Direction l’Inde pour cette start-up dans laquelle je viens de finaliser mon investissement. Il s’agit d’une start-up technologique comme je les aime et qui a selon moi un très gros potentiel.
Je t’explique dans cette vidéo ce que fait cette start-up, pourquoi j’ai choisi d’investir et comment j’ai trouvé cette petite pépite !
Pour rejoindre le club d’investissement de Gabriel et recevoir les meilleures start-up dans lesquelles investir (et donc investir avec moi et Gabriel dans ces projets), c’est par ici que ça se passe :
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En passant par ces liens et en m’envoyant un email à [email protected] avec ton adresse postale, nous t’enverrons en bonus le livre de Gabriel sur les start-ups ainsi que mes 2 livres (sur l’indépendance financière et sur les actions à dividendes).
J’ai réalisé une vidéo de presque 40 minutes avec Gabriel où on parle de son parcours : https://www.youtube.com/watch?v=I2JMx…
Gabriel sera intervenant à mon prochain séminaire à Genève le 5 Décembre 2020, tu peux réserver ta place ici : https://clubmillionnaire.fr/seminaire
J’investis dans une start-up indienne ! (investissement n°4)
Retranscription de la vidéo :
Yes les amis ! Bienvenus dans cette nouvelle vidéo, vidéo que je vous fais enfin sur le dernier investissement que j’ai fait dans une start-up indienne. Elle n’est pas tout à fait indienne puisqu’elle est américaine avec une sous-structure en Inde, mais qui a quand même son cœur d’activité en Inde.
Je vais te l’expliquer, donc.
Donc bienvenu sur cette nouvelle vidéo. Je vais tout t’expliquer. Je vais te dire quel est le nom de cette start-up, pourquoi je vais investir dans celle-ci, quels ont été mes « critères de validation » dans l’investissement, qu’est-ce que j’espère de cette start-up, c’est quoi son business model, comment j’ai trouvé cette start-up.
Bref, je vais répondre à toutes ces questions dans cette vidéo. Mais avant qu’on commence, n’hésite pas à t’abonner à la chaîne YouTube si ce n’est pas encore fait. Ça motive énormément un créateur de contenu de voir que son nombre d’abonnés augmente.
Mets un petit pouce bleu. Pose-moi toutes tes questions dans les commentaires, et on va pouvoir commencer ensemble cette vidéo.
J’ai préparé un petit plan de vidéo. Donc c’est parti ! Je vais te dire tout ce que j’ai à te dire sur cette start-up. Et si tu as la moindre question qui persiste après cette vidéo, n’hésite pas à me les poser dans les commentaires. J’y répondrai avec grand plaisir.
Donc qu’est-ce que cette start-up ? Cette chaise grince mais ce n’est pas très grave. Je pense que tu m’entends quand même très bien.
Cette start-up, elle s’appelle du coup, « Bikayi ». Je vais te montrer son site internet. Tu vois ici le titre « Shopify for India ». C’est l’équivalent, on va dire, même si ce n’est pas tout à fait ça, de Shopify pour l’Inde.
Donc on va expliquer pourquoi Shopify n’est pas en Inde. Est-ce qu’ils sont en Inde ? Pourquoi finalement, il va concurrencer Shopify en Inde s’ils sont en Inde ?
Bref, ne t’en fais pas. Je vais répondre à toutes tes interrogations puisque celles que tu as eues sont certainement celles que j’ai eues également avant d’investir dans cette start-up.
Donc cette start-up, comme je te disais, c’est une société américaine de la Silicon Valley. C’est une start-up américaine qui a une sous-structure en Inde pour ce business. Et tu vas voir que les fondateurs en fait sont également Indiens. C’est pour ça en fait que tout est cohérent. Tout est logique dans tout ça.
Ce qui se passe, c’est qu’aujourd’hui, en Inde, 97 % de l’e-commerce se passe sur Whatsapp. Donc je ne sais pas si tu es déjà allé en Inde.
C’est un folklore, mais au-delà de ça, leur façon de faire du commerce, c’est vraiment très très différent de ce qu’on peut voir, nous, en Europe et aux Etats-Unis, où on a des sites internet, où on commande en ligne, on paie en ligne, on reçoit ça très facilement, on a des numéros de tracking, etc.
