Mon bilan en 2024 : impayés, Paraguay, faillites, toujours plus riche, VIVRE

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Mon bilan en 2024 : impayés, Paraguay, faillites, toujours plus riche, VIVRE

Retranscription de la vidéo :

Bilan de l’année 2024. Les amis, ça y est, cette année est torchée.

On est ici en direct d’Indonésie. Alors, ce n’est pas Bali, c’est Surabaya. C’est une autre ambiance mais c’est d’ici qu’on va faire le bilan de cette année 2024.

Comme chaque année, on va parler de tout. J’ai ici mes notes sur l’ordinateur, donc, que ce soit l’immobilier, la bourse, la crypto, les start-ups. Qu’est-ce qui s’est passé ? Qu’est-ce qu’on a fait de bien ? Qu’est-ce qu’on a fait de moins bien ? Le business en ligne, on va parler d’expatriation, de voyages, de lifestyle, de patrimoine, de choses comme ça. Quel a été mon bilan pour 2024 ? Grosse attente pour 2025. On va parler un peu de tout ça.

Avant tout ça, lis-bien la barre de la description, regarde le premier lien puisque si tu me suis depuis un petit moment, tu sais que pour chaque début d’année, on fête quelque chose dont je vais te parler un petit peu plus tard dans cette vidéo.

Mais, pour que tu sois tout de suite au courant, lis bien la page qui est présente dans la barre de la description, premier lien. C’est quelque chose qui disparaitra très prochainement dans quelques jours.

Alors, les amis, 2024 est passé à une vitesse folle, littéralement. Globalement, c’est une très bonne année, même si elle a commencé un peu bizarrement en tout cas, de mon côté.

Je ne sais pas, elle a été un petit peu difficile, elle a été un petit peu pénible à commencer, à démarrer cette année. Pas mal de démotivation, découragement, difficultés, pas trop de motivation. Mais, on termine l’année 2024 vraiment sur une bonne énergie, prêt à démarrer 2025 et à tout casser.

Par quoi on commence les amis ?

Immobilier

On va commencer par tout ce qui est actif, ensuite on va enchainer sur business et ensuite, on terminera un peu plus sur le life style, patrimoine, etc, etc…

Pour parler de l’immobilier les amis, si tu me suis sur Instagram etc… tu as dû voir que mon désengagement, mon désamour pour l’immobilier est plus que prononcé. Voilà, je déteste l’immobilier actuellement. Je ne comprends pas les gens qui font de l’immobilier, je ne veux plus d’immobilier.

Donc, j’ai encore des lots en France, mon patrimoine immobilier est exclusivement en France. Je viens de revendre, tout juste, à l’instant, un studio à Reims. Là, c’est long, c’est chiant, etc… mais, ça a été fait.

Malheureusement, j’ai un lot sur lequel j’ai un impayé. Donc, tu vois, ça a été le tout premier lot que j’ai acheté lorsque j’ai démarré l’immobilier, il y a 10 ans. Et, au moment où je veux le revendre, j’ai un impayé qui dure déjà depuis 11 mois avec un locataire, qui malheureusement, visiblement, ne veut pas partir, ne veut pas payer.

Je ne vais pas développer, j’en ferais surement une vidéo quand l’affaire sera terminée. Mais, j’ai le sentiment que je vais m’engager sur quelque chose de long et chiant pour pouvoir récupérer mon lot.

Donc, c’est dans cette mesure aussi que la France me saoule, me gave. Il y a n’importe quel autre pays du monde, que ce soit les Emirats, l’Asie, l’Amérique Latine, L’Amérique du Sud, le Kirghizistan, l’Asie Centrale, la Russie, où tu peux te permettre de ne pas payer ton loyer pendant presque un an, rester dans l’appartement et que personne ne te dise quoi que ce soit.

Moi, ça me parait totalement fou de se faire voler de la sorte, de ne pas se faire respecter. Mais, d’être quand même visiblement dans le rôle du mec qui n’a pas le droit de dire quoi que ce soit, ou de faire quoi que ce soit. Donc, c’est pénible.

Et, clairement, aussi pour la vente de mon studio à Reims, ça m’a clairement saoulé quand on me facture des états datés 560 € pour m’exporter 3 chiffres comptables que la copro connait très bien et exporte en 2 minutes. Alors que la copro, tu la paies déjà suffisamment chère à travers toutes ses prestations chaque année.

Quand je vois qu’on me facture des DPE à je ne sais pas combien j’ai payé, quand je vois que j’ai eu un dernier rappel de fonds pour faire le plan pluriannuel travaux à 300 €, quand je vois que ça prend 3 mois pour faire une vente alors que l’acheteur en face paie 7%.

Toujours en Estonie, en une semaine, la transaction, elle est clôturée. Et tu paies 150 – 200 – 300 € de frais de notaire. Alors qu’en France ça prend 3 mois et tu paies 7%.

Donc, tu vois, en Estonie, il y a quand même un cadastre. En Estonie, c’est sérieux, en Estonie, on ne fait pas n’importe quoi. Et, pourtant, 1 semaine et 200 – 300 €.

