Chaque mois depuis plusieurs années, j’investis dans de nouveaux titres de propriétés (des actions) d’entreprises sur les marchés financiers.
Crise ou pas crise, coronavirus ou pas, il n’y a pas un mois où je n’investis pas.
L’objectif n°1 ? Encaisser des dividendes !
Je t’explique dans cette vidéo comment j’ai hésité entre 9 actions et comment j’ai finalement fait mon choix final…
N’hésite pas à me dire ce que tu en penses dans les commentaires !
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#Dividendes #Bourse #Coronavirus
J’INVESTIS 10 000$ EN PLEIN COVID-19 (CA TOURNE MAL ?)
Retranscription de la vidéo :
Yes les amis ! Bienvenus sur cette nouvelle vidéo qui va changer un petit peu des autres où finalement, je vais te montrer comment j’ai sélectionné, pour le mois de mai, les actions dans lesquelles j’allais investir.
Donc, au final, sur ma feuille, il y a 9 actions sur lesquelles j’ai hésité pour le mois de mai.
En fait, généralement, j’ai une liste d’actions que j’ai un petit peu dans mon radar et que je surveille étroitement pour savoir si un mois ou un autre, il y a peut-être une opportunité d’achat ou non sur cette action en fonction de mes différents indicateurs, une vingtaine d’indicateurs que je regarde.
Et donc là, j’ai décidé pour le mois de mai, de te montrer un petit peu. Alors, je ne vais pas te montrer exactement les actions que je vais acheter parce que tout simplement, je ne vais inciter personne à acheter quoi que ce soit.
Je sais qu’il y a des gens qui vont se dire : « Si Raphaël achète ça, c’est parce que je dois acheter ça » sans forcément réfléchir. Et ce n’est surtout pas ce que je veux que vous fassiez, d’autant plus qu’il y a certaines actions qui ont une temporalité dans l’achat.
Si tu regardes cette vidéo dans 6 mois, ça n’aura rien à voir peut-être. Et également, tout simplement parce que j’ai un service dans lequel je partage en temps réel, tous les mois, mes positions.
Ça s’appelle le Club Dividendes et tu retrouveras ça dans la barre de description. Tu vas avoir accès à mon portefeuille, savoir ce qu’il y a à l’intérieur et ce que je fais tous les mois, ce que j’achète, ce que je renforce.
Encore une fois, ce n’est pas du conseil. C’est tout simplement un partage de portefeuille.
Mais dans cette vidéo, je vais vraiment te partager le process et comment, sur ces 9 actions que j’avais dans ma ligne de mire, pour ce mois de mai, comment j’ai fait le choix pour, au final, n’en acheter plus que 2.
Parce que forcément, j’aurais pu acheter peut-être les 9 mais encore une fois, il faut penser optimisation, il faut penser aux frais que je vais payer.
Et mieux vaut entrer sur une ou deux positions mais bien, plutôt que d’acheter les 9 et encore une fois, pas forcément idéalement, optimalement, je ne sais pas si ça se dit mais tu as compris. Et voilà.
Donc, en fait, parmi ces 9 actions, il y en avait donc 2 françaises, une canadienne, et 6 américaines.
Donc, si tu ne sais pas, mon portefeuille est principalement orienté vers les Etats-Unis parce qu’il y a beaucoup plus de performance, plus de liquidités. C’est beaucoup plus rentable et performant.
Mais voilà, ce que je vais faire, c’est que je vais passer sur la feuille de papier devant moi et je vais te montrer tout ça.
Petite précision avant que je ne commence, je te montrerai à la fin de la vidéo la preuve du passage d’ordre de ces 2 entreprises parce que je sais qu’il y en a qui vont se dire : « Oui, Raph, Tu n’as pas passé les ordres d’achat. Tu n’as pas osé en plein coronavirus, etc ». .
Donc, je vais bien te montrer que j’ai bien acheté pour 10 000$ d’actions américaines en plein épisode de coronavirus.
Il y en a d’autres qui vont dire : « Raph, tu es trop con d‘acheter en plein épisode de coronavirus, ça va baisser, nanani, nanana ».
Moi, je ne regarde qu’une seule chose, c’est le dividende.
Et encore une fois, que l’entreprise baisse ou descend en Bourse, ça m’importe peu finalement.