En Inde, c’est encore un gros gros bazar. C’est très archaïque. Si tu es allé en Inde, tu vois exactement de quoi je parle. Et ce qui se passe, c’est qu’aujourd’hui, les Indiens font énormément du business avec leur téléphone, avec Whatsapp.
C’est-à-dire qu’en tant que client, tu envoies à ton marchand favori ta commande. Tu lui dis : « Moi, je veux ci, je veux ça en telle quantité. Je te paierai à la livraison », parce que c’est quelque chose que font énormément les Indiens, de payer à la livraison.
Nous, on paie tout le temps en ligne. On ne paie pas son livreur UPS ou Fedex quand il vient livrer le paquet. On paie directement. C’est plus simple.
En Inde, ils font énormément ce qu’on appelle le paiement à la livraison. Donc aujourd’hui, ce qui se passe, c’est que ce n’est pas très très efficient, tout ça parce que c’est très compliqué de faire un suivi des stocks, c’est très compliqué d’envoyer des fiches produits, des pages présentant tout ce que tu as à tes clients, de faire des factures, de faire des reçus, de faire un suivi de livraison, de faire tout.
Du marketing avec tes clients, c’est très compliqué de le faire avec Whatsapp. Tu peux le faire, mais ce n’est pas forcément très professionnel.
Donc aujourd’hui, Bikayi, (le nom de la start-up), part de ce constat-là, de se dire : « Il y a quelque chose à faire sur ce marché indien au niveau de l’e-commerce qui est un très très gros marché. »
Donc Bikayi, c’est quoi finalement ? C’est une application pour que les marchands puissent créer un site internet en quelques minutes et commencer à exposer de façon plus simple et beaucoup plus claire leurs produits et leurs services, les prix etc, tout en ayant une intégration toujours à Whatsapp qui est quelque chose de très important pour les Indiens.
Les Indiens sont attachés à travailler avec Whatsapp. C’est quelque chose qu’on ne peut pas leur retirer comme ça du jour au lendemain. Et c’est la façon dont ils ont l’habitude de faire du business.
Et comme je te disais, avec, cette fois-ci, une intégration pour faire des paiements en ligne directement sur cette application, ou avec toujours une option de faire un paiement à la livraison. Okay ?
Alors, je vais répondre tout de suite à la question qui est : Pourquoi les Indiens ne vont pas sur Shopify finalement, qui est quand même une structure, un site, une application, un logiciel, qui est disponible, qui est là depuis longtemps, qui est solide, qui est robuste (on le voit en Europe, aux Etats-Unis, et beaucoup de marchands font des millions et des millions de dollars via cette plateforme) ?
Pourquoi les Indiens n’utilisent pas cette plateforme ? Donc déjà, il faut savoir que Shopify est bel et bien présent en Inde depuis 5 ans. Il n’y a pas de soucis, ils sont bel et bien là. Il y a 18000 magasins.
Et pour te donner leur croissance, c’est à peu près 13 % par trimestre (la croissance de Shopify en Inde).
Pour te parler de Bikayi tout de suite qui est vraiment une jeune start-up, vraiment toute récente, il y a déjà 25000 magasins en Inde sur Bikayi, contrairement à 18000 magasins pour Shopify. Et la croissance est de 100 % pour le dernier mois chez Bikayi.
Donc tu vois qu’on a vraiment des chiffres qui sont déjà supérieurs à Shopify avec une croissance qui est également bien plus supérieure. Et pourquoi Shopify ne marche pas en Inde ?
Est-ce que Shopify ne met pas les efforts nécessaires pour se développer en Inde ? Peut-être également.
Mais surtout, ce qu’on peut dire, c’est que l’offre de Shopify ne matche pas du tout à ce que recherchent finalement les Indiens au niveau de l’e-commerce, puisqu’en fait, Shopify, c’est une solution qui n’est pas adaptée au marché indien, qui est beaucoup trop complexe par rapport au marché indien, aux besoins qu’ils ont, et il n’y a pas d’intégration de Whatsapp.
