J’ai investi 1 million en bourse, le bilan

Ca y est, on a pété le million. 1 million dans les actions à dividendes. Je vois déjà ceux qui ont un portefeuille à 4 chiffres me dire que je suis probablement un investisseur médiocre et que si j’avais fait « ça » alors j’aurais « ci »… Bref.

Dans cette vidéo, je te partage pourquoi j’ai décidé d’investir dans la stratégie des actions à dividendes, quel était l’objectif initialement, qu’est-ce que j’ai trouvé difficile pour passer de 0 à 1 million, l’impact que ce portefeuille a eu sur ma vie ou encore quel est le secret pour atteindre 1 million.

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J’ai investi 1 million en bourse, le bilan

Retranscription de la vidéo :

Un million d’euros investis en bourse, le bilan. C’est ce que je te propose de faire aujourd’hui dans cette vidéo du jour.

On se trouve, ici, en Tunisie, à Sousse, sur la côte. Je vais d’ailleurs me mettre sur le balcon pour te faire croquer de la vue. Je ne sais pas si je vais être en contre-jour ou pas mais l’essentiel c’est ce que je vais te raconter puisque le portefeuille en bourse a dépassé les 1.000.000 d’euros investis.

Et, donc, j’ai envie de te faire un petit bilan : Est-ce que je regrette d’avoir investi dans les actions à dividendes ? Qu’est-ce que ça m’a apporté ? Pourquoi j’ai commencé tout ça ? Est-ce que j’ai été déçu ? Est-ce que ça a été dur ? Qu’est-ce que je vais faire ensuite ?

Bref, je te propose de faire un petit peu ce bilan, à la cool, ici, sur le balcon, en direct de Sousse pour te donner quelques informations sur comment ça s’est passé le passage de 0 €, puisque j’ai commencé à 0 €, jusqu’au million.

Allez, on s’assoit tranquillement. J’espère que tu vois encore ma grosse tête et qu’il n’y a pas de contre-jour. Et, on peut commencer.

Alors, pourquoi j’ai décidé d’investir dans les actions à dividendes il y a de ça maintenant une paire d’années ? Tout simple, j’ai rencontré un investisseur dans un séminaire qui m’a parlé des actions à dividendes. Ça m’a grave hypé.

Il m’a dit : « Tu achètes des actions et ces entreprises te paient juste pour les détenir. » Je me suis dit : « Mais, attends, ça parait trop beau pour être vrai. C’est trop simple, genre j’achète des actions et juste je les garde et l’entreprise va me donner une partie de ses bénéfices, comme ça, genre gratuitement. »

Ça me paraissait trop fou et c’est comme ça que ça a commencé bêtement, où j’ai commencé à ouvrir un PEA sur Boursorama et à mettre des 10 euros, des 20 euros, des 50 euros, des 100 euros. Les gens, aujourd’hui, sont souvent un petit peu découragés à se dire : « Oui, mais toi, Raph, tu as déjà beaucoup de capital. C’est pour ça que tu touches tant de dividendes. Moi, je ne pourrais jamais le faire. »

On en parlera un peu plus tard. Mais, j’ai commencé avec des 10 euros, des 20 euros, je m’en rappelle encore très bien comme si c’était hier. C’était en plein été, j’étais hypé à fond et je m’en foutais de toucher des centimes au début. Je me disais : « Mais, centime après centime, aussi longtemps que j’ai l’action. Donc, je peux la garder 40 ans – 50 ans, je m’en fous, ça a toujours « garanti » ce dividende. » Et, on en reparlera de la garantie juste après. Mais, c’est comme ça en tout cas que j’ai décidé de commencer à investir.

Au départ, l’objectif c’était quoi ? C’était de me dire : « Ecoute, ça va me permettre d’investir mon argent ». Je voyais ça un peu comme un jeu. Je me disais : mais, en fait, là je peux mettre que des 10 – 20 euros, des 50. Mais plus tard, je me pourrais peut-être mettre des 100 – des 150 – des 200 – des 300, des 500, des 1.000.

Et puis, en fait, je pouvais passer des paliers, celui des 1.000 euros, des 5.000, des 10.000, des 50.000, des 100.000. Et après, c’est le jeu des simulations, des projections. On se laisse un peu rêver aussi, parce que ça pourrait atteindre, avec les intérêts composés.