Tu vois, il y a pleins de trucs pareils, l’assurance, mon assurance pour mes biens immobiliers plus 21% la cotisation, la taxe foncière, pareil, ça augmente.

Bref, moi, je ne comprends pas l’immobilier, en ce moment, je ne vois pas l’intérêt de faire de l’immobilier. Alors, oui, il y a l’effet de levier, mais, clairement, moi, ça me saoule.

Donc, heureusement, j’ai des lots qui se portent bien. On a un immeuble qui tourne à fond, avec des étudiants. Il n’y a jamais de vacances locatives. Même l’été, les mecs relouent tout de suite. Donc, même l’été, on est toujours blindé parce qu’il est tellement bien placé par rapport à l’université, et par rapport au fait que l’immeuble il est tellement propre, on vient de le rénover. Donc, ça se loue très très bien.

On a une maison qui se loue très bien. On a d’autres lots, il n’y a vraiment pas de souci globalement.

Il y a quand même un autre lot qui nous a bien saoulé où, coup pour coup, on a des étudiants qui prétendaient louer l’appartement en nous disant : « On va rester un an – on va rester 2 ans ». Et, coup sur coup, 2 fois de suite, les mecs sont partis au bout de 3 mois. Et, nous, ça nous nique l’année parce que c’est pour des étudiants.

Donc, retrouver un étudiant en plein milieu d’année c’est compliqué. Donc, là, ça fait 2 ans qu’on a un lot qui ne nous rapporte pas d’argent parce qu’en fait, on galère à retrouver des locataires. Alors que c’est un beau lot, bien placé, etc…

Et, des locataires qui nous mentent : école de commerce, qui nous disent lors de l’état des lieux, enfin, pas à moi mais à l’huissier qui gère mon patrimoine, qui nous disent : « On va rester 1 an – 2 ans ». Puis, après 3 mois, en fait, ils n’avaient qu’un stage, ils savaient très bien qu’ils allaient partir, et, ils te posent un préavis. Donc, merci les gars. Encore une fois, ça nique la rentabilité d’un lot parce qu’en pleine année, louer à des étudiants, ce n’est pas forcément évident.

Bref, l’immobilier, je ne vais pas développer plus que ça. Je suis en pleine clôture de certains comptes bancaires, puisque je viens de rembourser également. Je commence à finaliser mes prêts étudiants, j’en avais fait 2 à l’époque. Je ne sais pas si tu te rappelles.

Pour commencer dans l’immobilier j’avais fait 2 prêts étudiants de 50.000 €. Donc, ça y est, j’en ai remboursé un il y a 2 mois, donc, on a clôturé le compte associé, et je rembourse le dernier dans, je pense, 6 mois grand max.

Donc, pareil, on va pouvoir tout clôturer, histoire de ne plus rien avoir en France puisque si vous ne le savez pas, le fait d’avoir des comptes bancaires en France quand on est expatrié, ce n’est vraiment pas terrible, ça a un intérêt économique vraiment plus important que ce que les gens imaginent. Donc, ne gardez aucun compte bancaire dans la mesure du possible lorsque vous êtes expatriés.

Moi, j’avais des prêts étudiants rattachés à ces comptes. Donc, c’est pour ça que malheureusement, je n’ai pas pu les clôturer plus tôt. Mais, maintenant que mes prêts étudiants sont remboursés, je ne perds pas de temps, je clôture tout, tout de suite.

Donc, voilà, l’immobilier, clairement, on ne va plus rien développer sur ça, ni en France, ni à l’étranger et on revend dans la mesure du possible ce que je peux revendre. Et, pour les biens qui sont détenus en SCI avec des associés, on laisse se rembourser. Dieu merci, c’est ceux qui tournent le mieux, en ce moment et qui ne posent aucun problème. Donc, on laisse l’amortissement se faire, le remboursement du capital. Et, on verra dans quelques années ce qu’on en fait.

Bourse

Pour parler de la bourse, les amis. Un sujet qui me plait beaucoup plus. On est passé à plus de 1.000.000, on doit être même à 1,1 million, on frôle le 1,1 million d’investis en bourse. On a fait un beau bon cette année sur cette classe d’actifs.

On a quand même commencé l’année un petit peu péniblement puisqu’on a une valeur qui a réduit son dividende et, c’est une valeur qui avait un beau poids dans le portefeuille.

Toujours pareil, les gens qui font des analyses après que les évènements ont lieu te disent : « Mais, Raph, c’était évident que cette valeur il ne fallait pas l’acheter ». Voilà, c’est évident quand c’est fait. C’est comme le Bitcoin à 100.000, c’est évident quand il est à 100.000.

Moi, j’aime bien, j’aime bien les gens qui te sortent leur conclusion quand les faits sont là, tu vois. C’est comme le Bitcoin à 1.000.000, tout le monde te dira : « Oui, c’était évident Raphaël, comment ça ? » Alors, moi, j’y crois. Tout le monde te le dira quand il sera à 1.000.000 le Bitcoin que c’était évident.

Bref, pour parler de la bourse, on a fait un sacré bon en avant cette année encore. Donc, ça, c’est vraiment une classe que j’ai privilégiée. Je vois vraiment la bourse comme étant mon socle, mes fondations, ma base.