Si aujourd’hui, je disais que tu étais une merde. Est-ce ce que tu es vraiment une merde ? Eh bien non ! Tu n’es pas une merde. Tu as des qualités, tu as des choses qui font que tu es quelqu’un de bien, tu as de la qualité, tu as de la richesse en toi.
C’est pareil pour les entreprises en Bourse. Ce n’est pas parce que son cours est à moins 30% que l’entreprise, elle est tout de suite nulle et qu’elle ne vaut plus rien.
Elle a toujours ses usines, elle a toujours ses employés, elle a toujours ses produits, elle est toujours capable de vendre. Elle peut toujours potentiellement même continuer à générer de la croissance.
Et parce qu’au final, on a des entreprises qui évoluent dans des secteurs dits cycliques, donc ça veut dire qu’elles vont suivre l’économie. Les entreprises vont monter et inversement.
Et on a des entreprises qui évoluent dans des secteurs qui sont dit non cycliques ou défensifs et qui, elles, se foutent de se qui se passent dans l’économie. Si l’économie est en récession, ces entreprises continuent de vivre et à générer des bénéfices.
Je pense notamment à tout ce qui est produits alimentaires, boissons, produits de la maison, etc.
Donc, encore une fois, ce qui est important, c’est de regarder la valeur fondamentale de l’entreprise et surtout si elle continue de verser son dividende et si elle est en mesure de continuer de le verser.
Le prix de l’action, je n’ai pas envie de dire que ça ne sert à rien. C’est important de le regarder quand même et d’essayer de comprendre pourquoi le cours de l’action, il baisse. Mais des baisses généralisées telles que le coronavirus, ce n’est pas forcément le plus important.
Il faut vraiment regarder la valeur fondamentale de l’entreprise et prendre des décisions en corrélation de tes objectifs ; moi, c’est les dividendes.
Et si l’entreprise verse un dividende qui est solide, il y a encore pleins d’entreprises qui en ce moment, versent des dividendes et qui continuent de le verser. Et même, j’ai des entreprises dans mon portefeuille qui continuent d’augmenter le dividende.
Je parle bien de l’augmenter mais pas simplement le conserver. Ça existe, ça existe en ce moment. Donc, voilà ce que j’ai voulu dire et préciser. Allez, c’est parti !
Je te montre donc pour les 9 entreprises qui a fait que j’en ai sélectionné certaines et pas certaines.
Donc, comme je te le disais, il y en a 2 FR, il y en a une Canada, et tu en as 6 US qu’on va voir.
Et je vais te dire pourquoi je n’ai finalement sélectionné que 2 américaines. Il faut savoir que mon portefeuille, il est à 95% US. Ce n’est pas un hasard comme je te le disais. C’est que là-bas, il y a plus de performance.
Mais j’aime bien, de temps en temps, ajouter des valeurs françaises, même étrangères, canadiennes. Là-bas, il y a de très bonnes entreprises pour diversifier mon portefeuille également.
On va donc commencer par les françaises. La première, c’est une entreprise du secteur de la santé. Donc, le secteur français. Donc, le problème là, pourquoi je ne l’ai pas choisi, c’est tout simplement parce que l’entreprise, elle était selon moi justement évaluée.
C’est-à-dire qu’elle n’était ni sous évaluée ni surévaluée. Le problème, c’est qu’acheter de très bonnes entreprises, c’est bien, mais il ne faut pas non plus l’acheter à n’importe quel prix.
Le problème c’est qu’il y a des gens qui vont se dire : « Ouais, mais l’entreprise là, elle est très très solide, c’est une grosse multinationale, elle est leader. Peu importe le prix auquel je l’achète, ce sera toujours bien ». Non !
Encore une fois, il faut faire la différence entre le prix et la valeur. Le prix, c’est ce que vous payez et la valeur, c’est ce que vous obtenez et vous devez faire en sorte d’obtenir des entreprises de très grande valeur à un prix idéal et généralement donc sous-évaluée.
Donc le secteur de la santé, vous n’êtes pas sans savoir qu’il se porte plutôt bien en ce moment. Donc, c’est pour ça que je n’ai pas choisi de l’acheter, cette valeur.
La deuxième entreprise, une entreprise toujours française et cette fois-ci, je n’ai pas choisi de l’acheter simplement pour raison très très simple. On va aller très très vite sur celle-ci.
Elle était dans le secteur de la construction, pour faire simple. Et je ne l’ai pas acheté tout simplement parce que son dividende, il a été baissé.
