Attention, vos relations avec les autres ne seront plus les mêmes après avoir regardé cette vidéo.
Bien évidemment, il ne s’agit pas de manipuler les autres dans un but négatif pour soutirer quoi que ce soit mais simplement d’améliorer vos relations avec les autres dans le but d’obtenir plus dans un rapport gagnant-gagnant
La 1ère étape est d’étudier quel type de personne vous avez en face de vous.
Ensuite, plusieurs leviers sont à activer que nous allons développer dans cette vidéo :
1. Développer la sympathie
2. Augmenter son charisme
3. Comprendre la réciprocité des actions
4. Jouer sur la culpabilité
5. Ne pas être raisonnable dans ses demandes
6. Faire peur aux gens
7. Corruption déguisée
Bien évidemment, ces leviers ne sont pas exhaustifs mais sont déjà d’une extrême puissance… Faites-en bon usage.
🏆Mon Programme Haut-De-Gamme pour devenir Indépendant Financièrement (3 jours offerts avec le code « 3JOURS ») : https://clubmillionnaire.fr/eef
Comment manipuler les gens ?
Retranscription de la vidéo :
Comment manipuler les gens? Donc tout d’abord, si tu regardes la vidéo dans l’objectif de manipuler les gens pour leur soutirer des choses de façon malhonnête, leur voler des choses, non. Non. Ça ne sert à rien. Tu restes ici. Tu peux t’en aller tout de suite. Je ne vais pas te parler de techniques d’hypnose un petit peu bizarres pour que tu puisses soutirer des portefeuilles sans que la personne ne se rende compte dans la rue, ou j’en sais rien. Non. Pas du tout.
Je vais te parler de comment manipuler les gens dans le bon sens. Mais avant que je te parle de tout ça, précisément, petite introduction. Abonne-toi bien à la chaîne YouTube. C’est très important. Tu vas recevoir en avant-première plein d’autres vidéos. Donc n’hésite pas à t’abonner à la chaîne. C’est très important.
Si tu n’as pas lu non plus également ce livre qui est mon livre, « Des bancs de la fac à l’indépendance financière », n’hésite pas à te le procurer dans la barre de description puisque je te l’offre. C’est un cadeau que je te fais aujourd’hui. Tu as simplement à payer les frais de livraison et il arrivera directement chez toi. Donc ça, c’est plutôt cool. Donc procure-le toi.
Et je t’offre également un autre petit cadeau. C’est une formation au contenu secret. Je ne te dis pas ce qu’il y a dedans. Je t’invite à lire la barre de description en même temps que tu regardes cette vidéo pour que tu puisses aller récupérer tout ça, le livre et la formation offerte.
Donc comment manipuler les gens? C’est vrai que le mot « manipuler », déjà, il fait peur. Il a une connotation qui est relativement puissante, en mode « manipuler ». On va dire: « Ah ouais, le mec, c’est un mec malsain, c’est un mec malhonnête, c’est un mec qui a des mauvaises intentions. » Manipuler, c’est un petit peu perçu comme ça. Je ne sais pas si tu es d’accord avec moi. Dis-le moi dans les commentaires ci-dessous. Mais c’est vrai que le mot est relativement puissant.
Je ne vais pas te parler aujourd’hui de manipuler les gens dans un mauvais sens. Voilà, c’est quelque chose de très courant dans le milieu des affaires que de « manipuler » les gens, c’est-à-dire que on manipule les gens dans l’objectif d’arriver à ses fins.
Il faut toujours penser – et je le dis tout le temps – (je pense que tu me connais un petit peu si tu as déjà suivi quelques vidéos de ma chaîne YouTube), il faut toujours penser à la création de valeur et au rapport win-win, aux situations gagnantes-gagnantes pour aussi bien toi, mais aussi l’interlocuteur, l’intermédiaire, la personne est qui tu négocies est une gagnante.
On n’est pas dans un objectif de soutirer et de faire en sorte que la personne, on l’a dépouillée et que on a pris le maximum, et qu’il y a un déséquilibre dans la relation. Donc c’est quelque chose de très courant dans les affaires, et je vais t’expliquer quelques techniques pour « manipuler » les gens.