Et puis, je me disais : « Mais, attends, c’est un truc de malade, ce truc. C’est-à-dire que si j’investis dans la bourse, et que j’investis dans l’immobilier, et qu’après je fais ci et ça… » Mais, je me voyais, en fait, atteindre, vraiment, des sommets. Et, on est arrivé à un million d’euros, c’est déjà un objectif très sympa pour beaucoup de personnes.

Mais, en tout cas, c’était vraiment l’idée de me dire : « Je vais avoir des revenus passifs qui sortent vraiment du fruit de mon travail. »

A l’époque, rappelez-vous, j’étais encore, si tu ne le sais pas, j’étais étudiant quand j’ai commencé tout ça. J’étais en fac de médecine et je me disais : « Mais, attends, si je peux avoir ça en plus, et que ça me génère, je ne sais pas, 100 – 500 – 1.000 euros par mois, ça serait déjà génial. »

Donc, ça, ça a été vraiment mon point de départ de me dire : C’est génial, j’ai trouvé « la poule aux œufs d’or ». Pas forcément le truc qui allait me rendre riche parce que j’ai bien compris que ça allait être quand même limité à mon capital. Mais, ayant commencé au début de la vingtaine, je me suis dit : « Mais, en fait, j’ai un levier qui est puissant, c’est celui du temps. »

Donc, à tous ceux qui regardent cette vidéo, et qui ont entre 18 et 40 ans, même 50 ans… Il faut comprendre qu’à 50 ans, tu as encore 30 ans d’intérêts composés si on prend l’espérance de vie moyenne d’un homme ou d’une femme en France. Donc, tu as encore largement de quoi faire, surtout qu’à 50 ans, en théorie, tu as plus de capital à disposition que quelqu’un qui a 18 ou 20 ans.

Donc, l’idée c’est de se dire qu’il n’est presque jamais trop tard. Evidemment, si tu as 75 ans et que tu regardes cette vidéo, je suis désolé mais à moins que tu aies un très gros capital, le temps ça ne se rattrape pas et ce sera compliqué.

Mais, le point de départ c’est de se dire qu’il faut commencer tout de suite. Le meilleur moment c’est le plus tôt possible. Donc, c’est maintenant. Là, où tu vois cette vidéo, c’et maintenant. Ce n’est pas demain, ce n’est pas dans 2 semaines. Ce n’est pas quand ça ira mieux.

Moi, j’ai commencé avec des 10 ou 20 euros, des 50, des 100 euros. Et je dis tout le temps à tous mes clients : « Commencez avec au moins 100 euros. » C’est quand même là où c’est le plus intéressant par rapport aux frais de passage d’ordre.

Mais, ne serait-ce que le faire tous les mois, à hauteur de 100 euros, c’est déjà un très très très beau début. Après, mettez-en le plus possible quand vous le pouvez. Si vous pouvez augmenter vos dépôts, faites-le, évidemment.

Mais, ne serait-ce que commencer avec 100 euros par mois, c’est déjà excellent.

Donc, ça, ça a été vraiment le point de départ de me dire : « J’ai trouvé la poule aux œufs d’or. Ça va me rendre libre, indépendant, plus serein au niveau de l’argent. »

Après, ce qui s’est passé entre 0 et 1.000.000, c’est qu’il y a quand même eu des phases de stagnations pénibles. Et, ça, je sais que beaucoup d’entre vous les connaissent. Voilà, je vous accompagne sur l’investissement dans les actions à dividendes. On a les groupes d’échanges, tous ensemble, donc, je vois très bien qu’il y en a parmi vous, parfois, qui souffrez un peu, qui même remettent en question la stratégie, se demandent combien de temps ça va prendre. C’est normal. J’ai eu ces mêmes phases de stagnation.

Il y a des cas, ce ne sera pas les mêmes pour tout le monde. Pour certains, ce sera les premiers 100.000, pour certains ce sera les premiers 10.000. Moi, j’ai vraiment eu des moments de galères.