Donc, le problème c’est que, généralement, une entreprise dont le dividende baisse, c’est une entreprise avec un très gros drapeau noir et qui fait que généralement, dans les quelques temps qui suivent, je vais la revendre.
Pas forcément immédiatement parce que le but, enfin, l’avantage dans les dividendes, c’est qu’on a le temps de choisir de prendre ses décisions.
Mais généralement, une entreprise pour laquelle le dividende, il est diminué, encore pire supprimé, c’est une entreprise, généralement, que je ne garde plus très très longtemps dans mon portefeuille.
Donc, voilà, pour les 2 françaises, malheureusement, ce n’est pas pour le mois de mai, c’est peut-être pour plus tard. Je les laisse toujours dans ma to-do list, dans ma liste des valeurs à surveiller.
Ensuite, la canadienne, elle a évolué dans un secteur qui ne me plaisait pas en ce moment, c’est le secteur financier. Donc, clairement, en fait en ce moment, je n’achète pas du tout de valeurs financières.
Ce n’est pas quelque chose dans laquelle j’ai envie d’investir pour le moment. Je vais vraiment me concentrer sur les secteurs défensifs comme je disais.
Il y a vraiment 2 secteurs aujourd’hui, il y a le défensif qui se porte très bien en cas de crise et il y a le cyclique qui lui, suit l’économie. Donc, l’économie, en ce moment, elle est incertaine. On ne sait pas trop vers quoi on va.
Et donc toutes ces valeurs, elles ont plus de risque de faire des montagnes russes et même potentiellement de descendre, alors que les valeurs défensives, elles ont plus de chances de voir quelque chose comme ça.
Pas forcément aussi marquée vers la hausse mais en tout cas, une tendance plutôt flat, à la limite, au pire, comme ça. Mais bref, voilà. Mais elle n’ira pas comme ça normalement. C’est une valeur défensive et peu importe l’économie, ces entreprises continuent de vendre.
Donc, secteur financier pour moi, c’est un secteur qui, en ce moment, est trop dépendant des taux d’intérêts, on ne sait pas vers où on va d’un point de vue économique donc je préfèrerais éviter.
Donc, voilà, pour la canadienne, ça reste sur la to-do list également.
On va passer aux valeurs américaines. Donc la première, c’était quoi, c’était quoi ? Ça va être très simple également pour la première américaine. C’était une entreprise dans le secteur de la finance.
Donc, même raison que précédemment : finance, j’évite en ce moment. Ce n’est pas un secteur qui me plaît beaucoup. J’ai déjà des valeurs financières.
Donc j’ai déjà un secteur qui est déjà bien représenté dans mon portefeuille du point de vue des services financiers donc voilà, il n’y avait pas d’urgence d’aller dans les secteurs financiers en ce moment.
Mon portefeuille a suffisamment de valeur financière déjà, et c’est trop dépendant des taux d’intérêt.
La deuxième entreprise, c’était une entreprise dans les biens de consommation courante. Biens de consommation courante, ce secteur-là, ça veut dire quoi ? Ce sont des biens que tu utilises tous les jours.
Donc, ça va être manger, boire, le tabac, l’alcool, tout ça, tout ça. Les pharmacies. Et en fait, dans mon portefeuille, j’ai déjà des entreprises du secteur de la consommation courante qui font du tabac, j’ai déjà qui font de la pharmacie.
Et cette entreprise que j’ai acheté dans le secteur de la consommation courante puisque celle-ci que j’ai acheté, une des deux en tout cas, hop, validée, elle fait de la nourriture, nourriture humaine et aussi nourriture animale.
Donc, voilà, c’est un bien qui…enfin, c’est une entreprise qui aujourd’hui, même en cas de crise, continuera de générer des bénéfices donc de verser un dividende parce qu’il faut qu’on continue de manger et donc il n’y a pas de souci là-dessus.
D’autant plus que ça fait 45 ans, cette entreprise, qu’elle verse un dividende en augmentation croissante. Donc, je ne parle pas de dividende qui stagne.
Je parle de dividende dont chaque année, l’une après l’autre, le dividende, il est supérieur à l’année précédente. Et en ce moment, je l’ai acheté donc à moins 23% de sa valeur d’avant crise de coronavirus.
Donc, voilà, il y a un « discount » en tout cas vis-à-vis d’autres indicateurs que j’ai pu regarder également, le PER, etc. Je l’ai estimé, on va dire, sous évalué par rapport à sa vraie valeur fondamentale donc c’est pour ça que je l’ai acheté.
