabilité augmente à ¾, 75%, 5 ans : 89%, 10 ans : 95% et à 15 ans, on peut quasiment dire 100% puisqu’on est à 99,8%, en fait.

Donc, la conclusion, c’est quoi ? C’est toujours la même, c’est celle que je vous partage depuis toujours, celle de se dire que : plus tu as un temps d’investissement qui est long et plus, ta probabilité de gagner de l’argent augmente.

Et c’est bel et bien le cas ici, puisque si tu investis sur un minimum de 10 à 15 ans, tu as presque 100% de chances de gagner de l’argent. Alors que, si en effet, tu investis sur 10 à 15 jours, comme mon client me le disait, tu as finalement beaucoup beaucoup de chances de perdre de l’argent puisqu’en 10 à 15 jours, le marché peut faire totalement tout et son contraire. Donc, ce n’est clairement pas des pertes de temps sérieuses sur lesquelles on peut tirer des conclusions.

Maintenant, je vais me mettre dans un coin de ce petit parking. Ce n’est pas la vidéo la plus adaptée, j’ai beaucoup de choses à te montrer sur l’écran et j’ai envie d’avoir l’image sous mes yeux pour pouvoir t’expliquer comme il faut et donc regarder une image en détail en conduisant, je ne suis pas sûr que ce soit la meilleure des idées.

Donc, on va se foutre ici, on a un grand parking, donc, c’est parfait. Et je vais te montrer à l’instant tu vois, avec mon ordi, vraiment on est bien équipé. Et je vais te montrer cette image que honnêtement j’adore.

Je te la fais apparaître tout de suite à l’écran. Parce que d’après moi, elle résume vraiment très très bien la psychologie malheureusement des investisseurs particuliers, des pauvres, des gens qui sont débutants qui n’ont pas d’expériences et qui se font, encore une fois, bouffés, qui se font malheureusement démontés.

Donc, ça se voit, ça se passe en 19 étapes. On commence à gauche, et là, on voit qu’à gauche, c’est écrit : « Le prix est en train de monter, surveillons le marché ». Ensuite : « Ah, la trend, la tendance, elle a l’air de se confirmer, je vais acheter à la prochaine consolidation. Donc, là, la personne n’achète pas encore. »

Ensuite, en 3 : « Mince, j’ai manqué la consolidation mais c’est à temps, encore un petit peu, je vais peut-être encore pouvoir profiter de cette tendance long terme, on va commencer à acheter ». Donc, là, il commence à acheter au numéro 3.

En 4, il se dit : « Ah, c’est cool que je n’ai pas attendu plus longtemps, tu vois, ça continue, ça a monté donc, finalement, j’ai gagné de l’argent, c’est cool ».

En 5 : « Ah putain, il y a une correction, c’est relou, mais ce n’est pas grave, je vais profiter de cette correction pour renforcer mes positions, ce qui n’est pas déconnant ».

6 : « Ouais, génial, à ce prix-là, j’en profite encore plus de la correction. Je double, je mets encore plus de cash ».

En 7 : « Putain, merde, là ça commence à faire mal, je vends, je vends carrément ».

En 8 : « Je n’y crois pas, c’est vraiment descendu super bas, même plus bas qu’au tout début. Et c’est chaud quoi, c’est vraiment un bottom, là, comme c’est écrit ».

En 9 : « Okay, on va attendre que ça recover, que le marché se remette sur des rails un peu plus cohérents, sinon, ça va vraiment être un investissement long terme le temps que je puisse gagner de l’argent ».

En 10 : « Putain, bordel de merde, qu’est ce qui se passe ? La SEC, (donc, l’équivalent de l’AMF en France), qu’est-ce qu’ils sont en train de faire ? Pourquoi ils n’interviennent pas ? » Tu vois, limite.

En 11 : « C’est bon, j’en ai marre, je revends mes positions et je reste définitivement positionné en dehors du marché ».

En 12 : On est un petit peu réconforté, on se dit : « Bon, tu vois, j’ai bien fait de tout vendre ».

En 13 : « Bon, même si ça remonte, ça ne va pas durer ».

14 : « Tu vois, je te l’avais dit ».

En 15 : « Putain, comment ça, ça remonte ? C’est quoi ce bordel ? »

En 16 : « Mais putain, pourquoi ça remonte ? »

17 : « Ouais, mais les gens ils vont se ‘faire laver’ » – c’est une expression américaine.

En 18 : « Voilà, j’en étais sûr, j’étais sûr que ça allait se passer comme ça ».

19 : « Je vais racheter. De toute façon, c’est encore moins cher que la dernière fois, donc, ce n’est pas très… voilà, je peux me permettre d’acheter ».

Et, en fait, on voit, ici, sur ce schéma, toute la psychologie, totalement en montagnes russes, en fait, de l’investisseur particulier, de l’investisseur débutant, de l’investisseur qui ne sait pas réellement ce qu’il fait. Parce qu’il est extrêmement sensible à tout ce qui se passe, en fait, sur les marchés, les hausses, les baisses, les corrections, les consolidations, et les Bull markets, les Bear markets.