Donc comme je viens de te le dire à l’instant, Whatsapp, c’est quelque chose de très important pour les Indiens. S’il n’y a pas d’intégration de Whatsapp, ce n’est pas possible.
Donc l’idée, elle est là. Quels sont les revenus de cette start-up, Bikayi ? Je ne vais pas te les dire parce que tout simplement, dans une start-up, les revenus changent très très vite, d’autant plus que je viens de te parler d’une progression de 100 % par rapport au mois dernier, concernant le nombre de boutiques.
Donc tu te doutes bien que l’évolution des revenus, l’évolution de tout ça, ça évolue également très très vite. Ce que je peux te dire, c’est que récemment, ils doublaient tous les mois (donc ça, c’est énorme), avec une croissance organique à 60 % et une croissance payante à 40 % via du Facebook Ads.
Donc c’est-à-dire qu’aujourd’hui, ils ont une très grosse croissance organique qui fonctionne par du bouche-à-oreille.
C’est-à-dire que le bouche-à-oreille, c’est forcément une solution qui plait beaucoup aux marchands indiens, donc ils se la partagent entre eux, ils sont très très solidaires avec l’équipe directrice, avec l’équipe de la start-up pour donner des idées sur les fonctionnalités, les possibilités d’améliorations de ce logiciel, donc ça, c’est excellent.
Et ce que je ne t’ai pas dit également, ce qui est important, c’est que cette start-up Bikayi, est issue en fait du batch de Y Combinator. Je ne sais pas si tu connais, c’est un incubateur de start-ups très très connu, un des plus connus, si ce n’est le plus connu aux Etats-Unis, dans la Silicon Valley.
Généralement, les start-ups qui passent dans ce combinator sont des start-ups qui ont de très très bonnes chances de bien avancer puisque ce sont les Airbnb, les Dropbox, Stripe, je peux t’en sortir plein, Coinbase, Twitch également.
Bref, on a vraiment des gros, des valorisations de plusieurs milliards de dollars qui sont sortis de cet incubateur. Donc c’est quelque chose de très intéressant, d’autant plus qu’il est sorti de ce qu’on appelle d’un batch.
Un batch, qu’est-ce c’est ? Cet incubateur organise en fait des batchs où des start-ups peuvent s’inscrire et en échange de conseils et d’accompagnement, et de financement. Et bien voilà, c’est des incubateurs.
Donc les incubateurs aident les startups à se développer, à grossir en apportant des fonds, des conseils et de l’accompagnement, et cette startup Bikayi est celle qui, pendant le dernier batch de cet incubateur a eu la plus grosse croissance de toutes les startups présentes dans cet incubateur.
Donc, ça rapporte également quelque chose de très très intéressant parce que en plus d’être déjà rentable, cette startup, c’est celle qui a le plus de croissance dans un incubateur tel que celui du Y, non je ne sais plus bref, pour faire le bon Français, le Y Combinator donc l’incubateur Y, pour vraiment faire le frenchy de la Silicon Valley.
Bref voilà, je vais faire ce que j’aime bien faire c’est diviser en 5 points très très importants maintenant la startup, c’est-à-dire le besoin ensuite la barrière à l’entrée, le contrôle qu’a la startup sur son marché, la possibilité pour elle de scaler et ensuite la possibilité pour elle de déléguer toute son infrastructure et de faire des marges.
Le premier point c’est le besoin. Le besoin, est-ce que, il y a un besoin ? On vient de le dire clairement il y a un gros gros gros besoin en Inde pour ce produit, pour ce service puisque finalement aujourd’hui Shopify n’est pas efficace pour les Indiens.
Il y a une façon de fonctionner qui est vraiment pas non plus efficace, c’est très smooth, alors en utilisant WhatsApp, en ayant plein d’endroit où exposer ses produits, ses services avec les prix etc, c’est très très archaïque, c’est pas très compliqué sauf qu’il n’optimise pas les ventes.
Donc oui il y a une gros gros besoin et en fait tout ça, ça vient du fait qu’une des fondatrices est fille de marchand indien et elle a constaté pendant toute sa jeunesse, son adolescence, le fait que son père galérait avec l’inventaire, le stock, l’envoi des produits, les commandes, la mise à jour de je ne sais pas quoi, de je ne sais pas qui.