C’est à dire que ça génère du cash-flow, ça génère 3.100 $, même 3.200 $ de dividendes tous les mois. Je sais que c’est des entreprises très solides, des mastodontes de leur marché, et qu’à priori, je vais garder ces entreprises toute ma vie. Donc, c’est mon cash-flow, c’est-à-dire que je sais que je peux vivre de ça, je ne m’en sers pas, je réinvestis tout. Mais, je sais que je peux vivre de ça si jamais j’ai le moindre souci.

Et, par exemple, pour la crypto, les start-ups, et le reste, je peux me permettre d’être un peu plus agressif, ou prendre plus de risques puisque je sais que j’ai mon 1,1 million et qui ne fait que monter en bourse qui me permet d’assurer mes arrières si jamais le business ne marchait plus, si jamais je perds tout à côté. A priori, il n’y a aucune raison que je perde mes actions en bourse. Donc, voilà les amis.

Crypto

Pour parler justement de la crypto, sur ATH cette année, le portefeuille il a fait x 2,10. Et c’est vrai que je ne parle jamais en valeur nominale de la taille de mon portefeuille parce que j’ai envie de rester discret sur ça.

Je pense que j’ai plus que ce que les gens imaginent. J’ai commencé en 2017, donc, tu peux regarder le prix du Bitcoin ou de l’ETH en 2017, ce n’est pas ce qu’il est aujourd’hui.

Donc, on a un portefeuille qui est vraiment insolent, qui est vraiment sympa. Il y a eu pas mal d’Airdrop également cette année. Moi, tous les Airdrops, généralement, je les prends, je les collecte, je les convertis en BTC.

Ma vision, maintenant, c’est de ne faire que du BTC. J’ai pu dans le passé, aller sur des cryptos un petit peu plus exotiques, ou pas forcément exotiques mais large cap, top 10 – top 50, je ne m’embête plus maintenant.

Full BTC, BTC maximaliste, comme on dit. Clairement, je le vois aller jusqu’au million, j’allais dire sans difficulté, peut-être pas. Mais, à un moment ou à un autre, à priori, étant donné les grandes lignes directrices de notre économie mondiale aujourd’hui, je ne vois pas pourquoi il n’a pas toutes ses chances d’aller au million. Donc, on verra. Et, en tout cas, full BTC, désormais.

Start-ups

Que te dire de plus ? Start-ups, on va parler un petit peu des start-ups. Alors, ça, c’est très intéressant. On a fait 13 deals, via le club Insolent Capital. Moi, j’en ai fait un de plus, donc, 14 en perso. Je n’ai pas pu le proposer au club ce quatorzième deal, parce que ça allait trop vite, je n’ai pas réussi à avoir une enveloppe. Mais, on a fait quand même 13 deals, via le club. C’est énorme. 11 aux Etats-Unis, 1 en Espagne, 1 à Singapour et 1 en Inde.

Alors, pourquoi autant aux Etats-Unis ? Les fondateurs de ces boites qui sont américaines sont souvent Indiens, Africains, dans sa globalité, Mexicains, Chinois. Bref, de partout dans le monde. Mais, ils décident d’aller aux Etats-Unis, dans la Silicon Valley, à San Francisco pour innover, pour entreprendre. Parce que, encore une fois, il y a un cadre qui fait que c’est beaucoup plus simple, beaucoup plus facile de le faire depuis les Etats-Unis que de le faire depuis n’importe où ailleurs dans le monde.

Voilà, tu n’es peut-être jamais allé à San Francisco, d’ailleurs, moi, non plus. Mais, apparemment, là-bas, il y a une énergie de malade, ce n’est pas la Silicon Valley pour rien.

Donc, ce n’est que des boites du Y Combinator. D’ailleurs, il faudra peut-être que j’aille foutre un jour ou l’autre mon cul là-bas. Je commence à avoir mis avec le club, plusieurs millions de dollars dans les start-ups du Y Combinator de San Francisco, de la Silicon Valley. Donc, il faudrait que j’aille voir quand même un petit peu à quoi ça ressemble.

Mais, en tout cas, voilà, sur la taille du portefeuille, ce que je peux te dire sur l’état, c’est que ça commence vraiment à prendre maturité, comme tu le verras quand je te parlerai de mon patrimoine. Mes valorisations autour des start-ups n’ont pas grandement évoluées, ça reste stable, il n’y a pas eu de mark up.

C’est-à-dire qu’on n’a pas pu revaloriser une start-up à la hausse parce qu’il n’y a pas encore eu de nouvelle levée de fonds qui nous permet de dire que cette start-up vaut désormais tant d’argent. Mais, par contre, on commence à avoir des choses sympas, c’est-à-dire qu’il y a de la maturité, c’est-à-dire que globalement, mon portefeuille, il est à peu près 3 – 4 ans d’ancienneté. Donc, c’est encore jeune, on tire des vraies conclusions, en général, à partir de la cinquième et septième année.

Mais, on voit quand même que, là, j’ai 2 – 3 faillites qui sont en train de se déclarer. Donc, on attend que ça se boucle administrativement parlant. Mais, on a 2 – 3 boites qui ont mis la clé sous la porte, comme on dit.

