Depuis maintenant + de 3 ans, tu me vois investir dans des start-ups dans le monde entier et particulièrement dans les pays émergents.
A ma grande surprise, vous m’avez posé beaucoup de questions sur comment il était possible d’avoir accès à des opportunités solides en Inde ou au Mexique sur des entreprises sortant des meilleurs incubateurs et convoitées par les plus gros investisseurs.
Aujourd’hui, mon portefeuille contient près de 70 entreprises de l’Inde au Mexique sans oublier l’Afrique ou l’Amérique du Nord.
Je te partage dans cette vidéo la création de mon club d’investissement qui va te permettre d’investir à mes côtés dans toutes les levées dans lesquelles j’investis mon propre argent.
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Je lance mon club d’investissement en start-ups !
Retranscription de la vidéo :
Les amis, je lance enfin mon club d’investissement dédié aux investissements dans les start-ups.
Je me trouve ici en direct de Marrakech au Maroc. Je sors en fait tout juste d’un Mastermind auquel j’ai à la fois participé et intervenu. Et j’en profite pour t’annoncer que ça y est, enfin, je lance mon club d’investissement.
Si tu me suis depuis un petit moment, tu dois voir que depuis 2 à 3 années, j’investis relativement massivement dans les start-ups, que ce soit directement aux Etats-Unis, en Inde, au Mexique, au Nigeria, au Pérou, dans plein de pays du monde, et particulièrement dans les pays émergents.
Et je vous l’ai souvent partagé à la fois sur des vidéos YouTube déjà, un petit peu, mais également sur Instagram, sur différents réseaux sociaux, et j’ai vu en fait que ça vous a beaucoup plu.
Je ne pensais pas réellement que ça allait vous plaire parce que c’est un milieu qui est quand même relativement encore élitiste, qui a ses codes, qui n’est pas encore très démocratisé et encore moins sur le marché francophone, et qui présente quelques particularités concernant la façon dont ça fonctionne.
Je vais t’en parler un petit peu dans cette vidéo. Je vais te présenter un petit peu le club d’investissement comme qu’est-ce que c’est, comment ça fonctionne, quelle est la promesse finalement si on devait en faire une, etc.
Donc la première chose, c’est quoi une start-up ? C’est une entreprise qui a une idée et qui estime que son produit ou son service peut répondre à un besoin, et la définition même d’une start-up, c’est que c’est une entreprise immature, donc qui a très peu de revenus, et qui dépense beaucoup d’argent, ou en tout cas qui a besoin de beaucoup d’argent pour stimuler sa croissance.
Donc ce qu’elle fait la start-up, c’est qu’elle va aller lever des fonds auprès des investisseurs comme moi, comme toi, pour essayer de stimuler sa croissance. Et donc c’est ce que je fais aujourd’hui.
C’est que je vais investir dans des entreprises, dans des start-ups qui sont très jeunes. En fait, c’est à l’opposé des entreprises qui sont cotées en Bourse.
Par exemple, celles que je fais pour les actions à dividendes, ce sont de grosses entreprises cotées en Bourse sur le marché américain, qui sont très matures, qui font beaucoup de bénéfices et qui peuvent verser une partie des bénéfices sous forme de dividendes à leurs actionnaires et à tout l’opposé, il y a les entreprises immatures qui ne font pas de bénef’ et qui ont besoin de stimuler leur croissance.
Donc moi, je vais analyser ces entreprises particulièrement dans les pays émergents (Inde, Mexique, Nigeria, Pakistan etc.). Pourquoi dans ces pays-là ? Puisque je pense que tu dois te poser la question très rapidement.
Parce que ça fait peur. On va dire : « Oui, mais attends, l’Inde, le marché africain, le continent africain, l’Amérique du sud, ce sont des marchés qui sont potentiellement également eux aussi immatures, où il y a peut-être de la corruption. »
Oui, évidemment, ce sont des marchés qui sont encore immatures. Ce n’est pas pour rien qu’on les appelle les pays émergents. Mais c’est l’avantage. C’est qu’il y a tout à faire là-bas.
