Dans cette vidéo, je te partage un des accomplissements que je ne pensais pas réaliser un jour dans ma vie quand j’ai commencé à entreprendre…
Je t’annonce que j’ai investi dans 100 entreprises à l’âge de seulement 29 ans !
Mais qu’est-ce que ça veut dire concrètement d’avoir « investi dans 100 entreprises » ? Quel type d’entreprises ? Combien de % de détention de ces entreprises ? Quel type d’entreprises et dans quels secteurs et pays ?
Je te partage plus d’informations ! 🙂
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Comment j’ai investi dans 100 entreprises à 29 ans
Retranscription de la vidéo :
J’ai investi dans 100 entreprises à l’âge de 29 ans, les amis. Ça y est. C’est un passage assez historique pour moi. Je suis content de faire cette vidéo. On va parler de comment ça s’est fait, combien j’ai investi, dans quels types d’industries, pourquoi déjà 100, comment ? Enfin bref.
On va un petit peu démystifier tout ça parce que je suis bien conscient que tout le monde à 29 ans n’a pas forcément investis dans 100 entreprises. Je vais t’en parler un peu plus en détails pour te donner un petit peu d’inspiration.
Il n’y a pas, forcément, de viande à retirer de ce que je vais te dire dans cette vidéo-là. Ça a plus un but motivationnel, et te partager quel a été un petit peu le parcours de la première entreprise jusqu’à la 100ème et qu’est-ce que ça veut dire précisément d’être, finalement, investisseur, actionnaire dans 100 entreprises.
Je te parle, ici, aujourd’hui en direct d’Oman, Mascate, la capitale. Je ne sais pas si tu connais cet endroit, si tu es déjà venu. On est, ici, au Moyen-Orient.
Alors, tu le vois. Tu ne le sens pas, toi, mais le soleil est en train de me tabasser. Il fait extrêmement chaud, peut-être 35°C, 33°C, 34°C, 35°C, quelque chose comme ça. Donc, voilà, il fait extrêmement chaud.
Il faut savoir qu’il est 14 h actuellement, et qu’à cette heure-là en général, on ne sort pas dehors parce que c’est très compliqué. Tous les locaux vont sortir le soir sur le bord de la plage, dans les parcs, pour se reposer à ce moment-là.
Alors, parlons de ce qui nous intéresse. Parlons d’investissement, d’actionnariat, de tout ça. Voilà, peut-être que tu ne me connais pas. Finalement, je vais me présenter assez rapidement.
Je m’appelle Raphaël Carteni. Je suis entrepreneur et investisseur depuis maintenant 2014. Et avant ça, je n’étais pas du tout dans l’entreprenariat ni l’investissement. Je ne suis même pas issu d’une famille qui est spécifiquement dans l’investissement.
Mais, en fait, j’étais étudiant en médecine. Et au bout de 5 ans, je me suis dit : « Allez, c’est bon. Stop, y en a marre. » J’ai fait mes premiers stages. J’ai découvert tout ça. J’ai compris que ça n’allait pas du tout le faire pour moi. Et que j’allais être malheureux dans ce schéma-là.
J’ai découvert l’entreprenariat un peu par hasard sur internet, peut-être un petit peu comme toi en regardant cette vidéo de par ailleurs. Et je me suis dit : « Ah ouais, il y a un autre monde. »
Tu sais, il y a celui des Moldus et puis il y a l’autre monde des sorciers. Et je me suis dit : « Moi, je veux être un sorcier. Je veux découvrir cet autre monde qui m’a l’air, quand même, beaucoup plus intéressant, où on a beaucoup plus de temps, beaucoup plus d’argent, beaucoup plus de possibilité. Bref, ça a l’air beaucoup plus excitant. »
Et, c’est comme ça, j’ai commencé, finalement, à entreprendre, à investir. Puisque, évidemment, avant d’investir dans des entreprises, il faut quand même de l’argent.