On a 2 boites pour lesquelles je sais que ce sont des licornes parce que je vois le chiffre d’affaires qu’elles font. J’ai l’information. Et, par rapport aux multiples de valorisation dans cette industrie, je sais que c’est une licorne. Si tu valorises 10 fois par exemple le revenu, ou 15 fois le revenu annuel, tu sais plus ou moins combien vaut ta start-up même si ce n’est pas acté officiellement par le fait qu’elle a refait un tour de table, tu sais ce qu’elle vaut plus ou moins.

Et, on a quand même un exit. Donc, on a une boite qui s’est fait racheter il y a peut-être 2 – 3 mois. On attend encore la finalisation. Alors, ce qu’il faut savoir que dans les start-ups, tout prend un peu de temps. Clôturer une levée de fonds, ça prend un peu de temps, quand il y a une faillite, ça prend un petit peu de temps, quand il y a un exit, ça prend un peu de temps. Parce que évidemment, il faut reprendre toute la table des actionnaires, la cap table comme on dit : faire les distributions, signer, vérifier, etc, etc…

Bref, c’est de l’administratif, c’est du juridique, il y a des avocats qui bossent dessus. Donc, ça prend un petit peu de temps. Mais, voilà, ce que je peux te dire c’est que on a de la maturité qui apparaît, de l’exit qui commence à apparaître, de la faillite, des boites qui commencent clairement à sortir leur épingle du jeu comme avec les 2 licornes que je viens de t’évoquer.

Donc, j’ai hâte de voir. Je pense que d’ici 2 – 3 ans, on va vraiment voir des choses sympas, et peut-être enfin gagner de l’argent avec cette classe d’actifs. Parce que je sais que beaucoup d’entre vous sont très curieux, se disent : « Mais, Raph, pourquoi il met autant d’argents là-dedans, c’est risqué ». J’avais gagné d’argents, je sais qu’il y a beaucoup de sceptiques.

Et je vous le spoile en avance, je pense que 2025, c’est probablement la classe d’actifs dans laquelle je vais investir le plus d’argent, les start-ups. Parce que je suis plus que convaincu du potentiel de cette classe d’actifs et je t’en parle un peu plus tard dans la vidéo, mais il se passe des choses. Il se passe des choses. Je t’en parle un peu plus tard dans la vidéo. Reste bien jusqu’à la fin.

Donc, voilà pour les start-ups, en tout cas.

Expatriation

Pour parler un petit peu d’expatriation. Je vais me mettre ici dans ce coin de canapé. Parlons un petit peu d’expatriation.

Tu as dû me voir aller au Paraguay, tu as dû me voir aller à Panama. Donc, ça, c’est bouclé. J’ai obtenu mes résidences cette année. Donc, ça, c’est une belle chose de faite. On a quand même obtenu 2 résidences cette année, donc, une résidence permanente à Panama. Donc, ça y est, j’ai ma cédula, j’ai ma carte d’identité, je suis officiellement résident permanent à Panama.

Et Paraguay, on a la résidence, cette fois-ci, temporaire d’une durée de 2 ans, avant que je ne puisse la convertir en résidence permanente. Donc, on doit déjà être presque à une année, le temps passe très vite. Mais, en tout cas, c’est obtenu également.

Alors, Paraguay, ça a été un peu plus chaotique que le Panama. Panama ça a été vraiment très bien, très facile, très rapide, très simple. Dans les 2 cas, j’ai été accompagné par des avocats. Mais, voilà, Panama ça a roulé droit.

Paraguay, tu sens que c’est un peu plus chaotique, un peu plus corruption, un peu plus lent, un peu plus problématique. Il y a eu toujours des problèmes, toujours des lenteurs administratives. Un coup, il a eu une rupture de stocks des cartes d’identité, un coup c’est la machine pour lire les cartes qui ne marchait plus pendant 2 semaines. Un coup il y a eu une descente dans les bureaux de la police pour corruption, donc, ils ont contrôlé tout le monde, viré du monde, etc…

Bref, il y a toujours un truc, ça a mis du temps. Mais, c’est arrivé. Donc, bonne chose de faite. On commence à collectionner les résidences et à avoir une belle petite diversification mondiale entre les passeports et les résidences.

Je ne sais pas si 2025, je me concentrerai à obtenir d’autres résidences. A priori, dans ma tête, ce n’est pas prévu. Mais, on ne sait jamais.

Il peut y avoir un programme qui débarque, un nouveau programme super intéressant qui me donne envie d’avoir cette résidence supplémentaire. Pourquoi pas du côté asiatique ? C’est vrai que si je peux avoir une résidence sur le continent asiatique permanente avec une vraie carte d’identité, ce serait génial.

Mais, ce n’est pas trop l’ambiance de l’Asie généralement. Ils sont assez centrés sur eux-mêmes. Ils ne sont pas très ouverts à distribuer comme ça des résidences permanentes à des étrangers. Contrairement à l’Amérique Latine ou du Sud où tu es beaucoup plus intégré dans l’écosystème, dans la société. L’Asie c’est un peu différent.