Et les gros investisseurs se dirigent massivement et de plus en plus vers l’Inde par exemple, le Mexique ou le Nigeria, parce que toute la création de valeur de la prochaine décennie et même plus va se passer là-bas.
Si tu regardes l’Europe et les Etats-Unis, c’est cool, mais il y a déjà énormément de solutions. Alors, je ne dis pas qu’il n’y a rien à faire là-bas. Mais on a déjà beaucoup de solutions. Et tous ces pays émergents attendent que ça, qu’on implémente des nouvelles solutions.
Il y en a même ce qu’on appelle le « leap frog ». En fait, c’est le fait que ces marchés-là ont sauté une génération. C’est-à-dire que plutôt que de passer par une technologie que nous, on a connu, eux ils ne vont pas la connaitre. Ils vont directement passer d’une technologie encore plus vieille et arriver immédiatement sur la toute nouvelle technologie.
Donc ils vont gagner du temps. Et c’est super intéressant parce qu’il y a des millions et des millions et des millions de dollars à aller gagner dans ces pays-là.
Je sais personnellement que rien que le seul pays de l’Inde va me faire gagner des millions de dollars puisque je suis déjà positionné sur une quinzaine de boites en Inde aussi bien dans la logistique, le recrutement, l’e-commerce, la Blockchain, les cryptomonnaies évidemment, la santé, de la fintech. Bref, pas mal de choses.
Et je sais que ces pays vont me faire gagner beaucoup d’argent, parce que j’y suis allé et j’ai vu comment ça se passe. Je vois le potentiel de ce pays-là. J’ai fait une autre vidéo sur pourquoi j’investis massivement dans l’Inde, qui est déjà sur ma chaîne YouTube. Tu peux aller la voir. Mais l’Inde est un pays très très porteur.
Evidemment, j’ai évoqué rapidement le fait que ça peut être un petit peu insécure, pas très safe, corruption etc. Il y a des garde-fous. C’est-à-dire qu’on ne va pas aller donner son argent à un mec au fin fond du Nigeria, au fin fond de l’Inde, pour lui dire : « Merci à toi, bon courage. Fais-en bon usage. »
Il y a de fortes chances évidemment que l’argent aille dans des poches dont on n’a pas envie.
Pour ça en fait, tous les schémas de levées de fonds se font sur des schémas très très cadrés. Par exemple, il y a toujours systématiquement une boite qui est créée aux Etats-Unis, une LLC américaine qui permet d’ajouter un cadre juridique à la fois pour les investisseurs et les protéger, et à la fois pour la start-up pour optimiser ses flux de trésorerie, et également la protéger.
Donc je ne vais pas t’expliquer tout ça en détail, mais en tout cas, voilà comment ça fonctionne. Evidemment, on n’aura pas tout ça à l’arrache au fin fonds du Nigeria.
Les start-ups, le potentiel, c’est quoi ? Et les risques ? Evidemment puisqu’il y a beaucoup de risques.
Le potentiel, c’est qu’un seul investissement peut te rendre millionnaire. Il suffit que tu fasses un très bel investissement et ça peut te faire gagner beaucoup d’argent. Mais le problème, c’est que tu vas avoir beaucoup de perte.
C’est-à dire que quand tu regardes les statistiques de l’investissement dans les start-ups, tu vas voir que malheureusement, tu vas avoir des chiffres derrière que 9 start-ups sur 10 font faillite, 8/10. Des chiffres qui vont te démontrer que la majorité de tes start-ups vont faire faillite.
C’est une réalité. C’est-à-dire qu’aujourd’hui, évidemment, tu as des garde-fous que tu peux également ajouter dans tes analyses pour faire en sorte de limiter la casse.