Je me rappelle, je crois, de 0 à 100, ça a été assez long. J’ai eu des moments de galère autour de 200.000, autour de 600.000, et autour de 800.000. C’est-à-dire que, évidemment, la conjoncture des marchés, au moment où j’étais à ces paliers-là.

Mais, je me rappelle qu’autour des 200.000, des 600.000 et des 800.000, j’ai eu l’impression qu’il restait une éternité. Et quand je te dis ça, ça veut dire que je remettais des 10 ou des 15.000 tous les mois, et tout de suite, je redescendais en dessous de mon ATH, donc, le plus haut que le portefeuille avait atteint. Par exemple, j’étais arrivé à 200.000, je mets un 10.000, et mon portefeuille, 3 semaines après ou 2 semaines après, il revaut 190 alors que j’avais remis 10.000.

Le mois suivant, pareil, je remets un 10.000, je retouche les 200.000 mais il redescend à 190. Je me dis : « Mais, en fait, c’est quoi ce bordel, je mets des 10.000 et je suis toujours plus bas que ce que j’étais avant d’avoir mis les 10.000 ». Donc, je me disais : « Il y a un problème ».

Et, en fait, ça c’est très dur psychologiquement parlant parce que les marchés ça ne fait pas que monter. Des fois, ça baisse malgré le fait que tu ais mis du capital. Donc, tu mets des 10.000, tu mets des 10.000, ton portefeuille, il baisse et tu dis : « Mais attends, en fait, on est en train de me voler ».

Alors, évidemment, tu sais que ce n’est pas le cas parce que, toi, dans ton portefeuille, tu as évidemment plus d’actions qu’avant. Mais, sur l’instant T, le marché a décidé de, un peu moins, pricer ton portefeuille dans sa globalité.

Et donc, ça fait que tu mets de l’argent et tu stagnes. Tu entretiens ton niveau. C’est-à-dire que tu restes autour des 200.000. Et, ça, c’est arrivé 3 fois, autour des 200.000, autour des 600.000, et autour des 800.000, où je me suis dit : « Putain, c’est chiant, quoi. Vraiment, je mets du cash, je mets du cash, je stagne, voir même je régresse, je baisse un peu ». Et des fois, ça a duré quelques mois comme ça, donc, je me disais : « Putain, c’est chiant ».

En fait, même si tu vois tes revenus du dividende augmenter, et c’est ça qui est le plus plaisant, la valeur de ton portefeuille, elle, stagnait.

Donc, ça, des fois, c’est des phases de stagnation un peu pénible où tu te dis : « J’ai l’impression de ne pas avancer, j’ai l’impression de ramer ». Tu essaies un petit peu de nager à contrecourant où tu te bats, tu te bats, tu mets de l’énergie, et la valeur de ton portefeuille n’augmente pas. Les revenus du dividende, eux, augmentent naturellement mais pas la valeur du portefeuille.

Donc, ça, ça a été des petites phases de frustration que j’ai eues parfois, jusqu’au million.

Ensuite, les autres petites phases de frustration, ça a été des baisses du dividende ou des actions qui ont mangé des moins-values.

Là, j’ai parlé évidemment que des trucs qui ont été un peu négatifs, mais, il y a eu des choses positives : le fait qu’on soit arrivé à un million d’euros, le fait que le portefeuille génère à peu près 3.100 dollars par mois de dividendes. Mais, malheureusement, de 0 à 1.000.000, j’ai eu 2 positions, ou 3 d’actions que j’avais acheté qui avaient connu des réductions du dividende.

Alors, il y en a eu une, je n’aurais pas dû l’acheter. Il y en a 2 malheureusement, le Covid a fait mal. Alors, beaucoup m’ont un petit peu, à ce moment-là, « trash talk » en me disant : « C’était évident, pourquoi tu as acheté cette action-là ? » Des choses comme ça.

C’est toujours évident quand c’est fait, tu vois, ça veut dire que, aujourd’hui, pour beaucoup de gens, le Bitcoin a 50.000, 60.000, c’est évident. Mais, il y a 5 ans, ce n’était pas évident. Le Bitcoin à 500.000 pour beaucoup de gens, aujourd’hui, ce n’est pas évident mais quand ce sera à 500.000, ça deviendra comme par hasard, évident, que ça allait valoir 500.000.