C’est vrai que, là, on n’a pas une échelle de temps, sur combien de temps tout ça, ça s’est passé. Mais, probablement pas en 3 jours. Et en fait, je dirais même plusieurs années.

Et, en fait, malheureusement, l’investisseur particulier, ici, on voit qu’il achète systématiquement au mauvais moment et qu’il revend systématiquement au mauvais moment.

Et si on s’amusait à chiffrer un petit peu tout ça en imaginant un capital fictif de départ, on se rendrait compte probablement que ça serait catastrophique en retour sur investissement à la fin.

Donc, on va clôturer cette vidéo avec les 6 conclusions.

Allez les amis, on peut partir de ce parking pour terminer donc, cette vidéo avec les 6 conclusions, les 6 points à retenir sur pourquoi les particuliers malheureusement perdent, tout le temps, leur argent.

Les cycles

Le premier point c’est que… Je vais fermer la fenêtre pour qu’on ait un bon son.

Le premier point c’est que les particuliers malheureusement ne comprennent pas les cycles. C’est-à-dire que, on l’a vu sur la photo précédente, en effet, les marchés financiers, c’est en permanence des cycles.

Des fois ça monte, des fois ça baisse, des fois on a des évènements qui font qu’on gagne de l’argent, des fois d’autres qu’on en perd sur le court terme, sur l’instant T.

Mais, il faut comprendre qu’en effet, les marchés financiers, ce n’est pas : ça monte tout droit tout le temps, ou ça descend tout droit tout le temps. Non, non, c’est des cycles, des fois ça monte, des fois ça descend.

Et ça, il faut l’accepter dans sa stratégie que parfois on va avoir de la moins-value temporaire ou de la plus-value temporaire. Encore une fois, tant que ce n’est pas vendu, ce n’est ni gagné ni perdu. Et c’est vraiment quelque chose à retenir.

Hop, voie de gauche et on va passer en Sport+. Voilà. Alors, on est bien, là, on est bien, là. Tu vois, ça m’a un petit peu tendu de voir ce genre de réaction.

Les émotions

Ensuite, la deuxième chose c’est que, voilà, il ne faut pas laisser les émotions décider.

Malheureusement les particuliers se laissent toujours influencer par leurs émotions. On l’a vu également dans le graphique précédent.

Tu sais, c’est un petit peu dans la continuité des gens qui ont peu d’éducation financière. Tu vois, ils sont en au magasin, dans un centre commercial, ils voient un truc qui leur plait, ils ne réfléchissent pas beaucoup, ils l’achètent tout de suite.

Et que, en réalité, tout ce qu’ils achètent de façon compulsive n’est pas nécessaire et ça leur fait dépenser de l’argent. Alors, c’est bien pour l’économie, l’argent circule, ça crée des bénéfices pour les entreprises.

Mais moi, j’invite les gens à consommer, c’est très très bien pour l’économie. Mais, ce que je veux dire c’est qu’on trouve souvent ces tendances, ces comportements aussi bien dans un centre commercial que sur les marchés financiers où on voit des gens réagir de façon totalement impulsive au gré de leurs émotions, au gré de leurs humeurs, au gré de ce qu’ils ont entendu à droite à gauche. Et ça, c’est évidemment très très très mauvais.

Vouloir devenir riche rapidement

Troisième point, c’est que les gens veulent devenir riche rapidement. Ils veulent devenir riche rapidement, ils n’ont pas de patience. Ça c’est malheureusement le fléau du 21^ème siècle, Instagram, TikTok, tout ce que tu veux.

On voit des gens riches tout le temps, partout. Et les gens n’ont pas de patience. Donc, dès qu’il y a un petit peu de moins-value, dès que ça perd un peu d’argent, putain merde, il faut récupérer le cash pour le mettre dans quelque chose qui sera évidemment bien plus performant. Ce qui est évidemment se mettre le doigt dans l’œil.

Donc, pas de patience et on ne devient pas riche du jour au lendemain. Ça, il faut l’accepter. Les marchés financiers ne sont pas un endroit pour devenir riche dans tous les cas.

C’est un endroit pour entretenir sa richesse, la faire travailler. Evidement qu’on veut gagner de l’argent, mais, encore une fois, comme je le dis toujours, si tu veux gagner beaucoup d’argents, tu crées une entreprise et c’est vraiment là où tu iras le plus vite.

Donc, ça je te l’ai déjà dit en fait. Voilà, il y a aussi beaucoup de gens qui malheureusement suivent les gens, suivent les modes, les tendances, ont un petit peu cette FOMO, cette Fear of Missing Out, la peur de passer à côté d’une opportunité.

Donc, que ça soit le web.3, les NFT, l’intelligence artificielle ou que sais-je. Il y a toujours une tendance, et on te dit toujours qu’il faut investir en telle valeur parce que c’est celle-ci qui va pump, qui va profiter de cette nouvelle tendance.