Et c’est celle-ci la première action que j’ai achetée et que j’ai mise dans mon portefeuille, parce que je pense que peu importe ce qui se passe dans l’économie, elle continuera d’être là et de verser des dividendes.
La troisième entreprise, c’est une entreprise dans les biens de consommation courante, pardon ! Donc ce secteur là, très très bon secteur également, le même que celui qu’on a vu précédemment.
Le problème, enfin, ce n’est pas un problème, c’est une très bonne entreprise, cette fois-ci, elle, dans le secteur de la pharmacie.
Donc, comme je disais tout à l’heure, j’avais déjà une entreprise dans le secteur de la pharmacie et c’est justement celle-ci.
Et donc, vu que j’ai déjà une ligne sur cette entreprise, dans le secteur de la pharmacie, j’ai préféré choisir celle-ci pour diversifier les activités dans ce secteur de la consommation courante en ayant une entreprise dans le secteur de l’alimentation.
Directement comme ça. Au moins j’ai du tabac, j’ai de la pharmacie, et j’ai de l’alimentation également courante de tous les jours. Donc, au moins, ça diversifie.
Donc, c’est pour ça que je n’ai pas choisi celle-ci. Elle aurait pu être très très bien mais là, c’était, on va dire, un choix « sectoriel » vis-à-vis des entreprises que j’avais déjà dans ce secteur-là.
Donc, bien important, encore une fois, de faire une diversification sectorielle, c’est vraiment quelque chose que je t’invite à vraiment faire.
Généralement, je te recommande d’avoir pas plus de 20 à 25% par secteur, okay ? Et pas plus de 10% sur….C’est dur de filmer et écrire en même temps sur une seule entreprise. Tu peux toujours noter ça. Pas plus de 10% de ton capital sur une seule entreprise, okay ?
La quatrième entreprise que j’ai achetée, justement, on parle de ce secteur. La quatrième entreprise que j’avais dans le viseur plutôt, c’est une entreprise dans le secteur des utilities, donc ce sont les matières premières.
Et finalement, dans mon portefeuille, j’avais zéro, un zéro pointé, zéro entreprise dans ce secteur là.
Le secteur de la matière première en ce moment, c’est très important. C’est un secteur également défensif puisqu’on a besoin de gaz, on a besoin d’électricité, on a besoin de tout ça.
Donc, là, c’est une entreprise clairement qui fait du gaz, qui fait du pétrole, je ne sais pas s’il fait de l’électricité, je ne m’en rappelle plus ! Peut être un petit peu mais ce n’est pas son cœur de métier.
Donc voilà, elle fait du gaz, du pétrole, elle fait également du transport de matières premières, elle fait de l’extraction, de la distribution, elle fait du marketing de matières premières.
Bref, elle est vraiment présente sur tous les stades de la matière première. Et ce que j’ai bien aimé chez elle, c’est que ça fait 49 ans qu’elle a un dividende en augmentation.
Donc, est-ce que tu penses qu’en 49 ans, l’entreprise, elle a eu le temps de voir des crises, des problèmes, des choses comme ça ? Bien évidemment !
Donc, si en 49 ans, elle a pu augmenter son dividende, notamment lors de la crise financière de 2008, la crise de 2000, la crise de tout ce que tu veux, il y en a eu plusieurs, ça me rassure.
Donc, c’est un secteur défensif, les utilities, les matières premières.
Les bénéfices, ils ont quand même un petit peu baissés par rapport à l’année dernière, à la même période.
Ils ont un petit peu baissé mais c’est entièrement normal, encore une fois, en période de crise, il ne faut pas oublier ça non plus. Le bilan comptable, il est bon. Le levier, il est bon. Elle n’a pas trop de dette, l’entreprise.
Et les entreprises qui ont trop de dettes, ce sont des entreprises qui souffrent le plus en période de crise. Donc, ça, c’est très bien également qu’il y ait peu de dettes dans cette entreprise.
Le payout, le taux de distribution des dividendes, il est okay. C’est-à-dire qu’il n’est pas abusé donc elle a de la marge de manœuvre, l’entreprise, pour verser ses dividendes à ses actionnaires.
Et oui, là, j’ai sous-évalué par rapport à ce qu’elle vaut réellement. Donc voilà. Je ne sais plus à combien je l’ai acheté par rapport à son prix avant corona, je n’ai pas regardé dans cette vidéo mais en tout cas, je l’ai sous-évalué par rapport à son PER moyen historique.