Bref, on en reparlera peut-être un petit peu plus tard, mais, bonne chose de faite pour 2024, Panama, Paraguay, 2 belles destinations que j’adore vraiment. Panama – Paraguay, 2 pays où j’ai eu vraiment du mal au début quand j’y suis arrivé. J’y suis arrivé vraiment pour les papiers au début, je ne vais pas vous mentir. Je me suis dit : « C’est une opportunité, je les prends, ce n’est pas cher, c’est facile, ça va aller vite ».

Et, en revenant, pour boucler mes papiers, j’ai vraiment kiffé. Donc, j’ai eu du mal mais là, Paraguay – Panama, tu me dis : tu y vas demain, je dis : « Pas de souci ». J’adore et vraiment je m’y sens bien là-bas. Surtout le Paraguay qui était une très très belle surprise, là, récemment.

Lifestyle

Alors, pour te parler ensuite du life style, un petit peu. Donc, je te disais, ce début d’année, il était un petit peu compliqué, je n’avais pas de motivation, je m’en rappelle, j’étais au Brésil. Pourtant, il faisait beau, Coppa Cabana, Ipanema, soleil, on marche, on faisait du vélo sur la promenade.

J’étais là, je n’avais pas envie. Je n’avais pas envie, pas d’énergie, pas de motivation, un petit peu de remise en question.

Ce n’est toujours pas facile quand tu voyages toute l’année, comme ça. Les gens vont se dire : « Raph, attends, tu n’as pas le droit de te plaindre, c’est génial ». Et, évidemment, j’ai choisi cette vie-là et j’adore cette vie-là. Clairement, je vais t’en parler juste après en positif. Mais, il y a des fois, tu es un peu en perte de repère.

C’est-à-dire que, un coup, tu es entouré de Brésiliens, là, je suis entouré d’Indonésiens, un coup, tu es entouré de Russes, ou de Kirghizes. Et, des fois, tu es là, tu prends un peu de recul.

Tu sais, ce genre de soirée où tu es tout seul chez toi dans ton appartement ou dans ton Airbnb, tu écoutes une petite musique un peu triste, tu bois ton petit verre de vin, et tu prends un peu de recul sur tout, sur le business, sur la vie, sur ta situation. Et, tu te dis : « Putain, mais qu’est-ce que je fous là ? Toute ma vie, je suis là, à droite, à gauche, et je rencontre pleins de gens différents mais ça ne dure jamais », etc … Et tu te dis : « Putain, mais quelle vie incroyable, quand même, mais un peu bizarre des fois aussi ».

Donc, tu vois, début d’année, c’était un petit peu ce mood là. Je me disais mais bizarre quand même. Tu vois, là, je suis là, là, je suis là, là, je suis là. Mais au final, cette fin d’année se termine très très bien. Et, plus que jamais, en fait, j’adore cette vie. Je me rends compte que j’ai vraiment beaucoup de mal.

Je te disais quand j’ai eu 30 ans, là, j’en ai 31, que peut-être qu’à partir de mes 30 ans, je commencerais à me poser et construire quelque chose dans une vraie vie, dans un vrai pays, à rester vraiment longtemps. Et, en fait, non. Je ne veux surtout pas de cette vie-là.

Moi, je vois en fait ce modèle-là chez des gens autour de moi qui construisent cette vie-là. Je trouve ça monotone, je trouve ça routinier, je trouve ça triste. En tout cas, ça ne me correspond pas. Je ne dis pas que ces gens-là n’ont pas raison.

Certains le font par pure volonté, d’autres le font aussi parce qu’ils n’ont pas le choix, ils n’ont pas le temps de voyager ou l’argent ou ils ont peur de voyager parce qu’il y a des gens qui ont peur de voyager. Bref, peu importe les raisons mais, moi, je me rends compte que j’adore, j’adore, j’adore.

Là, j’ai fait 2 mois en Indonésie, c’est très rare. D’habitude, je ne reste pas autant dans un pays. Mais, ça a été vraiment un coup de cœur, ici, l’Indonésie, Jakarta, surtout. Mais, j’ai déjà envie de voyager.

Il y a plein d’autres plans pour le premier trimestre 2025 qui sont en train de se dessiner. On va aller dans des pays qu’on n’a encore jamais fait qui m’attirent énormément. On va continuer et j’adore ça.

J’ai hâte. Cette année, on a fait encore beaucoup de pays, mais beaucoup d’anciens pays où j’étais déjà allé. C’est-à-dire qu’en nouveau pays, on n’a fait que 6, on a fait le Bengladesh en début d’année, incroyable. La Bolivie, le Chili, l’Uruguay, le Brésil et la Tunisie. Seulement, 6 nouveaux pays. Donc, c’est peu en 1 an.

Et, en même temps j’ai envie de te dire : « Ça devient dur d’en trouver des nouveaux ». Parce que je commence à avoir fait 117 pays. Donc, tout ce qui me reste : il y a une grosse partie de l’Afrique, puisqu’il y a 50 pays et quelques en Afrique. Et, j’ai dû en faire peut-être que 10. Donc, il y a un gros morceau là-bas.