En réalité, tout ça, c’est souvent du temps perdu, de l’énergie perdue et in fine, aussi, de l’argent perdu. Parce qu’entre ce qu’on te dit sur la tendance et ce qui est délivré dans la réalité, il y a souvent un fossé d’écart, un gros big-up pour une NFT et compagnie. Les ICO à tout va qui ont eu lieu, pour parler de la crypto, mais c’est une tendance générale que ce soit dans les marchés financiers, etc, dans l’économie, il y a toujours des gens qui veulent suivre des tendances. Et généralement, les tendances sont très très loin de délivrer ce qu’elles promettent.

Le manque de diversification

Donc, cinquième point, l’avant dernier, c’est le manque de diversification. Encore une fois, voilà, tu as souvent beaucoup de particuliers qui sont très amoureux de certaines valeurs et qui ont tendance un petit peu trop les alourdir dans le portefeuille parce que c’est des valeurs qu’ils connaissent bien et ils sont rassurés avec ça.

Plutôt que de se dire que : ils vont les diversifier dans des valeurs, dans d’autres secteurs qu’ils connaissent moins bien de par le secteur en lui-même ou de par les entreprises ou parce que c’est un marché étranger ou parce que, voilà, que sais-je.

Ils ont tendance à un petit peu trop concentrer leur portefeuille alors que, voilà, encore une fois, la concentration, ce n’est pas quelque chose de mauvais, mais c’est quelque chose qu’on fait quand on sait ce qu’on fait, quand tu es un professionnel, quand tu as une sérieuse compétence, etc.

Quand tu es un particulier ou un guignol comme moi, la meilleure solution c’est de diversifier. Tu mets des entreprises de plusieurs secteurs dans ton portefeuille, tu listes tes risques sectoriels, tu listes tes risques économiques aussi parce que tu as des entreprises qui vont être cycliques, qui vont suivre ce qui se passe dans l’économie. Donc, des fois, ils vont bien se porter, des fois, mal se comporter.

Et tu as des entreprises, des secteurs non cycliques qui vont toujours bien se porter, peu importe l’état de l’économie. Pense par exemple aux dentifrices, aux savons, aux médicaments, à la bouffe, aux boissons, etc… ça, tu l’achètes peu importe ce qui se passe dans l’économie parce que c’est vital. Donc, diversification.

L’envie de matérialiser les plus-values

Et sixième et dernier point, c’est l’envie en fait, de matérialiser des plus-values et de garder les moins-values.

Malheureusement, le particulier, il va se dire : « Si j’ai des plus-values, il faut à tout prix que je matérialise ça, que je récupère ce cash que j’ai fait, je ne sais pas, je suis à 20 – 30 – 50% de plus-values. Il faut que je récupère ce cash au final parce que là j’ai gagné de l’argent, c’est cool. »

Et les moins-values, ils ne veulent jamais les revendre parce qu’ils se disent : « Non, je suis en moins-values, il faut à tout prix que j’attende que ça remonte, je ne peux pas accepter de manger une moins-value, ça serait quand même une catastrophe ».

Je vais aller à droite.

« Ça serait une catastrophe de perdre de l’argent, je ne peux pas accepter cette hypothèse ». Et donc, en fait, souvent, c’est presque l’inverse qu’il faudrait faire, se débarrasser des poissons qui puent donc, des moins-values, souvent les entreprises qui n’ont pas délivré ce qu’on espérait et qui ont dégradé leurs fondamentaux. Alors, voilà, ça ne se passe pas terrible.

Donc, se débarrasser de ce qui pue et garder ce qui marche parce que, justement, l’entreprise, elle a su démontrer généralement, s’il y a une plus-value, qu’elle sait délivrer de la performance, les résultats trimestriels ont été bons, tout se passe bien, on gagne plus d’argents et c’est pour ça, qu’il y a une plus-value.

Et souvent le particulier, il fait donc, l’inverse, il veut garder ces moins-values pour ne pas accepter de perdre de l’argent, et revend ces plus-values pour encaisser de l’argent et avoir le sentiment d’avoir fait vraiment un bon coup, une bonne affaire.

Donc, voilà les amis, voilà généralement pourquoi, d’après moi, les particuliers perdent de l’argent.

Je trouve ça vraiment très dommage parce qu’en comprenant ça, on peut s’éviter beaucoup d’erreurs. Mais, le problème c’est qu’il y a aussi beaucoup de particuliers qui comprennent tout ça. Ça ne les empêche pas de, dans la vraie vie, dans la pratique, de faire ces erreurs.

Voilà les amis, pose-moi tes questions dans la barre de commentaires ci-dessous, je me ferais un grand plaisir d’y répondre. Lis bien la barre de la description également ci-dessous. Il y a beaucoup de ressources qui pourraient t’aider à investir en bourse dans les actions à dividendes, soit du livre, de la formation vidéo, du service mensuel pour avoir accès à mon portefeuille.

Tout est dans la barre de description. Et sur cette accélération dynamique, je te laisse, ici. Je te dis à très très vite sur ce joli dimanche ensoleillé à Tallinn. Ciao Ciao.