Moi, par exemple, je ne vais jamais sur des start-ups qui n’ont aucune traction financière. Je vais simplement sur des start-ups qui gagnent déjà de l’argent, donc qui ont réussi à convaincre des clients d’acheter le produit et le service et qui ont une traction financière.
Donc le chiffre d’affaires grossit mois après mois.
Il y a plein de start-ups qui n’ont qu’une idée et qui vont aller séduire des investisseurs. Moi, ça ne m’intéresse pas.
C’est-à-dire que tu as beau avoir la plus belle idée du monde, si tu n’as pas encore gagné d’argent, je n’investis pas.
Parce que malheureusement aujourd’hui, toutes les idées sont belles. Sur le papier, toutes les idées sont belles.
Il y a plein de pitch decks où tu te dis : « Waouh ! Le produit est magnifique, l’équipe est bonne, le marché est porteur. Il y a du gros potentiel. La vision est claire… »
Quand tu lis un pitch deck, je peux te dire que tu as toujours l’impression que c’est un bon truc, un bon projet, une bonne équipe. Donc il faut avoir des critères très très stricts pour limiter la casse.
Mais il faut quand même être conscient que malgré le fait que tu vas avoir énormément de beaux projets, avec des beaux fondateurs, de belles tractions, des choses comme ça, il y a plein de choses qui peuvent faire qu’une start-up se casse la gueule.
Il peut y avoir un contexte économique, un contexte juridique, un mauvais timing, de l’inflation, une guerre, une pandémie, énormément de choses. Donc entre la réalité et l’exécution, évidemment pour une start-up, il peut se passer beaucoup, beaucoup de choses.
Donc ça, c’est la conscience qu’il faut avoir sur les start-ups, c’est que tu peux gagner beaucoup d’argent, mais il faut être conscient que les distributions sont comme on le dit « asymétriques ».
Une seule start-up va te faire gagner la quasi-totalité de tes gains.
Donc c’est pour ça que c’est important également de diversifier ses investissements, ne pas être ultra-concentré sur une seule start-up, de ne pas arriver et de dire : « Moi, je mets 50.000$ sur une start-up et c’est terminé. »
Non, il vaut mieux mettre des billets plus petits sur plusieurs start-ups pour « limiter ses risques » en sachant qu’à chaque fois que j’investis sur une start-up personnellement, je vais dans l’idée de faire minimum X100.
Ça veut dire que si je prends autant de risques pour ne pas faire minimum X100 sur ce que j’investis ça ne m’intéresse pas. Okay ?
Alors, j’ai parlé de 50.000$ à investir, 10.000$ à investir. Non. Les montants minimum aujourd’hui à investir par start-up – en tout cas la façon dont moi je le fais et de la façon dont je te permets de le faire – c’est souvent dans 99% des cas, 1000$ par start-up.
C’est-à-dire que c’est devenu très très accessible. Avant, c’était vraiment quelque chose qui était réservé aux élites. C’est-à-dire qu’encore aujourd’hui, c’est assez élitiste, quand tu vois auprès de qui tu investis, etc., crois-moi que ce n’est pas réservé à tout le monde.
Et avant, il fallait être millionnaire, mettre plusieurs millions, des centaines de milliers de dollars dans une start-up. Aujourd’hui, via la façon dont je le fais, tu peux investir à partir de 1 000$, parfois 2 000, parfois 3 000 $ mais c’est quasiment systématiquement toujours 1000$.
Donc c’est très très accessible. Okay ?
Qu’est-ce que j’ai d’autre à te dire ? Comment et quand on gagne de l’argent ? Très important pour toi.
On estime qu’un évènement de liquidité, donc le moment que tu vas gagner de l’argent, c’est entre 5 à 7 ans en moyenne. Ça peut être plus tôt évidemment, ça peut être plus tard. Il n’y a pas de règles. Tu n’es pas maitre du moment où ça va arriver.