Toute l’Océanie, je n’ai jamais foutu un pied. Mais, je n’ai pas du tout envie d’y aller, je ne vais pas te mentir. Je ne sais pas pourquoi, ça ne m’attire pas. Et, il me reste quelques-uns à droite, à gauche. Tu vois, en Europe, il ne m’en reste qu’un seul, c’est l’Islande. En Amérique latine, il doit en rester 3 – 4, en Amérique du Sud, il doit en rester 3 – 4.

Donc, tu vois, j’ai quasiment tout fait. L’Asie Centrale, il ne me reste que le Turkménistan, après il me reste 2 – 3 trucs dans le Middle-East.

Donc, ça devient compliqué de trouver des nouveaux pays. Par contre, il y en a plein qu’on a refait cette année et que j’ai kiffé le refaire. Donc, il y a eu le séminaire de Bruxelles en début d’année, donc, la Belgique, le Kirghizistan évidemment, le Kazakhstan, l’Inde, que j’adore et il faudrait que j’y retourne bientôt. Les Emirats, la Suisse, la France, l’Equateur où je suis resté longtemps, le Panama, et le Paraguay, pour mes résidences, la Colombie, le Mexique, la Malaisie que je n’aime vraiment pas trop. J’y suis allé 3 fois et j’ai vraiment eu du mal à aimer. Et, l’Indonésie où on est en ce moment.

Donc, on a quand même fait 20 pays cette année. Donc, je pense que ça reste correct. Ça fait plus d’un pays par mois. Donc, tu vois, on bouge, quand même, pas mal, mine de rien. C’est là en faisant des maths que je me rends compte qu’on a quand même un bon rythme. Donc, voilà.

Quoi d’autre sur le côté lifestyle ? Donc, je te disais j’aime cette vie-là. Partout où je vais, on rencontre du monde. Je ne vais pas te mentir, on a toujours cette vie de célibataire. Donc, que ce soit au Panama, au Paraguay, au Kazakhstan, au Kirghizistan, l’Indonésie, l’Equateur, tous ces pays-là, même la Bolivie, on a rencontré du monde. On s’est amusés, on vit cette vie de célibataire. Donc, c’est super agréable parce que c’est des expériences qui sont toutes uniques.

Evidemment, quand tu rencontres des filles, que ce soit en Tunisie, en Colombie, Kirghizistan, l’Indonésie, c’est des expériences différentes parce que tout le monde a une culture différente, des traditions différentes, une religion différente, une façon de considérer un Français ou un Italien, ça dépend de comment je me présente, de façon différente. Donc, ça amène à des situations différentes. L’environnement dans la ville, il est différent. Donc, tu ne vas pas forcément aux mêmes endroits, tu ne fais pas forcément les mêmes choses.

Donc, c’est super agréable. C’est pour ça que moi, j’adore cette vie-là. C’est que tout le temps je rencontre des gens nouveaux, différents, qui m’apprennent quelque chose à leur façon. Et, ça te fait grandir en tant qu’homme, tu vois.

Aujourd’hui, les voyages, quand tu rencontres plein de gens différents, c’est ça qui te fait grandir, qui te fait comprendre comment fonctionne le monde.

Malheureusement, trop de gens, aujourd’hui, sont centrés sur eux-mêmes et pensent comprendre d’après leur propre prisme comment fonctionne la vie et le monde. Mais, je peux dire que quand tu as rencontré quelqu’un qui vit au fin fond de la Colombie comme je suis allé, fin fond du Kirghizistan, fin fond de l’Equateur où je suis allé aussi, tu vois, qu’il y a plein de gens qui vivent très différemment de toi et qui ont des prismes différents sur la réalité de ce monde et c’est super intéressant.

Parfois, un peu triste, parce qu’il n’y a pas toujours les mêmes opportunités pour tout le monde. Il y a plein de gens qui souffrent, ça je me rends vraiment de plus en plus compte. C’est que les problèmes d’argent, c’est vraiment quelque chose de sérieux dans ce monde.

J’ai vraiment l’impression : énormément de gens qui sont en manque d’argent et ça les amène à de la dépression, ils sont tristes, ils sont … Il y en a beaucoup qui sont éteints à cause de ça. A cause du manque d’argent, déprimés, ils ne voient pas de perspectives saines de s’en sortir. C’est vraiment compliqué parfois.

Donc, ça ouvre les yeux et ça fait relativiser encore une fois sur la chance qu’on a. Et, clairement, je n’ai pas de problème. Clairement, aujourd’hui, je n’ai pas de problème.

Justement, vis-à-vis de ça, depuis que j’ai 30 ans, et cette année aussi, je me suis vraiment rendu compte que j’ai envie de vivre avec un grand V, un grand I, un grand V, un grand R, un grand E. Gagner pour gagner de l’argent, c’est bien mais la vie c’est juste trop bien.

C’est juste trop cool, je me réveille tous les matins, je suis trop heureux d’être encore en vie, je me couche tous les soirs, je dis merci à Dieu, à qui tu veux mais je dis merci, je suis trop content d’avoir vécu cette journée. Je me la refais cette journée et je me dis : « J’espère que demain je me réveillerai ».

Je m’en rends compte aussi peut-être qu’en fait là, je suis à mon prime. Tu vois, ça veut dire que j’ai 31 ans, je ne suis pas encore dégueulasse physiquement.