C’est peut-être une de tes remarques, une de tes premières remarques, de me dire : « Ouais, mais Raph, c’est cool. Tu me dis qu’aujourd’hui, tu as investi dans 100 entreprises. Tu es actionnaire de 100 entreprises, mais tu l’as trouvé où l’argent pour prendre des parts de ces entreprises ? »
Et c’est une très très bonne remarque puisqu’aujourd’hui, tu as 2 possibilités. Il y a soit tu crées une de zéro, et parmi ces entreprises, il y a évidemment des entreprises qui m’appartiennent à 100% ou en grande partie. Donc, ça c’est la première possibilité.
Mais, évidemment, ça demande de l’huile de coude. Il va falloir charbonner. Il va falloir faire en sorte que tu trouves une idée, que tu la commercialises, un produit, un service, le marketing, la compta, le support client, vendre. Enfin, tout ça.
Et tu le sais très bien si tu es déjà entrepreneur. Ce n’est, évidemment, pas un métier facile. Il faut avoir, au début, la multi casquette. Première possibilité.
Et la deuxième, c’est de se dire : « Moi, je ne veux pas créer un business. Je ne veux pas créer une entreprise, mais par contre, je veux prendre des parts d’entreprises qui ont une idée, qui ont un produit, qui ont un service, un chiffre d’affaires, des marges, des bénéfices sur la croissance. Et je veux, voilà, investir dans cette entreprise, prendre des parts, et la regarder croître, idéalement pour gagner de l’argent dans le futur. »
Ça, c’est la deuxième possibilité.
Moi, ce que j’ai fait c’est que j’ai fait un mélange des deux. C’est-à-dire que, évidemment, au début pour récupérer de l’argent, il faut, à un moment, le générer d’une façon ou une autre. Alors, encore une fois, tu as 2 choix.
Soit le travail salarié, soit l’entreprenariat.
Via un travail salarié, tu sais, tout comme moi, 1.000, 5.000, 2.000, 3.000€ par mois, 4.000 même, 5.000, 6.000, 7.000, c’est bien. Mais, ce n’est pas ça qui va te permettre de devenir réellement riche, et de gagner de l’argent, en tout cas, beaucoup d’argent.
Deuxième possibilité, l’entreprenariat. C’est ce que j’ai donc décidé, comme je te l’ai dit.
J’ai arrêté mes études de médecine et j’ai créé, en fait, mon activité sur internet. Puisque 2014, ce n’était pas encore comme en 2022, clairement.
En 2014, il fallait mettre les mains dans le cambouis, aller chercher les extensions pour avoir un petit pop-up, mettre les mains dans le code. Il n’y a pas toutes les solutions comme on a aujourd’hui avec Shopify, Clickfunnels, tout qui est intégré avec du drag-and-drop. Tout se fait très très bien très facilement. Non, il n’y avait pas tout ça.
Mais, c’était quand même déjà un marché extrêmement porteur, internet, où on sentait qu’il y avait de l’argent, qu’il y avait beaucoup de choses à faire.
Donc, j’ai créé mon activité sur internet, au début, pour aider les étudiants en médecine, en fait, à réussir leur concours de première année, puisque j’avais réussi du premier coup.
Et ensuite, j’ai vendu des produits. Je te la fait court toute cette partie-là. Ce n’est pas ce qui t’intéresse le plus dans cette vidéo. J’en ai parlé dans d’autres vidéos et dans mon livre, également.
Mais, en gros, voilà, j’ai vendu des produits, des services, et les bénéfices de ces ventes, évidemment, j’ai commencé à les investir. Dans de l’immobilier, dans de la bourse, etc…
Principalement au début, de l’immobilier et de la bourse, et par la suite, des entreprises, notamment des start-ups, et de la cryptomonnaie, etc… Et, en fait, c’est comme ça que c’est fait doucement mais sûrement.
Je vais te faire un petit état des lieux des 100 entreprises, parce qu’en fait, on a 100 tout pile, là. J’ai investi dans la 100ème entreprise il y a quelques jours de ça. C’est pour ça que je te fais la vidéo aujourd’hui. Maintenant, c’est tout frais, réellement.