La première étape, ça va être de tout simplement analyser la personne que vous avez en face de vous, parce que voilà, tu le sais très très bien, l’être humain est très divers en termes de psychologie et de façons de penser. Donc on a des gens qui vont être plus émotifs, d’autres qui vont être plus logiques, qui vont avoir un cerveau très rationnel. Il y a des gens qui vont se sentir plus vite coupables si on les fait se sentir un peu coupables.
Donc il faut vraiment essayer de cerner la personne qu’on a en face de nous le plus rapidement possible en jouant un petit peu sur l’environnement, sur la façon dont il se comporte, etc, histoire d’essayer de comprendre comment cette personne, elle fonctionne, et quels sont les leviers sur lesquels on pourrait jouer avec cette personne pour essayer d’arriver à la situation qu’on souhaite, ce qu’on souhaite obtenir de cette personne.
Le premier levier que je t’invite à utiliser est – limite je commence par un des plus puissants – ça va être de jouer sur la sympathie. Mais dans la sympathie, je vais te développer plusieurs aspects de la sympathie. On le sait tous, quand on est sympathique, quand quelqu’un est sympathique, on a beaucoup plus envie de lui faire des concessions, on a beaucoup plus envie d’être sympa en retour avec lui, et de lui donner plus en retour. C’est logique, voilà.
Je pense que je n’ai pas besoin de développer plus avec ce point. Comment on se rend sympathique aux yeux des gens ? Il y a une stratégie qui est très importante qui s’appelle le mirroring. Je ne sais pas si tu connais. En gros, pour te le faire en français, c’est un petit peu l’effet miroir.
C’est-à-dire que si une personne avec qui tu as rendez-vous, que tu rencontres dans la vraie vie, se tient d’une certaine façon, prend une position, tu vas l’imiter. Donc je ne dis pas que si par exemple, elle se met à se tenir comme ça (poing à la joue), dans la seconde, tu te tiens comme ça. Non, non. Ça serait cramé et elle va comprendre ton petit manège, que tu l’imites et que tu imites ses positions.
Mais ce que je veux te dire, c’est qu’avec un décalage temporel (alors pas non plus trop long, mais pas non plus trop court) tu imites ses positions. Si elle se met au fond de sa chaise, tu te mets au fond de ta chaise également quelque temps après. Si elle croise ses jambes, quelque temps après, tu croises tes jambes. Si elle se ravance et qu’elle met ses mains comme ça, n’hésite pas non plus quelque temps après à mettre tes mains comme ça.
C’est très important d’imiter le comportement de la personne que tu as en face de toi pour qu’elle se sente à l’aise et qu’elle se sente bien, et tu vas pouvoir « avoir une négociation » qui sera plus aisée avec cette personne, et obtenir plus de choses de cette personne.
Egalement, très important, ça va être tout ce qui est le « eye contact ». Ne lâche jamais la personne que tu as en face de toi du regard. C’est très important. Au contraire, un regard qui dévie, c’est un manque de confiance, c’est peut-être quelque chose à se reprocher, c’est peut-être quelque chose de pas sincère, de pas authentique.
Quand tu regardes droit dans les yeux une personne, ça veut dire que tu es là, que tu l’écoutes. C’est très important dans une relation commerciale. Il y a des stats, tu peux les regarder. C’est déjà sorti plusieurs fois. Ça joue énormément le « eye contact », le fait de regarder droit dans les yeux la personne que tu as en face de toi dans une négociation commerciale. Donc ça, c’est également très important.
Tu as également la tonalité de la voix. Neuf pour cent sont ce que tu vas dire, 91% sont la tonalité de ta voix. Donc les mots que tu utilises, ça n’a rien à voir avec ce qui va se passer au niveau du dénouement de la situation. C’est vraiment la tonalité.
Si tu montes, si tu descends, si tu chuchotes, si tu t’excites, bref, la tonalité, c’est vraiment ce qui influence également beaucoup les gens au niveau des rapports que tu vas construire avec eux dans une négociation. Donc ça, c’est très très important.
Plus compliqué à mettre en place, mais très puissant également, c’est la respiration. Si tu arrives à adapter ta respiration sur celle de ton interlocuteur, de ton interlocutrice, de façon à être totalement synchronisée avec cette personne, tu crées encore plus de proximité indirecte, inconsciente.