Bref, c’est toujours évident pour les gens quand les choses ont eu lieu mais quand les choses n’ont pas eu lieu, là, personne n’ouvre sa bouche.

Donc, il y a des gens qui m’ont dit : « Oui, Raph, c’était évident que ça allait se passer comme ça ». Non. Pour moi, clairement ce n’était pas évident quand j’ai acheté l’action. Evidemment, je n’achète pas des actions en me lançant les yeux fermés sur l’action, j’ai analysé les fondamentaux. Et au moment où je l’ai achetée, tout se passait bien. Malheureusement, il y a des crises, il y a des pandémies, il y a des choses comme ça qui font que c’est plus ou moins difficile pour certaines typologies de business, et j’ai eu 2 ou 3 entreprises qui ont, en effet, soit baissé le dividende soit subi des grosses moins-values.

Alors, pour certaines, j’ai liquidé. Comme ça, on n’en parle plus, c’est terminé. Il y en a une que j’ai encore en portefeuille qui est en très grosse moins-value, je n’ai même pas envie de le dire, tellement ça fait très mal. Mais, je vais même vous le dire, je crois qu’on est dans les moins 75% ou  moins 80%, pour être totalement transparent.

Alors, là, vous allez vous dire : « Attention, c’est quoi ce bordel, Raph, tu investis dans n’importe quoi. » Je ne vous parle, encore une fois, que des déceptions, ce qui était dur, évidemment, dans le portefeuille, il y a pleins. On a 3 – 4 qui sont à 150% de plus-values, on a fait des plus-values de malade.

On a plein qui sont sur des plus-values très sympa, on a des rendements sur le prix de revient qui ont été construits sur toute cette période de temps qui sont juste insane par rapport aux fondamentaux des entreprises.

On a des entreprises qui pourraient s’acheter aujourd’hui à 2% de rendement, moi, je dois avoir des 6% de rendement parce que je les ai tellement bien achetées que le dividende a augmenté au cours du temps. Puis, on a aujourd’hui construit des rentabilités sur le prix de revient qui sont excellentes et qui ne pourront jamais avoir sur des qualités d’entreprises telles que celle-ci avec les conditions de marché aujourd’hui.

Mais, voilà, il faut parler de ce qu’on a bien fait, il faut aussi parler de ce qu’on a moins bien fait. Ça peut être de notre faute, ça peut être aussi le marché. Encore une fois, le marché, on ne sait jamais ce qui peut se passer.

Aujourd’hui, c’est le bordel dans le Moyen-Orient, hier, c’était l’Ukraine. Alors, ce n’est pas fini l’Ukraine mais, demain, ce serait peut-être encore le Taïwan. On n’en sait rien et tout ça, ça a des ramifications, ça a des impacts parfois plus ou moins prédictibles, plus ou moins prévisibles. Puisqu’on n’est jamais à l’abri d’un Black swan avec des impacts pour nos portefeuilles qui sont parfois difficiles à anticiper. Okay ?

Si ce n’est que, qu’est-ce que je peux te dire d’autres ? 100% actions à dividendes du coup, 0 ETF, 0 obligation. Voilà, 100% actions à dividendes, actions individuelles. Encore une fois, je ne vais pas développer dans cette vidéo le pourquoi du comment. Je crois que j’en ai assez longuement parlé dans mon livre, La Magie des Dividendes. Je déteste les ETF, je déteste les obligations.

Les ETF, rapidement, c’est globalement parce que je déteste ne pas détenir mes actions en direct et que je ne vois pas pourquoi je paierais en plus des frais auprès d’un émetteur pour ne pas détenir mes actions en direct et en plus détenir des actions que je n’ai pas envie de détenir. Donc, là, je vais sur les actions que j’ai envie clairement d’avoir en portefeuille.

Les obligations, c’est tout simplement parce qu’il n’y a aucun obstacle potentiel sur le prix de ton actif. C’est de la dette. Il y a une date d’expiration et clairement, ça performe beaucoup moins bien que les actions sur le très long terme.

Encore une fois, si ce n’est pas encore fait, tu peux lire mon livre, La Magie des Dividendes, je t’en parlerai en long, en large et en travers, des trackers et des obligations et pourquoi je n’aime pas ça. Okay ?