Et parmi ces 100 entreprises, finalement ça s’éclate. En fait, il y a 67 entreprises qui sont des start-ups. Donc, j’ai investi beaucoup dans des start-ups. C’est-à-dire des entreprises qui sont non-cotées en bourse, qui sont encore de jeunes entreprises.
Et ces start-ups, elles sont situées un petit peu partout dans le monde. C’est-à-dire qu’il y en a qui sont en Inde, qui sont au Mexique, qui sont au Nigéria, qui sont au Pérou. Evidemment aux États-Unis. Il y en a d’autres qui sont au Pakistan, au Bangladesh.
On a où ? On a l’Ouganda. On a le Kenya. On a la Colombie. On a, j’en oublie peut-être certainement, une en Chine, une en Israël.
Bref, on a pas mal d’endroits sur la planète où j’ai des start-ups, puisque je suis tout seul. Peut-être pas dans ma tête, mais je suis tout seul à investir.
Donc, 67 start-ups. 26 entreprises cotées. Donc, cotées en bourse, ça veut dire, voilà, des actions en bourse finalement, américaines. Des actions américaines qui versent des dividendes. Moi, c’est mon créneau là-dessus pour tout ce qui est sociétés cotées en bourse, puisque je veux récolter des dividendes tous les mois. Donc 26 entreprises cotées en bourse.
Et ensuite, il en reste 7, si les maths sont bonnes. Et le 7, c’est pour les activités immobilières et mes activités en ligne.
C’est-à-dire que j’investis, également, dans l’immobilier en France. Et là, j’ai des structures types SARL, SC, donc, société civile, SCI, société civile immobilière.
Ensuite, j’ai mon entreprise également en Estonie, pour mon activité en ligne, business internet. Et donc, avec tout ça, on est arrivé à 100.
Donc, en fait, c’est fou. Parce qu’en effet, on est en 2022 aujourd’hui, presque 2023. Donc le temps passe très très vite. J’ai commencé en 2014. Donc, ça fait presque… Ça fait quoi ? Ça fait 8 ans. Ça fait déjà 8 ans. C’est fou. Quand je fais les maths avec vous, ça me parait déjà énorme. Et en fait, ça passe vite.
C’est-à-dire que quand j’ai commencé en 2014, je ne me suis pas dit : « Bon, évidemment que tu seras actionnaire de 100 entreprises. C’est même limite impossible, tu vois. Genre, 100 entreprises, c’est beaucoup trop. Genre, ce n’est pas possible. »
Et en fait, on y est. Tu vois, aujourd’hui, à l’aube de mes 30 ans, c’est-à-dire que j’ai 29 ans aujourd’hui, j’aurai 30 ans dans un peu plus de 6 mois, dans 8 mois, et je me dis : « Ça y est. J’ai des parts dans 100 entreprises. »
Donc, ça veut dire quoi avoir des parts dans 100 entreprises ? Tu te poses peut-être également la question. Parce que finalement, aujourd’hui, tu vas te dire : « Ouais, mais si tu as des parts à hauteur de 100€ dans une boîte qui vaut, je ne sais pas, des milliards, par exemple, en bourse, voilà. Si tu as une action à 30 balles alors que la boîte elle vaut 50 milliards, c’est « nul ». »
Oui, tu es actionnaire d’une boîte. Tu peux dire que tu en as 100 en investissant peut-être que 1.000 ou 2.000€, toi, au final. Donc, non, ça serait ridicule.
Alors, évidemment, je n’ai pas 100 « entreprises ». Je ne suis pas actionnaire de 100 entreprises. On est en départ à hauteur de seulement 100€.
Comment ça s’éclate ? Pour tout ce qui est immobilier et business, c’est un petit peu différent, parce que déjà-là, je suis actionnaire quasiment à 100% ou en majorité, 50, 25 pour certaines. Ça dépend, s’il y a eu des associations ou pas sur certaines structures.
Mais, voilà, j’ai un gros morceau du gâteau puisque c’est de l’investissement immobilier. Donc, évidemment, les associés ce sont des personnes que je connais. Ou alors, je suis tout seul parce que j’ai monté le business tout seul, notamment pour la partie internet. Donc là, tout m’appartient. C’est très très différent.