Tu ne vas pas le ressentir. Toi tu sais que tu fais ça, mais la personne en face de toi ne va le capter. Elle ne va pas dire: « Ouais, lui, il s’est mis à respirer en même temps que les mêmes battements que mon cœur ». Non, non. Pas du tout. Et pourtant, c’est très important pour que la proximité, encore une fois, améliorer une relation de négociation et potentiellement obtenir des avantages ou obtenir le meilleur deal possible pour toi.
Le deuxième point que je voulais évoquer avec toi, c’est le fait d’avoir du charisme. Tu dois avoir confiance en toi, et les gens doivent sentir que tu as cette confiance en toi. Alors, je ne suis pas en train de te dire qu’il faut que tu passes pour un égocentrique, en train de parler toujours de toi, en train de montrer que tu es le plus beau, que tu es le meilleur, que tu te recoiffes tout le temps, que « oh, ma peau… » Non.
Je ne suis pas en train de te dire ça. Mais il faut que les gens doivent ressentir que tu as confiance en toi, que tu dégages de l’assurance. Ça va les rassurer. Ils vont se dire que tu es quelqu’un de confiance, que tu es quelqu’un avec qui on peut faire des affaires, quelqu’un à qui on peut négocier. C’est très important.
Egalement, parlant du charisme, appelle les gens par leur prénom. Les gens, ils adorent qu’on les appelle par leur prénom. C’est ce qui est le plus précieux pour eux, même si c’est anodin. Appelle-les par leur prénom. Pour eux, c’est très très important. Ça peut sembler mineur, mais c’est également très important.
Flatte les gens. Les gens, ils adorent quand ils sont flattés, les gens adorent parler d’eux-mêmes. Donc n’hésite pas à les flatter, à leur dire qu’aujourd’hui, ils ont une bonne mine, qu’aujourd’hui vous aimez bien leur tenue…
Tout dépend encore du contexte. Si c’est une relation commerciale, tu ne vas pas commencer à dire à la nana en face de toi qu’elle a une belle jupe ou une belle robe, sinon, excuse-moi mais ça va être un peu bizarre, et ça va être un petit peu creepy.
Mais en fonction du contexte, n’hésite pas à flatter les gens. « Ah, très belle voiture! » ou « Ah, vous êtes à l’heure. J’aime bien les gens qui sont à l’heure ». C’est anodin, puisque c’est logique d’être à l’heure à un rendez-vous finalement. Mais le fait de le souligner, elle va dire: « Ah oui, c’est vrai. Je suis quelqu’un de bien. Je suis à l’heure en plus. » Voilà.
Donc flattez les gens sur tout et n’importe quoi. Genre je ne suis pas encore en train de dire qu’il faut faire trop, sinon ça va être forcé. Vous savez, les gens qui disent toujours que tout est beau, tout est bien. C’est bon, on en a marre. On a compris que tu aimais tout en fait, et qu’il n’y a même plus de discernement.
Mais quand un truc est bien, et en quantité raisonnée, c’est important de flatter les gens. Les gens, ils adorent parler d’eux-mêmes aussi. Donc n’hésite pas à les faire parler, à leur dire des choses sur eux. Alors, je ne suis pas en train de te dire qu’il faut qu’il raconte tout son week-end en détail, qu’il est parti manger chez Pépé et Mémé, et qu’il a mangé de la bonne lasagne, et que c’était super bon.
Okay, c’est cool, mais si c’est une relation commerciale, ce n’est pas forcément ce qui les intéresse le plus. Mais une minute ou deux avant de commencer, ça détend l’atmosphère. Ça permet de montrer qu’on est sympathique, qu’on a aussi du charisme, qu’on s’intéresse aux gens, qu’on n’est pas simplement là pour l’oseille ou pour un contrat, et qu’on est finalement quelqu’un de cool. Donc le charisme, très important.
La troisième chose que je voulais évoquer avec toi, c’est la réciprocité pour manipuler les gens. Qu’est-ce que j’appelle réciprocité? Encore une fois, voilà, « manipuler » c’est encore un grand terme. Si tu donnes aux gens, si tu montres que tu fais du donnant-donnant, les gens vont vouloir te donner plus.