Qu’est-ce qu’un moment de liquidité ? C’est quand la start-up dans laquelle tu investis va être introduite en Bourse. Donc là, souvent, c’est le jackpot, surtout si tu es rentré tôt.
Et l’autre façon de gagner de l’argent – il y en a 3 – la deuxième c’est quand la start-up va se faire racheter, lors d’une offre d’achat.
Par exemple, demain, tu as Facebook, Google, Mastercard ou une banque qui arrive et qui dit : « Je rachète ta boite pour 3 milliards », et les fondateurs disent oui. Et là, tu gagnes de l’argent.
Et la troisième façon, c’est quand on rachète les parts sur le marché secondaire. Donc tu as d’autres investisseurs qui vont venir et qui vont te dire : « Nous, on est intéressés pour racheter tes parts », et tu dis oui ou tu dis non.
Donc c’est 3 façons : introduction en Bourse, rachat par une autre boite ou rachat par d’autres investisseurs.
Personnellement, on a déjà eu des propositions de rachat par d’autres boites, des offres d’acquisition qui ont été refusées par les fondateurs parce qu’ils ont une vision et ils veulent continuer de développer.
J’ai également eu des propositions de rachat de mes parts par d’autres investisseurs également, notamment pour la start-up Kraken, la plateforme de cryptomonnaies dans laquelle j’ai investi en mai 2019, mais j’ai refusé également.
Donc voilà. Minimum X100, ça prend en moyenne entre 5 à 7 ans, et il n’y a pas de règles. Tu peux investir aujourd’hui, dans 6 mois, tu as une offre d’acquisition de la part d’une boite, et les fondateurs disent oui, et tu gagnes de l’argent tout de suite. Peut-être un petit multiple, mais tu le gagnes très rapidement.
Tout comme la start-up peut rester potentiellement 10 ans privée parce qu’elle n’a pas eu le bon moment, elle n’a pas eu une offre d’acquisition qui l’intéressait, ou que le marché économique n’est pas propice à une introduction en Bourse, donc retarde son introduction en Bourse.
Il peut y avoir plein de raisons, encore une fois, là-dessus.
Donc je t’ai dit, c’est risqué. Potentiellement, ça prend un peu de temps, ce que les investisseurs n’aiment pas.
Egalement, c’est illiquide. Tu ne peux pas revendre tes parts. Tu ne peux pas te dire : « Demain, je revends comme en Bourse sur le courtier, et en 3 clics c’est revendu, c’est terminé, on a récupéré l’argent. »
Non. C’est illiquide. Une fois que tu as investi, ton argent, il est bloqué. C’est-à-dire que la start-up, elle a pris ton argent, elle va le dépenser. C’est le but. Elle veut chercher de la croissance.
Donc ton argent, tu ne peux pas récupérer comme tu le souhaites. C’est un avantage et un désavantage.
« L’avantage », c’est que ça te permet de ne pas faire des mouvements avec les émotions. Et le désavantage, c’est que c’est quand même bloqué. C’est la réalité des choses. Okay ?
Donc en tout cas, je t’ai tout résumé. Tout ce que je suis en train de te dire, je l’ai résumé sur une page que tu peux retrouver ici sur Clubmillionnaire.vc.
Je te mets le lien dans la barre de description ci-dessous, et tu pourras découvrir une page qui est relativement longue sur l’investissement dans les start-ups, sur comment ça fonctionne. Je te donne vraiment pas mal d’informations sur les start-ups.
Donc n’hésite pas à la lire sur comment ça fonctionne le private equity.
Donc voilà également, je te dis ici que potentiellement, c’est silencieux. Pourquoi ? Qu’est-ce que ça veut dire « silencieux » ?
C’est que parfois, également, on a des start-ups dans lesquelles tu vas investir, tu vas donner de l’argent. Tu vas leur donner de l’argent, et puis tu n’as pas de nouvelles. Tu ne sais pas ce qui se passe.