Bon, je n’ai peut-être jamais été vraiment très frais non plus physiquement mais, ça va, je suis potable. J’ai de l’argent. J’ai un bon passeport, je suis éduqué, j’ai reçu une bonne éducation, j’ai un business, je suis indépendant, j’ai beaucoup de temps, j’ai beaucoup d’argent par rapport à la moyenne, je peux aller où je veux quand je veux.

Des fois, je prends du recul aussi sur ça. Et, je me dis : « Putain, mais, je suis à mon prime ». Tu vois, quand je rencontre pleins de gens justement toutes ces filles à droite, à gauche, elles me le font comprendre indirectement ou directement. Des fois, elles me disent : « Mais, tu as trop de chance ».

Encore une fois, la chance, ce n’est pas de la chance. Mais, quand même par rapport à quelqu’un qui est né au fin fond de l’Indonésie ou que sais-je, j’ai gagné à la loterie de la vie, on ne va pas se mentir. Je suis né au bon endroit, au bon moment.

Et, des fois, je me dis : « Putain, ouais, profites-en. Il faut vraiment vivre avec des lettres majuscules parce que le temps passe vite ». Et, là, j’ai la trentaine, je suis frais, j’ai de l’énergie, j’ai la santé, Dieu merci, j’ai la santé. Tu vois, je me réveille tous les matins, j’ai la santé. Dieu merci.

Je ne me pose pas de questions pour manger, pour prendre un avion, pour dormir à l’hôtel. Donc, c’est incroyable, c’est incroyable. Et, donc, là vraiment, je m’en fous de gagner plus d’argent. C’est pour ça qu’on va parler juste après du business. Mais, gagner de l’argent pour gagner de l’argent, ça ne me fait vraiment ni chaud ni froid.

En fait, j’ai fait le taf pendant la vingtaine. J’ai fait plusieurs millions d’euros. Ces millions d’euros, je ne les ai pas cramés bêtement dans des locations, dans des penthouses à Dubail, j’ai toujours tout réinvesti tout de suite. C’est pour ça qu’aujourd’hui, j’ai un patrimoine à plusieurs millions d’euros qui fait que je suis serein d’esprit et que maintenant, tout ce que je gagne, c’est du bonus mais je n’ai plus besoin de gagner cet argent.

Donc, tu vois, par exemple, sur le business en ligne, un client qui m’emmerde, je ne cherche même pas, je ne cherche même pas, tu vois genre : « Je t’aide, je t’aide, tu ne crois pas en ma valeur, ou tu sens que je ne peux pas t’aider, vas voir ailleurs ».

Donc, vraiment beaucoup plus de chill, beaucoup plus détaché par rapport à l’argent. Et, voilà.

Que te dire de plus, les amis ? L’apprentissage des langues. On a commencé à apprendre l’espagnol cette année. On n’a arrêté que dès que j’ai quitté l’Amérique du Sud. Donc, c’est encore loin d’être maîtrisé. Le russe, ça fait longtemps que je n’ai pas pratiqué donc, j’ai l’impression que je n’ai pas tout perdu évidemment, je peux encore bégayer.

Mais, ce serait bien quand même qu’en 2025, on puisse vraiment reprendre tout ça parce que j’aimerais vraiment être fluent en russe et espagnol. Et, là, ça fait un petit peu longtemps que je n’ai pas pratiqué tout ça.

Livres

Que te dire de plus ? Avant de parler du business en ligne, on va parler du livre, la Magie des Dividendes. On en a vendu beaucoup, les amis. Je ne sais pas à combien on est. Je sais qu’on était vers les 15.000 il n’y a pas très longtemps. Mais, il est quand même en perte de vitesse ce livre.

Alors, je ne fais plus de publicité payante sur Facebook et compagnie, donc, c’est probablement pour ça. Mais, globalement, même si on en vend encore vraiment pas mal, tous les jours, je suis vraiment surpris, il dure vraiment longtemps ce livre. Mais, il y a un petit peu quand même une petite perte de vitesse.

Alors, est-ce que je vais ressortir un livre ? Je ne sais pas, je ne sais pas. Peut-être. Surveille quelque chose, il va peut-être se passer quelque chose au premier trimestre 2025, je ne t’en dis pas plus, je pense que tu as compris avec ce petit teasing. Passons directement au business en ligne.

Je vois que ça fait déjà 25 minutes que je parle et j’ai pas mal de choses encore à te dire.

Business en ligne

Le business en ligne. Alors, justement. Je t’en parlais un petit peu, je ne suis plus à la course du chiffre d’affaires. Je peux t’aider, je t’aide, tu sens que je ne peux pas t’aider, il n’y a pas de souci. Mais, en tout cas, mon chiffre d’affaires, pour être totalement transparent, il est en baisse. Après, il faut avoir en tête que 2020 – 2021 – 2022 étaient des excellentes années. 2023 – 2024, ça baisse.

Alors, quand je dis que ça baisse, attention, il y a encore plein de gens qui rêveraient de faire le chiffre d’affaires que je fais tout en ayant le lifestyle que j’ai. Donc, avoir ce temps, cet argent, voyager toute l’année.