Donc l’idée, c’est de donner quelque chose, un petit truc qui te permettra d’obtenir quelque chose de bien plus gros. Tu donnes un peu et tu prends plus en proportion. Alors, je ne suis pas en train de te dire que je suis en train d’arnaquer les gens. Ce n’est vraiment pas l’idée de la vidéo et l’idée de la mentalité, mais c’est de créer une relation gagnant-gagnant, où la personne, elle estime qu’elle est d’accord sur les termes, sur la négociation, ou sur la transaction de je ne sais quoi.
Mais l’idée, c’est que tu « enclenches » la négociation en donnant quelque chose, en étant dans cette volonté de réciprocité, dans l’objectif de déclencher ça chez ton interlocuteur. C’est-à-dire que si tu as fait un petit geste, okay, tu as laissé passer quelque chose ou (je ne suis pas forcément d’accord, mais ça, je vous le laisse, je vous l’accorde).
Derrière, tu fais une demande et tu demandes quelque chose, potentiellement, via cette réciprocité, la personne en face de toi va te l’accorder, parce que tu as déjà accordé quelque chose, donc elle se sent redevable de quelque chose envers toi. Donc ça, c’est la réciprocité. C’est important si tu sens que ça peut être utile dans ta négociation.
Egalement, rappelle-toi, au tout début de la vidéo, je te disais qu’il y avait plusieurs types de profils dans la société. Tu as des gens qui vont se sentir vite coupables, des gens qui sont plus émotionnels, des gens qui sont très rationnels et très logiques, et je t’avais dit qu’il faut essayer un petit peu de cerner qui est la personne que tu as en face de toi pour essayer de comprendre comment elle fonctionne, et sur quel levier potentiellement tu vas pouvoir jouer.
N’hésite pas du tout à jouer également sur ces leviers. Par exemple, la personne en face de toi, c’est une personne qui est émotionnelle, n’hésite pas un petit peu à faire la victime. Je n’ai pas préparé d’exemple en tête, donc là, je n’en ai pas forcément.
Mais n’hésite pas à faire réveiller à la personne en face de toi des sentiments de culpabilité, qu’elle se dise: « Ouais, c’est vrai, finalement, il n’a pas tort, peut-être que c’est moi qui ne suis pas raisonnable, et que je suis en train de faire une situation où la personne, elle va être dans une situation de victime, j’en demande peut-être trop ».
N’hésitez pas à jouer sur ce genre de levier. Alors, je ne suis pas en train de dire encore une fois qu’il faut abuser. Gardez toutes proportions, respectez bien évidemment. Il ne faut pas être là à pleurnicher, à faire genre il y a une larme, je vais pleurer aux chiottes, je reviens, je suis tout rouge, j’ai les yeux éclatés. Non. Il ne faut pas non plus abuser.
Je ne suis pas en train de te donner des techniques d’escroc dignes de je-ne-sais-qui, mais jouer avec ces leviers, un petit peu, légèrement, sans que la personne ne se sente vite coupable (genre que tu vois qu’elle est partie se laver les mains et qu’il y avait un insecte dans le lavabo et qu’avec le jet d’eau, l’insecte il est parti dans le siphon, et qu’elle dise: « Oh, putain, j’ai tué quelqu’un. Je ne suis pas bien ».)
» Oui, c’est vrai, tu es une meurtrière ». C’est juste un insecte. Oui, je sais. Peut-être que vous aussi, une fois, ça vous est déjà arrivé dans la salle de bains ou dans la douche, de vous dire: « Oh, j’ai tué un moucheron ou une fourmi » ou je ne sais pas. Ça m’est déjà arrivé.
Si tu sens que la personne, déjà, elle peut réagir comme ça, potentiellement, elle est peut-être un petit peu émotionnelle, donc tu peux jouer là-dessus. Avec les gens qui sont rationnels, qui sont logiques, tu peux préparer tout un tas d’arguments fondés que tu vas expliquer de façon très calme, mais avec plein d’arguments que tu as bien préparés pour que la personne en face de toi se dise: « Ah ouais, c’est vrai, au final… », que ce que tu as dit soit finalement le seul et unique choix, que ce soit le choix logique et qu’il n’y ait plus d’autre version possible, et que finalement, ça devienne « une banalité ». « C’est comme ça, c’est vrai… »
Donc jouer un petit peu comme ça avec les cerveaux un petit peu plus logiques et rationnels. Donc on a dit cerveau logique, on a dit cerveau émotionnel, et on a dit cerveau coupable. Pour les cerveaux coupables, jouez la victime. Par exemple: « Ouais, mais moi… »
Voilà, ce n’est pas avoir du charisme que de faire la victime. On est très d’accord là-dessus, puisque là, c’est un peu antagoniste de ce que je viens de dire. Mais voilà, il y a des situations potentiellement, où faire la victime peut être très intéressant.