Donc tu te dis, par exemple, j’ai investi en Inde. Un mois, 2 mois, 3 mois, 4 mois, 5 mois, 6 mois, un an, je n’ai aucune nouvelle. Parce que parfois, les start-ups, elles vont envoyer ce qu’on appelle des updates, des reportings.
Elles vont te dire : « Voilà ce qu’on a fait ce mois-ci. On a telle traction. On a telle problématique. On a fait ci, on a fait ça. Tout se passe bien, tout ne se passe pas bien. »
On a des nouvelles, on a des infos. C’est rassurant en tant qu’investisseurs.
Il y a des start-ups qui « ne jouent pas le jeu ». Cela ne veut pas dire qu’elles s’en foutent des investisseurs, mais elles n’ont pas le temps aussi, peut-être qu’elles ont le nez dans la machine. Elles sont en pleine croissance. Elles doivent avancer. Et elles ne prennent pas le temps en tout cas de faire un petit mémo, un petit récap de ce qui s’est passé pour la start-up et pour leurs investisseurs.
Donc c’est un peu « stressant » de se dire : « Putain, j’ai donné de l’argent à une start-up. Je n’ai aucune nouvelle. » On peut se dire : « C’est sûr que ça va mal. C’est sûr que la start-up, elle n’avance pas. »
Et parfois, c’est tout l’inverse. C’est-à-dire qu’il y a des start-ups qui sont tellement focus, elles avancent à mort, et on n’a pas de nouvelles.
Donc voilà, il faut être également conscient que mentalement, ça peut être un petit peu compliqué. Je sais que 3 quarts (et je suis gentil), 99% des gens se diraient : « Okay, c’est sûr que ça ne va pas. »
Et en fait, ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses. Okay ?
Donc voilà les amis. N’hésitez pas aller voir cette petite page Clubmillionnaire.vc.
Pour t’en parler, du coup rapidement, ce club d’investissement, c’est un club dans lequel je te partage toutes les levées de fonds dans lesquelles j’investis personnellement mon propre argent.
Donc voilà, chaque mois, j’analyse à peu près une centaine de pitch decks, donc d’opportunités d’investissement dans des start-ups. Je les analyse selon pas mal de critères. C’est comme en Bourse où je te dis que j’ai 20 à 25 critères.
Là, je ne sais pas combien j’en ai, mais j’ai vraiment pas mal de critères que je regarde également, notamment la traction financière, les fondateurs, le marché, le produit. Je regarde que la demande soit là. Je regarde quel est le potentiel de sortie de la start-up, acquisition, introduction en bourse…
Je regarde le business model sur la facilité de scaler les marges. Il y a pas mal de choses. Ça rejoint encore une fois l’analyse d’entreprise telle que je le fais pour les actions cotées en Bourse, mais cette fois-ci, ce sont des entreprises non cotées, donc il y a quand même quelques particularités.
Donc je regarde tout ça de mon côté, et quand il y a une levée de fonds qui m’intéresse, et pour laquelle je mets mon propre argent, en fait je te la partage en tant que membre de ce club d’investissement, et libre à toi d’y aller ou pas.
Il n’y a aucune obligation d’y aller puisque j’y suis allé et que tu fais partie du club. Tu as toutes les informations telles que moi je les ai vues et reçues. Tu peux les lire, tu peux les regarder, tu peux les confirmer également de ton côté et faire tes propres recherches sur la start-up, les fondateurs, et y aller ou ne pas y aller.
Donc c’est vraiment l’objectif de ce club d’investissement, c’est que je te partage mes opportunités, en sachant qu’en général, il y a à peu près en moyenne, on va dire, 3 deals par mois qui sont proposés, en sachant qu’il n’y a pas de règles.