Bref, tout ça c’était archaïque, c’était compliqué, elle s’est dit il y a forcément une solution, il n’y en a pas, il n’y en a pas, bon, on va créer la solution et de là est né Bikayi avec d’autres cofondateurs.
Et aujourd’hui, ce qu’il faut savoir c’est qu’en Inde, il y a 60 millions de PME et d’ici 5 ans, on estime qu’il y en aura 100 millions. Donc c’est littéralement un marché qui est gigantesque, qui permet clairement d’espérer une valorisation pour Bikayi de cette startup a plusieurs milliards de dollars en tout cas.
Ensuite, concernant ce qui est de la barrière à l’entrée, ça va être très compliqué d’aller concurrencer ce genre de plateforme, ce genre d’application une fois qu’il y en a plusieurs qui existent sur le marché.
Je pense totalement, et tu penses peut-être tout comme moi à des grosses plateformes comme Amazon, aujourd’hui si tu veux aller concurrencer Amazon c’est extrêmement compliqué d’aller concurrencer Amazon, j’aimerais même te dire « impossible, si tu pars de zéro ».
Donc aujourd’hui, ce qui se passe en Inde c’est que, l’idée de Bikayi c’est de se dire: On va devenir la plateforme de référence pour les marchands en Inde, et de façon à faire en sorte que, pour les concurrents potentiels qui souhaiteraient se lancer sur ce même marché indien, que ceux-ci se disent : « Ben non, Bikayi c’est beaucoup trop gros, c’est comme nous aujourd’hui lancer un Amazon en France, aux Etats-Unis, qu’est-ce que tu veux faire contre Amazon, c’est impossible ».
Donc l’idée elle est là, c’est vraiment de prendre tout le marché et de faire en sorte que vraiment ça soit la référence sur le marché.
Donc la barrière à l’entrée aujourd’hui elle est carrément accessible parce qu’on a vu Shopify à titre de concurrent entre guillemets, et très peu installé encore sur le marché indien, donc il y a clairement des choses à faire et donc la barrière à l’entrée pour l’instant elle est loin d’être difficile à venir éclater en 2, la barrière elle n’est pas là pour le moment et c’est eux qui vont devenir la barrière.
Ensuite, le contrôle. Moi, ce que je vois un petit peu de gênant au niveau du contrôle sur cette startup, c’est que, ils cherchent à tout prix à faire des intégrations avec WhatsApp, ce qui est tout à fait logique et normal puisque les Indiens travaillent avec WhatsApp, ils échangent avec WhatsApp.
Donc c’est normal mais il y a toujours ce problème de la dépendance à d’autres choses c’est-à-dire que le plus on dépense d’outils et le plus on a des risques d’avoir des problèmes.
Aujourd’hui c’est pareil, dans ton business à toi, si tu as un business sur internet, tu dépends à 100 % de la publicité sur Facebook Ads, si demain il y a un problème avec ton compte Facebook Ads ou que Facebook ne t’aime plus, que Facebook ne veut plus que tu annonces sur leur plateforme, tu es littéralement dans la merde.
Ton business peut potentiellement passer de quelque chose de très très très profitable à quelque chose qui ne fait plus du tout d’argent parce que tu n’as plus ce moyen d’aller chercher de la publicité sur Facebook Ads.
Donc encore une fois, l’interdépendance à d’autres outils qui ne sont pas les tiens, ça peut être vraiment dangereux.
Donc voilà, il y a ce côté contrôle au niveau de WhatsApp qui est présent donc il faut faire je pense peut-être attention à ça mais de quelle façon ? Encore une fois c’est compliqué parce que, sans WhatsApp finalement, la startup perd vraiment de son enjeu parce que le marché indien a besoin de WhatsApp aujourd’hui pour faire tout ce qui est échanges commerciaux.
Donc ça, c’est quelque chose au niveau du contrôle des prix, ça s’appelle librement, libre de choisir ses prix c’est-à-dire qu’aujourd’hui elle facture un forfait mensuel et annuel finalement pour utiliser le logiciel et pour avoir le droit de créer sa boutique, de référencer ses produits, ses services, de mettre ses prix etc.