Donc je n’ai pas non plus réfléchi, là comme ça. Allez, un exemple, rapidement. Beaucoup de jeunes me suivent, je suis jeune. Par exemple, dans l’immobilier, lorsqu’on fait des visites, et qu’on est jeune, on peut ne pas être respecté par l’agent immobilier, le banquier ou tout un tas d’interlocuteurs.
Et vous pouvez un petit peu par exemple vis-à-vis d’un vendeur dans l’immobilier, faire la victime et dire: « Ouais, je suis jeune, je n’ai pas beaucoup d’argent. C’est mon premier investissement. Je débute. Je ne suis pas très fort ». Voilà. Pour la négociation, ce serait vraiment appréciable si vous pouvez négocier, si vous pouviez me faire un petit effort.
Ça peut être une approche de négociation. Alors, je ne vous dis pas que c’est la meilleure. Je ne vous dis pas que ça marche à tous les coups. Je ne vous dis pas que c’est forcément l’arme ultime. Mais potentiellement, ça peut être quelque chose d’intéressant. Voilà, par exemple.
Au fait d’arriver 10 revendeurs: « Moi je suis multimillionnaire. J’ai 7 millions de patrimoine dans l’immobilier. » Le vendeur va se dire: « Ouais, lui c’est un gros riche. Pourquoi je lui ferai un effort? Un gars qui a de l’oseille. Je n’ai pas envie de négocier avec lui ». Si vous êtes un petit jeune qui est arrivé, première opération etc., potentiellement, le vendeur va vouloir faire un petit effort. Donc là, c’est un petit peu se mettre en position de victime. Pourquoi pas?
Donc bref, jouez en tout cas sur les différents cerveaux, et sur les interlocuteurs que vous avez en face de vous: les gens qui vont se sentir coupables, qui sont rationnels et qui sont émotionnels.
Egalement, il y a la technique de ce qu’on appelle la technique du « pied dans la porte ». C’est-à-dire que ce que vous allez faire, c’est faire une demande qui est insensée. Je ne sais pas, on va reprendre l’exemple de l’immobilier. Le bien est affiché à 300000€, un immeuble de rapport. Vous arrivez et vous dites: « Moi, je te le prends à 150000€. » Donc demande insensée.
Moins 50% dans l’immobilier, on n’est pas au marché. On n’est pas en train de négocier des foulards ou des épices. Tu vois? Donc moins 50% sur un immeuble dans l’immobilier, c’est abusé. Le mec, il va être choqué. C’est une demande qui est insensée.
Mais au moins, vous avez glissé votre pied dans la porte, et ensuite, vous allez pouvoir revenir sur une demande qui est un peu plus censée. En gros, c’est commencer très très bas pour remonter un petit peu. Donc ça, c’est également très puissant comme stratégie.
Autre stratégie, c’est d’accepter une première offre, faire en sorte que la personne accepte quelque chose. Donc là, on ne va pas prendre l’exemple de l’immobilier puisque ça ne va pas forcément fonctionner. Mais faire en sorte que la personne en face de vous, elle accepte quelque chose, aussi petit soit-il (ça peut être quelque chose de très très simple).
Par exemple, exemple bête : vous êtes chez vous, au fond du canapé, vous dites à personne debout: « Ah, s’il te plait, tu peux me donner la télécommande s’il te plait? » Oui, allez, potentiellement, ça l’emmerde, mais elle vous le fait parce que c’est simple.
Donc première demande acceptée, et derrière, « Allez, est-ce que s’il te plait tu peux me faire un sandwich? Tu prends juste deux pains de mie, tu mets un peu de beurre, une tranche de jambon et de fromage. Il y a tout dans le frigo. Et tu me l’amènes s’il te plait ».