Pour la partie entreprises cotées en bourse, là ça peut vraiment aller, c’est assez disparate. C’est-à-dire que j’ai des lignes qui sont à 5.000, 10.000, et j’en ai d’autres qui sont à 70.000$.
Donc, ça veut dire que, c’est quand même déjà intéressant quand tu as une ligne sur une seule entreprise, 70.000$. A l’échelle personnelle, c’est intéressant. Evidemment, l’échelle de l’entreprise qui est cotée en bourse, elle vaut, je ne sais pas, 20, 50, 60 milliards.
Evidemment, tu es une goutte d’eau en tant qu’actionnaire pour cette entreprise cotée en bourse. Parce que l’entreprise, elle est tellement énorme que tu n’es encore personne.
Mais à l’échelle personnelle, si tu as 70.000$ dans une seule entreprise qui te verse des dividendes à hauteur, je ne sais pas, de 5%, ça veut dire que chaque année, cette entreprise te verse 3,500$ de dividendes.
Donc, tu vois, c’est énorme. Peut-être que pour toi, c’est 2 mois de salaire. Moi, je les perçois de façon totalement passive, sans avoir à travailler tous les ans. Donc, ça, c’est plutôt intéressant.
Ensuite, pour tout ce qui est start-up, là, ici ça va aussi dépendre des start-ups. Parce qu’il y a des start-ups dans lesquelles je crois plus, d’autres, dans lesquelles je crois moins. D’autres pour lesquelles j’ai re-participé à un deuxième tour de table.
Puisque, tu sais, les start-ups, tu participes à une levée de fonds. Okay. Elle grossit la start-up, et elle va relever des fonds, peut-être 6 mois, 1 an, 2 ans plus tard. Et elle va redemander, des fois, aux investisseurs historiques, s’ils veulent remettre, finalement, un billet sur la table.
Et si les chiffres sont bons, moi, je n’hésite pas à soutenir une start-up qui continue d’évoluer dans le bon sens, qui a de la croissance, et qui continue de me plaire.
Donc, il y a des start-ups dans lesquelles j’ai investi sur plusieurs tours de table. C’est déjà arrivé que j’intervienne 2 fois, 3 fois. Et dans cette start-up-là, évidemment, j’ai laissé plus de blé. J’ai investi plus de blé qu’une start-up dans laquelle j’ai investi qu’une seule fois.
Donc, pour les start-ups, ça va aller, généralement de quelque milliers, on va dire, de 4 à 10.000 pour faire court.
Il y a une start-up dans laquelle j’ai donné jusqu’à 50.000$, parce vraiment les chiffres sont excellents. Et que ça grossit vraiment très très bien. Et que j’ai une très très belle confiance pour cette start-up dans le futur.
Mais, c’est plutôt l’exception. 50.000$, évidemment, donner 50.000$ à une start-up, c’est énorme. Je ne suis pas à ce niveau-là. J’espère, un jour, « Inshallah » comme ils le disent ici, mais pour le moment, ce n’est pas encore le cas.
Donc, c’est plutôt de quelques milliers, on va dire. Entre 4 et 10.000 pour tirer les traits, par start-up, ce qui est déjà très très bien. Puisqu’encore une fois, les start-ups, ça reste relativement risqué. Okay ?
Donc, voilà pour faire l’état des lieux. Tout ça pour répondre à la question, finalement, initial qui était de : Oui et non. Je n’ai pas mis 100€ par entreprise. Et donc, je n’ai pas investi, finalement, que 10.000$ ou 1.000, 2.000, 5.000, je n’en sais rien, en tout. Okay ?
Donc, voilà, les amis. En tout cas, ce que ça m’a fait comprendre, tout ça, c’est que ça va vite. Ça va très très vite. C’est-à-dire qu’on peut très rapidement détenir beaucoup d’actifs. Je ne pensais pas, franchement, dans ma vie pouvoir dire qu’un jour je serai actionnaire de 100 entreprises.