Aujourd’hui, le portefeuille génère à peu près 3.100 dollars par mois de dividendes. Donc, en fait, même ça, je me suis rendu compte que je n’arrive pas à les dépenser dans mon lifestyle par mois. C’est-à-dire que je dépense généralement moins de 3.100 dollars par mois.

Ça peut paraitre fou pour beaucoup de gens qui me voient voyager toute l’année, mais en réalité, je n’ai pas un très gros lifestyle. C’est-à-dire que je ne suis pas du genre à cramer dans des bêtises. Je ne suis pas un fin gourmet, je m’en fous de manger dans des Michelin.

En fait, ce qui me coûte le plus cher c’est me déplacer et me loger. Mais, étant donné que je voyage en énormément de pays qui ne sont pas forcément très chers, que ce soit l’Amérique du Sud, l’Amérique Latine, l’Asie du Sud-Est, l’Asie Centrale. En fait, dès que tu sors de l’Europe, tu te rends compte, la vie ne coûte pas très cher.

Donc, 3.100 dollars par mois que je réinvestis tous les mois à 100%. J’ai toujours tout réinvesti. Je n’ai jamais sorti 1 seul dollar pour vivre, moi, personnellement. Alors, quand je dis que je ne dépense pas tout, c’est quand je compare ce que je génère en dividendes et ce que je dépense à côté. Mais, je ne dépense pas mes dividendes, je les réinvestis à 100%. Okay ?

Si je devais te donner un secret, c’est la patience. Moi, je n’ai pas commencé hier, je n’ai pas commencé il y a 6 mois, je n’ai pas commencé il y a 1 an, j’ai dû commencer il y a déjà peut-être bientôt 10 ans, 8 – 9 ans. Je ne sais pas, je suis très mauvais en temps, je ne vois pas le temps passer.

Mais, voilà, la patience, la discipline de le faire tous les mois, régulièrement, à la hauteur de tes moyens. Encore une fois, ne te compare à personne, ça ne sert à rien.

Mais pas d’émotion non plus, la volatilité est parfois très dure à accepter pour beaucoup de personnes. Mais, ça fait partie du jeu. Si tu es conscient que c’est l’actif qui génère le plus de performance sur le long terme, tu n’es pas censé être impacté par la volatilité, tu as juste à t’asseoir tranquillement comme je suis en train de le faire ici et d’attendre.

Donc, tu le fais tous les mois. Tu as cette discipline. Tu n’as pas d’émotions, tu attends et c’est comme ça que tu gagneras le plus d’argent.

C’est très dur aujourd’hui quand on voit énormément de gens sur YouTube te dire : « Il faut faire du trading, il faut faire ci ». Mais, en fait, ces gens-là sont rémunérés grâce à ton activité. Plus, tu passes d’ordres, plus ces gens-là sont récompensés. Que ce soit des courtiers, tous ceux qui t’incitent à faire du trading. Puisque souvent, ces gens-là ont des participations sur tes gains ou tes bénéfices ou sur le nombre d’ordres que tu as passé auprès de ces courtiers. Et c’est pour ça que c’est leur intérêt avant les tiens.

Alors qu’avec les actions à dividendes, c’est ton intérêt avant celui de tous les autres. Puisque les courtiers en bourse détestent les investisseurs à dividendes puisqu’ils ne « rapportent pas assez d’argent ». Les investisseurs à dividendes passent un ordre par mois ou 2 ordres par mois. Ça ramène des clopinettes par rapport à un trader ou un apprenti trader qui va passer plusieurs ordres par jour et à la fin perdre tout son capital.

Donc, le secret c’est juste d’attendre, d’être patient et de faire les choses régulièrement. Okay ?

Pour terminer cette vidéo, l’impact que ça a eu sur ma vie, les actions à dividende, c’est la sérénité. C’est d’être serein, c’est de me dire que mon capital, il est protégé, il est investi dans des actions qui génèrent de la performance, dans des entreprises qui sont solides.