Donc demande qui, peut-être qu’au début, il ne l’aura pas acceptée, parce qu’elle se dit: « C’est abusé. Tu te lèves et du vas le faire ». Mais étant donné qu’elle a déjà accepté une demande, psychologiquement, elle a beaucoup plus de chance d’accepter cette seconde requête, cette seconde demande. C’est psychologique. C’est comme les gens qui ont acheté déjà un produit chez vous, aussi petit soit-il, même si le produit il coûte 5€. Au moins, ça l’a habitué à faire un acte d’achat chez vous, et elle sera beaucoup plus à même, 10 à 11 fois d’acheter chez vous un autre produit.
Donc c’est pareil pour les demandes. Si vous avez réussi à faire en sorte qu’elle a accepté une première demande, aussi petite soit-elle, elle pourra potentiellement réaliser autre chose pour vous, d’un peu plus élevé parce qu’elle a déjà fait quelque chose pour vous. Donc ça, c’est également quelque chose d’important à avoir en tête.
Avant-dernière stratégie que je vais te partager, c’est faire peur puis rassurer. Je vais te donner un exemple qui va te parler. Supposons que tu es père de famille. Projette-toi ou que tu es déjà père de famille. Tu as 47 ans, tu es propriétaire d’un joli Porsche Macan GTS, donc une petite voiture très sympathique.
Tu as un fils, il a 20 ans. Forcément, il a le permis. Il veut un petit peu frimer. Il veut faire le beau gosse avec ses copains ou avec les filles. Il veut aller en boite. Il demande: « Papa, est-ce que je peux prendre le Porsche Macan GTS? Comme ça, tu as compris qu’avec les filles, c’est cool. »
Le fils, il revient un jour avec l’idée de demander quelque chose à son père, par exemple, partir un week-end avec ses potes à la Baule, et demander peut-être 300€ à son père pour ce week-end parce qu’il n’a pas l’oseille – il est encore étudiant. Donc il se demande comment il va faire le fils pour faire en sorte que son père lui file 300 balles pour aller partir en week-end à la Baule.
Et là, tu te dis peut-être: « Mais c’est quoi le rapport avec ton début d’histoire et le Porsche Macan ? Très très simplement, un soir il suffit que son fils revienne, il gare le Porsche Macan dans le garage du père, il remonte à la maison, et il dit à son père: « Putain, papa je suis désolé. J’ai fait une bêtise avec le Porsche Macan. Je suis trop con, c’est ma faute en plus. Le Porsche Macan, je l’ai rayé. Enfin, le rétro, je l’ai tapé, et j’ai rayé l’aile du Macan dans le parking. J’ai fait de la merde. C’était un peu serré, et c’est pas passé. »
Et là, le père, vous connaissez, forcément il va péter les plombs. « Une Porsche Macan ! Comment ça, tu me l’as rayée? Je te prête, je te fais plaisir ». Et là, il part en furie. C’est obligatoire. C’est normal.
Et là, le fils, il fait: « Mais non, papa, je rigole. Tu vois? Ce n’est pas du tout vrai. Mais par contre, c’était une blague, tu vois? Rassure-toi, il n’a rien du tout. Par contre, avec mes potes ce week-end, j’aimerais bien partir à la Baule, et on a prévu ça avec Marie et Jean-Paul, et il me faudrait 300 balles parce que je n’ai plus trop d’argent sur moi. Est-ce que tu pourrais me passer 300 balles? »
Et là en fait, psychologiquement, le fils, il a fait peur, et il a rassuré. Et donc, le père va être plus à même de dire oui à sa requête parce qu’il va être soulagé. « Le Porsche Macan, il a rien. C’est bon. Alléluia! C’est bon, il n’a rien. »
Alors, ça ne marche pas à tous les coups parce que forcément, le père, il peut être aussi blasé. Il revient de sa journée de travail et que son fils lui fait une blague comme ça, et puis: « Ecoute, tes conneries de gamin de 20 ans, là, c’est bon, ça me suffit. Va dans ta chambre. Casse-toi! Tu ne mangeras pas ce soir. »
Mais ça dépend encore une fois avec qui, et le contexte, d’analyser la personne en face de nous. Mais faire peur et puis soulager peut être un excellent moyen également de manipuler les gens et d’obtenir ce qu’on veut, d’arriver à ses fins.