Je me rends compte aussi que la diversification est ultra importante. Je me suis rendu compte en le faisant, parce qu’en fait, aujourd’hui, je n’ai pas que des boites en France parce que je suis en France. J’ai des boites dans le monde entier.
Comme je te l’ai dit, partout où je vais, aujourd’hui dans le monde, quasiment, je sais qu’il y a des gens qui vont bosser dans ces pays-là pour mes intérêts et pour me faire gagner de l’argent. Parce que, si on parle des entreprises cotées en bourse, évidemment, elles sont implémentées dans énormément de pays.
On va faire un exemple très très simple. Si tu es actionnaire aujourd’hui de McDo, et que tu as mis 100.000$ dans McDo, tu vas dans quasiment, pas tous les pays du monde mais dans beaucoup de pays du monde, tu sais qu’il y a des salariés locaux qui bossent tous les jours pour vendre des Big Macs. Et donc, ils te font gagner de l’argent.
Pour les start-ups, c’est pareil. Je t’ai cité énormément de pays. Je peux ouvrir sur mon ordinateur ici très rapidement mon fichier suivi, mes entreprises, de mes start-ups. Et je suis, encore une fois, positionné dans 16 pays. Tu vois, donc, il y a le Brésil. Je ne te l’avais pas dit tout à l’heure.
Il y a le Bangladesh, Pérou, Kenya, Singapour, Canada, Israël, Mexico, Nigéria, Pakistan, Vietnam, Inde, États-Unis, je ne sais plus ce que je ne t’ai pas encore dit mais, bref. Vraiment pas mal de pays.
Donc, dans tous ces pays, tous les jours, il y a des centaines et des centaines et des centaines de personnes qui se lèvent pour charbonner, pour développer cette start-up, et in fine, me faire gagner de l’argent.
Donc, en fait, j’ai compris à quel point la diversification est importante. Parce que quand tu es en Inde, et que ça dort, aux États-Unis, ça se lève et ça va travailler. En fait, il n’y a même plus de nuit. Et ça veut dire que H24, peu importe dans le globe, il y a quelqu’un qui travaille pour toi et tes intérêts.
Parce que tu as investi dans ces boites-là, et que tu as donné du blé à ces boites-là, pour qu’elles puissent se développer. Donc, ça c’est extrêmement puissant, et j’ai compris en décuplant tout ça.
Qu’est-ce que je voulais te dire d’autres également ? Je t’ai dit quoi ? Je t’ai dit que ça allait très très vite. Je t’ai dit que la diversification était très importante. Je voulais te dire un 3ème point qui m’échappe. Exactement.
Le 3ème point c’est que, voilà, il suffit de penser un petit peu. Le 3ème point, c’est que finalement je me rends compte que c’est la détention d’entreprises qui va réellement te rendre riche.
Je le savais déjà, un petit peu au début. Je l’avais déjà entendu plusieurs fois. Je l’avais lu dans les livres, etc. Mais, en le faisant, encore une fois, c’est là où on apprend le plus. C’est pour ça que je vous invite vraiment à le faire. C’est vraiment là où on apprend le plus, en étant sur le terrain.
C’est que je me suis rendu compte que, vraiment, on est riche quand on a des entreprises. C’est-à-dire que quand je compare ce que j’ai en parts d’entreprises et ce que j’ai en perso, moi, Raphaël Carteni, je me rends compte que je n’ai presque rien en tant que Raphaël Carteni.
Enfin, si je regarde aujourd’hui mon compte courant, c’est, je pense, une blague. C’est-à-dire qu’il y a beaucoup de gens qui peuvent s’imaginer que j’ai, peut-être, beaucoup d’argent sur mes comptes courants. Et en fait, non.
J’ai très très peu sur mes comptes courants. J’ai vraiment ce qu’il me faut pour, en fait, vivre au quotidien.
Parce qu’en fait, quand tu as des entreprises, premièrement, tu peux faire des charges sur tes entreprises qui vont, potentiellement, venir entrer dans des intérêts de la vie de tous les jours. Parce que, notamment, quand tu as une activité sur internet, tu peux faire passer certaines charges.