Ensuite, je prends une nouvelle feuille parce que ça devient le bazar. Donc, là, tu as compris que cette fois-ci, c’était cette deuxième entreprise que j’ai acheté, du coup, c’est celle-ci.
Donc, une dans le secteur de la matière première et une dans le secteur de la consommation courante. Deux secteurs défensifs. Je vais quand même te dire les deux secteurs que j’avais dans le viseur.
Donc, il y en avait une, la cinquième américaine, dans le secteur de la finance.
Donc là, ça va aller très très vite également parce que je l’ai dit tout à l’heure, trop dépendant des taux d’intérêts, l’économie incertaine, on ne connaît pas trop leur combat, je n’ai pas envie d’alourdir mon portefeuille dans le secteur financier.
Et la sixième, biens de consommation cette fois-ci, pas courante mais cyclique. Donc, c’est un autre secteur des biens de consommation courante, tout ce qui concerne le quotidien.
Et tu as aussi les biens de consommation cyclique. Tout ce que les gens consomment quand tout va bien, donc tout ce qui est loisir, médias, etc, etc.
Et voilà, forcément. Consommation cyclique, je n’en veux pas en ce moment. Les gens, ils ne dépensent pas les superflus en ce moment. Ils consomment ce qui est le plus important.
Alors, pas forcément maintenant, maintenant parce que les gens ne sont pas forcément plus pauvres maintenant qu’avant. Mais si ça dure plus longtemps, cette crise, et qu’il n’y a pas de sortie assez rapide, ce secteur-là va forcément souffrir.
Ce n’est pas forcément un secteur si cette fois-ci qui est défensif, il est plutôt cyclique, ce secteur. Donc, c’est pour ça que je n’en voulais pas en tout cas, également à ce moment-là de cette entreprise même si c’est une très bonne entreprise. Et d’ailleurs, j’en ai dans mon portefeuille déjà.
Donc, finalement, je ne voulais simplement pas la renforcer, voilà. Et du coup, pour revenir sur celle que j’ai acheté également dans les utilities, je ne sais plus à combien je l’ai achetée par rapport à son cours d’avant-corona.
Finalement, je l’ai acheté quasiment au même prix puisque l’entreprise, elle a déjà « recover ». Elle était là avant corona, elle a baissé pendant ce qui s’est passé, la grosse crise on va dire.
Et là, à l’heure où je te parle en mi-mai, elle est déjà remontée à son prix d’avant-corona. Donc, voilà, c’est bien.
Finalement, cette entreprise, elle a démontré ses capacités, après l’euphorie des marchés, à être en mesure de générer des bénéfices et des dividendes pour ses actionnaires.
Donc, c’est également rassurant même si finalement, je l’achète au même prix qu’avant-corona, ce n’est pas grave. J’ai confiance en cette entreprise, en sa valeur fondamentale.
Et surtout, je t’ai dit que je l’avais quand même sous-évaluée par rapport à sa vraie valeur. Donc, voilà tout ce que je pouvais te dire.
Bon, les amis, comme prévu, je suis sur le site de mon courtier pour vous montrer « la preuve des passages d’ordres ». Donc, mon courtier, voilà, c’est Lynx Broker.
C’est un courtier qui est très très bien en tout cas parmi tant d’autres. Je te le recommande fortement.
Et voilà, tu peux voir, sur le coté droit que j’ai un currencies 9 172 $ et 30 €. Donc, voilà. Dans la vidéo, je disais 10K, en fait, faire une miniature dans le titre, finalement je me suis trompé.
Je pensais toucher un petit peu plus de dividende ce mois-ci et couplé aux liquidités et des choses comme ça. Finalement, j’ai touché un peu moins de dividende ce mois-ci. Donc, c’est simplement que je me suis trompé.
Ce ne sont pas les entreprises qui m’ont versé quoi que ce soit, c’est moi qui me suis trompé. Donc, finalement, on va investir 9,2K. J’espère que vous ne m’en voulez pas.
Donc, je vais aller assez vite sur cette partie puisque finalement, j’ai flouté pas mal de choses parce que je ne peux pas te montrer précisément les actions dans lesquelles j’investis pour n’influencer personne.
Et surtout, c’est réservé également aux membres du club dividende qui reçoivent chaque mois les positions que je prends et libre à eux ensuite de faire la même chose ou pas s’ils estiment que c’est bien ou ce n’est pas bien.