Donc ça c’est comme une forme d’abonnement, comme avec Shopify finalement donc c’est très très bien parce que ce sont des revenus récurrents/
J’ai le soleil qui me tarasse la gueule, je ne sais pas si tu le vois mais je me fais démonter.
Donc ça c’est excellent parce que ce sont des revenus récurrents.
Je vais m’avancer un petit peu, histoire d’éviter de me faire démonter.
Donc ça c’est pour la partie contrôle.
Ensuite on a la partie skiller, on est en Inde les amis, on est en Inde. Qu’est-ce qui se passe en Inde, c’est que, il y a énormément de personnes, je ne sais même pas combien d’habitants il y a en Inde, mais en tout cas, ce qui est certain c’est que, on l’a vu tout à l’heure, il y a énormément de PME puisqu’il y en a 60 millions aujourd’hui et il y a une prévision de 100 millions de PME dans 5 ans.
Donc ça c’est énorme, c’est chez ces gens là qu’on va aller cherche l’argent puisque si ces 100 millions de PME dans 5 ans versent à Bikayi et l’équivalent de 100 dollars chaque année, ça fait littéralement énormément énormément d’argent, des milliards et donc c’est ça qui est super intéressant.
Et donc le scale, il est présent parce qu’il y a déjà le marché de l’Inde et ensuite il y a tous les marchés périphériques et émergents, on pense par exemple au Pakistan à côté, on pense par exemple au Bengladesh qui est un très beau pays également, bref tous les pays aux alentours comme ça fonctionnent plus ou moins de la même façon en termes de, en termes de commerce, pour les marchands, ils fonctionnent de la même façon.
C’est un petit peu encore archaïque donc il y a beaucoup beaucoup de choses à faire avec une contamination périphérique autour de l’Inde, et donc encore plus de parts de marchés, en tout cas plus de chiffres d’affaires, de bénéfices etc etc.
Et le dernier point, est-ce que c’est facile de « déléguer » ? Bon, encore une fois ça reste un logiciel donc je veux dire, il n’y a pas forcément énormément énormément d’employés, c’est un petit peu comme les business aujourd’hui, les startups technologiques, Fintech etc.
Ça tourne autour d’une application, d’un logiciel, de quelque chose d’internet donc, il faut le coût de la structure, il faut le coût des techniciens, des développeurs pour faire en sorte que la machine se développe, qu’elle soit bien entretenue, qu’elle soit pas piratable, que tout se passe bien etc.
Mais encore une fois ce n’est pas la même chose que d’avoir 50 000 salariés, parce que c’est une activité très terrain, tu vois ce que je veux dire.
Donc, là-dessus bien évidemment il y a moyen de déléguer à mort et d’avoir un ratio de chiffres d’affaires par rapport à un nombre d’employés qui est très très très intéressant.
Donc, l’idée de cette startup c’est quoi finalement ? C’est que, à terme, soit comme classiquement comme startup elle se fasse racheter, soit une introduction en bourse, se faire racheter par qui ? Typiquement par Amazon, pourquoi pas ?
Qui voudrait aller avoir des intérêts sur le marché indien c’est-à-dire ce qu’il est en train de faire d’ailleurs ? Amazon sur le marché indien, ils sont déjà en train de s’y pense fortement, ou encore des rachats parce qu’on n’a pas, Flipkart ou Tata, peut-être que ce sont des sites que tu connais moins.
Je t’invite à taper dans Google Flipkart et Tata c’est beaucoup plus orienté sur le marché indien et ce sont de très très très grosses boites, des très très grosses holdings qui ont carrément la mesure de racheter des start-ups comme Bikayi.
Donc voilà, dernière question, dernier point de cette vidéo dont je te pose peut-être certainement. Voilà je t’expliquais la startup, ce qu’elle faisait, je t’expliquais pourquoi je la trouve intéressante, finalement, je t’ai pas tant expliqué que ça, pourquoi, alors je la trouve intéressante.