Et parce qu’en fait, ça n’a aucun intérêt d’avoir des choses en perso. En fait, la meilleure protection, c’est d’avoir des parts. Parce que quand tu as des parts, ça t’ajoute une certaine « protection » vis-à-vis de plein de gens qui peuvent vouloir te prendre tout ce que tu as.
Donc, l’idée, c’est que les riches, encore une fois, peut-être que c’est la première fois que tu l’entends mais, les riches ont des entreprises mais n’ont pas de cash sur leurs comptes courants, ou en tout cas, que très très peu.
Et je pense que tu peux questionner des gens que tu connais qui sont, potentiellement, riches, et leur demander : « Est-ce que tu as plus de choses sur tes comptes courants, ou dans des parts d’entreprises, dans des investissements, dans des actifs ? » Et ils te répondront exactement la même chose.
Donc, voilà les amis. On est à 100 entreprises à 29 ans. Je ne sais pas quand est-ce qu’on passera le cap des 200. Mais je peux déjà savoir avec certitude que ça arrivera un jour ou l’autre. Parce qu’en fait, une fois que tu commences à gagner plein d’argent, il y a un truc qui fait que cet argent, tu ne peux pas le laisser trainer.
Comme je te l’ai dit, il y a un moment ou un autre, l’argent, il faut le réinvestir sans cesse parce que le laisser trainer sur des comptes, ça ne sert à rien. Ça perd de la valeur. Et, ça ne produit rien. Donc, il faut le faire travailler.
Il y a plein de gens qui ont besoin d’argent pour développer des solutions. Donc, il faut aller donner de l’argent à ces gens-là, notamment, plein de start-ups dans le monde entier.
Et donc, je sais qu’à un moment ou un autre, on va arriver à 200 boites, 300 boites, peut-être même 500 boites. Je ne sais pas avec combien de boites je vais terminer ma vie.
Parce que le but c’est que j’en ai 100 aujourd’hui, mais peut-être qu’il y a certaines start-ups qui vont être revendues, donc je vais peut-être descendre à 90. Cet argent issu des start-ups qui vont être revendues, qui auront vécu un évènement de liquidité, un exit, comme on le dit, vont me faire gagner beaucoup d’argent.
On l’espère, en tout cas. Ce blé-là, il faut que je le réinvestisse ailleurs, dans d’autres choses. Peut-être de l’immobilier, peut-être des actions cotées. Bref, on ne sait pas encore. On verra au moment où ça arrivera.
Mais l’idée, c’est de se dire qu’il y a énormément d’opportunités, qu’il y a énormément de boites auxquelles donner de l’argent, et qu’en fait, une fois que tu as commencé à enchainer ce cercle vertueux d’investissement dans les entreprises, en fait, ça ne s’arrête jamais. Donc, voilà les amis.
Je ne sais pas si ça t’a inspiré. Dis le moi, en tout cas, dans les commentaires si ça a pu te donner un petit peu d’inspiration. Mais, l’idée, elle est là, à retenir vraiment, diversification dans plusieurs boites, plusieurs entreprises, et à l’international, de façon à ce que si en Inde, ça se passe mal, il y a le Mexique. Si au Mexique ça se passe mal, le Nigéria, etc.
Et tu n’as, encore une fois, pas tous tes œufs dans un panier.
N’hésite-pas à me poser ta question dans les commentaires s’il y a quoi que ce soit que tu n’as pas compris, si tu as la moindre question, la moindre curiosité.
Lis-bien la barre de la description, puisque ce soit pour l’investissement dans les start-ups, comme je te l’ai cité, ou des entreprises cotées en bourse via des actions à dividendes, je peux t’aider à 100% là-dessus.
C’est, justement, une des parties de mes activités en ligne, sur internet, donc, lis-bien la barre de la description. Il y a toutes les ressources qu’il te faut, du club d’investissement, du livre, du séminaire, de la formation vidéo, du service mensuel, il y a tout ce qu’il te faut.
Voilà, je te dis à très très vite. Je te remercie de m’avoir écouté, et je te dis ciao ciao !
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