Dernière petite astuce que je vais te donner, c’est de faire de la corruption déguisée. En gros, c’est demander quelque chose en échange de quelque chose, mais en faisant passer la chose comme un échange de services. Donc tu vois, c’est un petit peu subtil, c’est un peu borderline. C’est de la corruption, mais pas trop, mais parce qu’il y a quand même un échange de services.
Mais en gros, ça voudrait dire que si tu files un billet de 100€ à un politique ou un mec de la mairie pour qu’il te fasse avancer ton dossier, finalement, c’est pareil – ou 100€ à un policier pour pas que tu aies d’amende, parce que tu as fait une grosse bêtise, finalement, c’est pareil. C’est de la corruption.
Sauf que tu le fais passer comme un échange de services. Donc tu dis: « Bon, okay, je sens qu’on peut avoir un terrain d’entente. Ce que tu me proposes, ça m’intéresse. Je peux t’apporter quelque chose, mais je ne sais pas. Comment on pourrait faire en sorte que je sois prioritaire? Comment on pourrait faire en sorte que ce soit moi avec qui tu travailles? Si je te file en plus du cash ou des biens, des cadeaux, ou je ne sais pas quoi, c’est un échange de « bons procédés ».
Donc certains appellent ça de la corruption. Certains appellent ça un facilitateur de transaction… On appelle ça comme on veut. Après, on ne va pas se mentir. Dans les affaires, ça marche comme ça. Les négociations, des fois, il faut que tu mettes un peu de cash, des fois, tu mets un truc sympa, une bonne bouteille de champagne, des produits de luxe ou des choses comme ça, du caviar, un Carré d’Hermès ou une belle ceinture, ce que tu veux.
Mais des fois, ça peut faciliter des transactions, des négociations. Et là, ce n’est pas forcément de manipuler les gens, encore une fois, parce qu’il y a un « échange de services ».
Donc voilà en tout cas ce que je voulais te dire sur comment manipuler les gens. Moi, j’ai kiffé faire cette vidéo en tout cas. J’espère que tu as kiffé, toi aussi. Mets un gros pouce bleu en l’air si tu as aimé. Il y a beaucoup de bonnes stratégies.
Franchement, là, j’ai donné vraiment des golden nuggets, comme on dit aux States. Il y a vraiment de très bons trucs là-dedans. Si tu les appliques, crois-moi, je pense que dans tes relations, dans tes transactions, tu vas pouvoir obtenir des choses.
Retiens toujours bien que c’est vraiment dans un objectif de win-win, de gagnant-gagnant. On n’est pas là pour arnaquer les gens. Mais si tu maitrises ces choses-là, c’est très puissant. Donc tu vas vraiment pouvoir obtenir beaucoup plus de choses dans la vie.
Donc gros pouce bleu en l’air. Commente et dis-moi si tu as 2 ou 3 stratégies, ce que tu en as pensé de ces stratégies, si tu les as déjà appliquées. N’hésite pas à me dire tout ça. Partage la vidéo mais pas trop, parce que ce sont quand même de bonnes stratégies. Donc n’hésite pas à les partager vraiment à tes amis proches pour qui ça pourrait être intéressant.
Et si tu souhaites devenir indépendant financièrement, entrepreneur, investisseur, si tout ça, ce sont des sujets qui t’intéressent, la psychologie de l’argent également, n’hésite pas à lire la barre de description puisque j’ai un programme pour toi qui s’appelle l’Ecole de l’Elite Financière dans lequel on voit beaucoup de choses.
C’est un programme où il y a différents modules. On parle de psychologie de l’argent, d’investissements immobiliers, de marchés financiers. On parle de cryptomonnaies, de comment lancer un business sur Internet en personal branding, de comment s’expatrier à l’étranger, comment payer moins d’impôts, comment écrire ton propre livre et gagner des royalties.
Tu as aussi plein d’enregistrements de séminaires que j’ai pu organiser moi-même, ainsi qu’un groupe Facebook où il y a tous les membres de mes formations. Bref, c’est un gros gros gros programme dans lequel je t’apprends à devenir indépendant financièrement en un temps record. Donc tout est dans la barre de description. Merci à toi de m’avoir écouté.
Je te dis à très vite pour une autre vidéo. Ciao ciao.
Laisser un commentaire