Je la trouve intéressante, parce que de un, c’est donc une startup internet technologique donc potentiel de faire beaucoup beaucoup d’argent avec peu. Elle est déjà rentable donc ça j’adore les startups qui, quand tu investis dans celles-ci sont déjà rentables.
Pour moi c’est un point très très important. Ça touche à tout ce que je fais moi dans la vie de tous les jours, internet, Shopify, business internet, bref, ça c’est des choses qui me parlent.
Je comprends clairement le business model, je vois clairement le potentiel de cette startup, d’autant plus sur un marché qui est l’Inde, alors ça peut faire beaucoup de personnes dis-moi ce que t’en penses dans les commentaires.
Généralement quand on dit à des personnes : « J’investis en Inde », juste comme ça, ça leur fait un petit peu peur surtout qu’on a vite des images de l’Inde, d’un truc vraiment chaotique, bordélique où on voit des gens morts dans la rue. on voit que, on voit plein de trucs qui font que ça peut faire peur à certains.
Mais moi je vois ça comme étant in très très gros marché et surtout un marché émergent, un marché d’avenir où il y a beaucoup beaucoup d’argent à aller chercher pour ceux qui iront se positionner encore une fois au bon moment, potentiellement aujourd’hui. Donc il y a ça.
Qu’est-ce qui fait que j’aime bien également ? C’est déjà un mélange de tout ça, ça sort du Y Combinator donc incubateur très très très très célèbre, dont sont sortis des très très très grands noms.
Il y a beaucoup de choses qui me plaisent là dedans et la question je te pose aujourd’hui donc déjà c’est plus possible d’investir dans ces startups. Une startup si tu ne le sais pas comment ça fonctionne, ils ont besoin d’argent, ils font des levées de fonds, il y a des investisseurs comme moi et comme d’autres qui viennent mettre de l’argent et puis ben une fois que le montant désiré est collecté, le levée de fonds est terminée, ou parfois les levées de fonds sont ouvertes pendant une certaine période de temps.
Bref, c’est pas t’investis comme tu veux, comme en Bourse, où tu te dis je vais acheter telle action d’Amazon, j’achète quand je veux à partir du moment où la Bourse elle est ouverte, c’est très très facile, et tout le temps très très liquide.
Les startups, c’est vraiment pas liquide, donc aujourd’hui ce n’est plus possible d’investir dans cette startup qui est Bikayi sauf si dans le futur elle procède à une nouvelle levée de fonds, ce qui n’est pas impossible puisque des startups peuvent procéder à plusieurs levées de fonds.
Alors comment j’ai trouvé cette startup ? C’est comme d’autres startups dans lesquelles j’ai déjà investi, c’est grâce à un partenaire qui sera d’autant plus intervenant dans mon prochain séminaire à Genève le 5 décembre 2020 si la date est encore maintenue. J’espère et normalement il n’y a aucun souci pour cette fois-ci, ça devrait être maintenu.
Cet intervenant, ce partenaire, c’est Gabriel Jarrosson qui est selon moi un expert en startup et le meilleur expert francophone en startups parce qu’il a clairement révolutionné le monde des startups dans sa façon dans lesquelles on peut finalement venir apporter des fonds à ces startups.
Si tu le sais, ou pas, généralement c’est ce qu’on appelle être un business angel, et généralement, on a l’image de quelqu’un qui a 50 ans, 60 ans, qui est très riche, qui a beaucoup de temps et qui ne sait pas trop quoi faire et qui met des ronds dans des startups.
Aujourd’hui, Gabriel on peut dire qu’il a finalement un petit peu, je ne sais pas si ça peut lui plaire comme terme mais uberisé un petit peu la façon dont est né un business angel aujourd’hui puisque, aujourd’hui des gens comme moi, qui ont 27 ans, des gens comme toi, qui peut-être ont 18, 20, 25, 30, 35, 40, 45, peu importe l’âge, finalement toute le monde peut venir investir dans les startups grâce à ce qu’a fait Gabriel.