Je ne te parle pas du boulanger du coin qui peut se faire impacter par le moindre évènement, je te parle de multinationales cotées en bourse, et qui ont des circuits logistiques, des distributions dans le monde entier dans plein de pays.

Donc, on parle de très grosses entreprises qui sont extrêmement solides. Donc, mon capital est protégé et investi dans de grosses entreprises solides dans le monde entier. Et, en plus de ça, me génère 3.100 dollars par mois, un niveau de revenu que je ne dépense même pas en totalité. Donc, c’est vraiment une sérénité que ça apporte dans ma vie.

J’espère que tu m’entends bien parce que je me rends compte qu’il y a quand même pas mal de bruit dans l’extérieur. J’espère que tu m’as bien entendu.

Mais, l’idée principale c’est vraiment la sérénité de me dire qu’à priori, je n’ai pas de souci à me faire, que ça va bien se passer, que, sauf gros cataclysme mondial, et je te parle même plutôt en termes de guerre, je ne te parle même pas sur la devise, le dollar, ou quoi que ce soit, les entreprises sont là. Elles produisent, elles emploient des gens, les champs, les usines continuent de tourner.

Bref, peu importe ce qui se passe d’un point de vue monétaire, ça on laisse de côté, tu détiens toujours l’actif. Le plus gros souci, ce sera évidemment des conflits mondialisés avec des gros impacts avec un monde qui se referme.

Mais, alors, si on arrive à ce genre de problème, dans le monde, ce qu’on n’espère pas, à priori, le plus important ce sera ta survie plutôt que de savoir si tu touches toujours tes dividendes.

Voilà les amis. La conclusion, évidemment, c’est que je ne regrette pour rien au monde d’avoir commencé à investir dans les actions à dividende. Je pense que c’est vraiment une de mes meilleures décisions en investissement que d’avoir pu commencer à investir au début de ma vingtaine dans les actions à dividendes.

On dit souvent que les premiers 100.000 dollars sont les plus difficiles. Là, on a fait le premier million. A priori, le deuxième million va arriver beaucoup plus vite et je sais déjà qu’il va arriver beaucoup plus vite puisque là, on est en train de revendre des appartements et qu’on va mettre directement dans des actions à dividendes.

Donc, je ne t’en ai pas parlé non plus mais les intérêts composés, clairement, j’ai senti les choses s’accélérer au fur et à mesure que j’avançais. C’est-à-dire que quand tu es à 1.000 euros d’actions à dividendes, 10.000 euros, tu ne sens pas forcément le truc parce que ça ne t’excite pas forcément.

Tu vois des petits dividendes arriver, tu n’as même pas assez pour investir dans une seule action complète, et tu te dis : « Mince, ça va me prendre vraiment beaucoup de temps ». Mais, en augmentant régulièrement 50.000, 100.000, 200.000, là, tu commences vraiment à comprendre ce que c’est des intérêts composés.

Là, quand tu es à 1.000.000 et que tous les mois, tu as 3.100 de dividendes, que tu réinvestis entièrement dans de nouvelles actions, juste les 3.100 de réinvestis dans de nouvelles actions, ça fait déjà un petit paquet d’actions sympa en plus, qui eux… 3.100 que tu réinvestis à 5% ou 4% de dividendes, ça te fait tout de suite, 150 dollars en plus par an de dividendes à peu près.

Et, donc, en fait, tout ça s’accélère. C’est-à-dire que sans parler de réinjecter du capital, le simple fait de réinvestir tes dividendes, 150 dollars en plus par an. Et le mois suivant, tu réinvestis, encore une fois 100% tes dividendes, encore une fois 150 dollars en plus par an.

Donc, tu vois, ça s’accélère. Bref, on refera le bilan à 2.000.000. Pourquoi pas ?

Mais, je pense qu’il va arriver beaucoup plus vite et que les intérêts composés vont devenir de plus en plus insolents.

Les amis, si vous souhaitez investir dans les actions à dividendes, lis bien la barre de description, il y a pas mal de ressources qui devraient pouvoir t’aider à commencer à investir dans tes premières actions à dividendes. Et si tu as la moindre question, d’ailleurs, je suis disponible dans les commentaires ci-dessous, pour y répondre. Donc, n’hésite pas, je suis là pour ça. Ciao ciao.