Je ne suis pas là pour te faire de la quantité et te dire : « Okay, tu as payé ton adhésion en tant que membre et il faut à tout prix que je te fournisse du deal flow. » Du deal flow, c’est des opportunités. Non. S’il y a un mois où il n’y a rien qui m’a plu, il n’y a rien qui m’a plu. C’est comme ça.
Je préfère ne rien proposer que de proposer de la merde. Tout comme il y a des mois ça va être chargé – il y a aura 6 opportunités – parce qu’il y a des temporalités dans le milieu du private equity, notamment quand certaines start-ups rejoignent les incubateurs pour se faire accompagner, et qu’à la fin de l’incubation, elles présentent tout en même temps aux investisseurs leurs start-ups pour lever des fonds.
Donc ces mois-ci, ça arrive 2 fois par an en général, 2 mois par an. C’est très chargé. Et ces mois-ci, on peut avoir peut-être 6 deals d’un coup dans le mois.
Donc voilà, il n’y a pas de règles. L’idée, c’est que si on liste sur 1 an, ça peut être à peu près 3 deals par mois, en sachant que des fois, ce sera zéro ou un deal, et parfois ce sera 6 deals par mois. Okay ?
Donc c’est comme ça que ça se passe. Tu as accès à une communauté. On est tous ensemble en fait, une fois que tu as rejoint le club ensemble sur un Slack sur lequel tu as un petit process d’onboarding pour commencer à mettre en place tout ça.
C’est-à-dire que je te montre précisément comment te servir de l’interface qu’on a pour pouvoir réaliser tes investissements, pour pouvoir avoir accès aux documents, puisqu’évidemment tu as accès à tous les documents juridiques qui font presque 100 pages, qui sont en anglais, mais qui te démontrent précisément ce qui se passe, quelle est ta participation, dans quelle entreprise etc. pour que rien ne soit opaque.
Le but encore une fois, c’est que tu sois bien propriétaire et actionnaire de la start-up. Donc tu as accès à tout ça, et tu as un petit process d’onboarding pour te dire comment faire le virement, comment envoyer les fonds, puisque l’argent part aux Etats-Unis à la Silicon Valley Bank, donc il faut anticiper tout ça pour que tout se passe bien.
Donc un petit process d’onboarding. Tu as un endroit où on est tous ensemble, et où on peut tous discuter. Tu as un endroit où tu as les updates, les boites quand on en a, que je te partage également, et puis évidemment un endroit où je te partage toutes les levées de fonds lorsqu’il y en a, lorsque je participe à un investissement.
Donc voilà. Plutôt qu’une longue vidéo – ça fait déjà un quart d’heure que je te parle – regarde bien le lien dans la barre de description, c’est là que tu verras la page que je t’ai montrée rapidement sur mon ordinateur Clubmillionnaire.vc.
N’hésite pas si tu as la moindre question tout en bas de cette page. Je t’invite vraiment à bien lire tout en bas de cette page.
Tu as la possibilité directement de réserver un petit appel avec moi si ce club t’intéresse, comme ça on pourra en parler de vive voix, faire connaissance, m’assurer de mon côté que tu aies un profil adapté à ce type d’investissement puisqu’encore une fois, je le dis sur la page, mais je ne veux pas tout le monde dans ce club.
C’est un milieu qui est élitiste. Il y a des informations qui sont très confidentielles. Il y a des risques qui sont réels, notamment sur la perte en capital, sur la durée que ça prend, et le potentiel de ne jamais récupérer son argent.
Donc je dois être certain que les membres du club soient bien conscients de ce type d’investissement, des tenants, des aboutissants, des risques et des bénéfices. Okay ?
Donc tout est dans la barre de description. Si tu as la moindre question, tu peux également la poser dans la barre de commentaires. Je me ferai un plaisir d’y répondre. Partage cette vidéo à tes amis investisseurs qui s’intéressent au milieu des start-ups.
Et je te dis à très très vite pour une prochaine vidéo.
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