Encore une fois, ce n’est pas du tout du conseil, c’est tout simplement un partage de portefeuille. Et donc, je vais aller sur la première entreprise.
Donc je vais taper sur le Ticker. Donc, le Ticker, c’est un code à 3 chiffres ou 4 qui permet d’identifier une entreprise. Boum, je suis ici. Et donc voilà, c’est vraiment très très simple.
Une fois que tu es sur la page de l’entreprise, tu as un bouton Buy et tu as un bouton Sell et tu fais ce que tu veux. C’est très liquide, ce sont de très grosses entreprises.
Donc finalement, quand tu veux acheter ou tu veux vendre, tu exécutes l’ordre immédiatement à partir du moment où le marché est ouvert puisque vu que c’est très liquide, il y a toujours un acheteur en face qui est prêt à acheter ou revendre ses positions.
Donc là, il suffit de mettre ensuite la quantité d’actions que tu veux. Donc tu vois, c’est vraiment très très simple.
En haut, voilà, c’est sur quelle place de marché tu veux acheter tes actions. Le plus simple, c’est de laisser en Smart, comme ça, il l’achète là où c’est le moins cher et le plus économique.
Et ensuite, tu fais Buy ou Sell et tu mets ta quantité. Donc moi, la quantité ici que je vais mettre, ça va être…pas 100 actions, je remplis ça à 100 actions, je vais plutôt mettre 110…110 ouais. 110 c’est bien, allez 109 plutôt pour être cohérent dans ce que je dois acheter.
Et donc là, tu peux choisir un ordre limite ou un ordre au marché. Donc, marché, ça va être exécuté tout de suite, tu es prioritaire sur tout le monde, ça s’exécute immédiatement.
Limite, c’est si tu veux mettre une limite de prix à ton ordre d’achat ou de vente, tu dis « moi, je veux que ça se déclenche à telle limite de prix ». Le problème, c’est que tu n’es pas prioritaire.
Et en fait voilà, l’idée de faire un ordre limite, c’est de « se protéger sur des mauvaises surprises », de faire déclencher l’ordre au bon prix, celui qu’on veut.
Sauf que, voilà, avec un ordre au marché, au moins tu es exécuté tout de suite vu que ce sont de grosses entreprises, tu n’as pas de risques d’avoir de mauvaises surprises, d‘avoir une volatilité qui est énorme et qui fait qu’en achetant marché, peut-être que tu vas exécuter ton ordre à un prix bien différent que celui qui était affiché sur l’action.
Donc, au final, je passe tout le temps mes ordres au marché. C’est ce qui est vraiment le plus simple. Et à partir de là, c’est vraiment terminé.
Je ne mets pas de stop, je ne mets rien du tout ça. Ce n’est pas du trading. Nous, on est vraiment sur un mode investisseur à long terme donc on s’en fout.
Et voilà, ensuite, il n’y a plus qu’à cliquer sur « Send order » en bas à droite et c’est terminé pour celle-ci.
Boum, me voilà propriétaire de cette entreprise à hauteur du nombre d’actions que je viens d’acheter pour cette entreprise et je vais donc participer aux bénéfices de cette entreprise quand elle va verser ses dividendes.
Ensuite, la deuxième entreprise, boum, voilà. Donc, là, même principe, market, je prends au marché. Et cette fois-ci, j’en veux également plus de 100 des actions. Je vais en prendre…on va voir, 120, non ! 130, ça commence à me plaire, 125, allez 128.
Alors, pourquoi je vais à tâtons comme ça ? Tout simplement parce que moi, je vois le montant que ça va prendre juste en dessous, je l’ai flouté. Et je sais pour combien je veux acheter de cette action. Donc, 128, ça me parait bien. Donc, voilà. Et voilà.
Vous pouvez voir ici que ça me coûte 5 $ de passer un l’ordre. Donc, c’est vraiment peu cher. Ce n’est pas le moins cher sur le marché mais c’est franchement très très correct. Donc, voilà. Je passe l’ordre, boum, et c’est terminé. The order is confirmed.
Donc, si je vais dans mon portfolio, je ne vais pas y aller parce que vous allez voir tout ce que j’ai dans mon portefeuille mais ça parait bien et c’est too good. Je suis nouvellement propriétaire un tout petit peu de deux nouvelles entreprises.
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