Je ne sais pas comment il appelle ça précisément, mais il a créé un club qui s’appelle Leonis Investissement, dans lequel finalement, tous les membres vont investir ensemble dans ces startups donc on réunit la force de frappe de moi, potentiellement de toi si tu rejoins le club et d’autres personnes pour investir dans ces startups et pour avoir accès à ces startups parce que finalement, Bikayi, si tu étais tout seul, tu n’auras pas pu avoir accès à la levée de fonds mais grâce à Gabriel, grâce à son club finalement on a une force de frappe qui fait que déjà il peut aller chercher des deals super intéressants directement au cœur de la Silicon Valley puisque Gabriel s’y rend plusieurs fois par an pour aller chercher directement les deals, échanger avec les fondateurs etc, et nous les rapporter en France, pour qu’on puisse investir.
Et également voilà t’aurais simplement pas pu investir tout seul puisqu’aujourd’hui quand Gabriel investit dans une startup, c’est pas 1000 €, c’est pas 2000 €, c’est pas 3000 €, c’est pas 5000 €, une startup tu te doutes bien qu’elle veut des millions de dollars pour pouvoir se développer.
Donc généralement avec Gabriel c’est plusieurs centaines de milliers de dollars directement qu’il arrive à réunir avec tous ses membres, en plus de d’autres investisseurs, puisqu’il n’y a pas que Gabriel qui investit dans la startup, il y a également des investisseurs du monde entier qui non seulement vont investir mais bref, Gabriel a réussi a rassembler grâce à son club plusieurs centaines de milliers de dollars avec – je me répète peut-être un peu mais je veux que ça soit bien clair – avec toi, moi, etc etc, pour venir investir dans la startup.
Donc, ce qui se passe c’est qu’une société est créée, qu’on appelle une holding, une LLC, américaine généralement si la structure de la startup est américaine et toi tu es donc actionnaire de cette LLC américaine qui est directement du coup actionnaire de la startup finale, ce n’est pas finalement, pas un jeu de dominos mais presque, où finalement tu ne peux pas être directement être actionnaire de la startup finale sinon ça ferait beaucoup trop d’investisseurs individuels pour la startup alors que là, finalement, la startup elle aura qu’un seul actionnaire, c’est une nouvelle société qui a été créée dans laquelle toi tu es actionnaire.
Donc je ne sais pas si tu me suis bien, c’est un montage très simple finalement de holdings et c’est comme ça que ça fonctionne.
Donc voilà, c’est grâce à Gabriel encore une fois, je mettrai tout dans la barre de description ci-dessous si tu veux aller voir à quoi ressemble son club.
Honnêtement je te le recommande très fortement puisque les deals qu’il ramène sont vraiment excellents et aujourd’hui, je peux clairement dire que c’est mon partenaire en termes de startups, je ne passe plus que par lui pour investir dans les startups.
Régulièrement, il envoie des deals, ensuite libre à toi de dire : « Oui, non, ça m’intéresse de l’analyser », comme moi, je vais pu le faire dans la vidéo assez rapidement mais plus ou moins de la même façon et de dire : « Oui, je mets un billet, non je ne mets pas un billet », et je crois que tu peux commencer à investir dans chacune des startups à partir de 2 ou 3000 dollars donc ce qui fait que vraiment c’est accessible à tout le monde.
Que te dire de plus ? Ecoute, pas grand-chose, tout sera dans la barre de description, n’hésite pas à aller voir j’ai fait également une interview avec lui, tu pourras la regarder en entier avant de regarder un petit peu quel est son club pour découvrir le personnage et également comme d’habitude, petite opération d’affiliation, si tu rejoins son club par mon intermédiaire.
N’hésite pas à l’indiquer sur le bon de commande, ou d’une façon ou d’une autre, me contacter, en me contactant plutôt ça sera plus simple et on t’offrira des bonus comme toujours, c’est une opération gagnant-gagnant.
Tu vas découvrir un partenaire de qualité, tu passes par mon intermédiaire, je suis « rémunéré » par Gabriel pour cette mise en relation en tant que partenaire d’affaires et en échange je t’offre des bonus, tout le monde y gagne et tout le monde grandit dans l’affaire.
Bref, merci à toi de m’avoir écouté. Petit pouce bleu, petit commentaire si tu as la moindre question et je te dis à très très vite pour de nouvelles aventures.
Ciao ciao!
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