J’ai largement encore suffisamment de bénéfices pour pouvoir réinvestir à droite, à gauche, avoir des liquidités, etc… Donc, je ne vais clairement pas me plaindre. Mais, voilà, quand on a été habitué à gagner plus d’argent et qu’on voit que le chiffre d’affaires il baisse, c’est toujours un petit peu chiant psychologiquement parlant. Mais, en même temps, il faut voir aussi qu’en face je ne mets pas forcément toujours les efforts nécessaires pour faire le maximum.

Moi, aujourd’hui, comme je te l’ai dit, je suis en mode vivre, je veux vivre, je veux profiter tant que je suis frais et jeune, avec la santé. Et donc, je n’ai pas envie de passer 8 heures, 22 heures sur mon ordi à bosser ou à lancer de nouveaux projets, je m’en fous, tu vois.

Quand je vois sur YouTube des gamins « de 20 ans » qui font ça, je leur dis : « Les gars, respect, c’est le moment de le faire ». Et, je l’ai fait à cet époque-là. Je refusai des soirées de nouvel an, des soirées tout court quand j’avais 21 ans parce que je voulais bosser sur mon business. Mais, maintenant, j’ai envie de kiffer.

Donc, ça baisse mais je ne vais vraiment pas me plaindre. Globalement, les gens dépensent moins quand même. Je sens que c’est beaucoup plus dur de convertir les ventes par rapport à ne serait-ce qu’il y a un an ou 2 ans. Aujourd’hui, les gens réfléchissent beaucoup plus, je trouve. Et j’ai l’impression que chaque euro qui sort pour eux est une difficulté.

Du coup, de mon côté, j’ai l’impression que chaque euro qui rentre est mérité, tellement les mecs ils ont tellement galéré à sortir l’argent.

Mais, encore une fois par rapport à 2020 – 2021 – 2022, je m’en rappelle, c’était des années folles. J’étais au Kirghizistan, les journées à 10.000 €, elles pleuvaient. Je me levais, c’était déjà là, l’argent. Il y avait des journées au Kirghizistan, je dépensais 20 € par jour, j’avais encaissé 10.000 euros.

Et, des journées comme ça, il y en a eu pleins plein plein. Donc, vraiment, 2020 – 2021 – 2022, l’après covid, l’argent pleuvait. Je ne sais pas, les gens avaient trop d’argent ou étaient tous chez eux, se renseignaient en ligne, je ne sais pas, c’était vraiment facile à cette époque-là. Avec le recul, je ne m’en rendais compte sur l’instant T, je trouvais ça normal sur l’instant T mais, maintenant, je me dis : « Putain, quelle dinguerie. Très très très régulièrement, des 10.000 € par jour ». L’argent venait, les gens venaient tout seul, ça tombait, ça tombait, il y a juste à les encaisser, les encaisser, les encaisser. C’était assez fou.

Donc, voilà les amis. Quand même une conclusion sur le business en ligne, c’est que je me suis rendu compte d’une chose, c’est que ce que je fais c’est du B to C. Je vends à des particuliers sur un sujet qui est l’argent à des Français, donc, des mecs, des Français.

Grosso merdo, on ne va pas se mentir, les français et l’argent, tu vois, c’est très compliqué de leur faire comprendre que l’argent ce n’est pas mauvais, l’argent il faut l’investir, l’argent il ne faut pas le stocker sur une épargne, et que l’assurance-vie c’est sûrement une mauvaise idée, et que le PEA ce n’est pas magique.

Bref, il y a quand même un gros travail à faire. Et, je me suis rendu compte que si tu arrives à vendre du B to C à des Français sur un sujet qui est l’argent et à faire plusieurs millions d’euros, à priori, c’est qu’en marketing ou en vente, tu n’es pas trop mauvais.

Mais, quand même, ça me saoule, je ne vais pas te mentir. J’ai de moins en moins de patience. Encore une fois, je te l’ai dit : moi, j’ai fait plusieurs millions d’euros, je les ai stockés, je les ai investis, j’ai mon patrimoine et j’ai de moins en moins de patience, tu vois.

Il y a 10 ans, chaque euro comptait, c’est-à-dire, je faisais une vente à 29 €, je te la grattais la vente, je te la prenais. Maintenant, si le mec il me saoule, que je vois que c’est un peu un neuneu, j’ai beaucoup moins de patience.

En fait, je kiffe beaucoup plus l’approche start-up aujourd’hui, comme je te le disais dans cette vidéo, c’est vraiment sur ça que je vais focus personnellement. Et, je pense via le business, c’est sur les start-ups parce que je vois que tous mes clients start-ups, ils sont excellents. C’est des bons profils, qui ont de l’argent, qui ont des entreprises, qui ont déjà du patrimoine, qui comprennent, qui percutent, qui n’ont aucun souci à investir, qui comprennent l’importance de faire tout ça. Donc, ça j’adore cette typologie de clients.

Aujourd’hui, quand je parle de dividende, quand je parle d’actions, en fait, c’était bien il y a 5 ans, quand j’ai commencé il n’y avait personne sur le marché, j’étais tout seul. On était 2 ou 3 à parler d’actions à dividendes.

Aujourd’hui, tout le monde parle d’actions à dividendes, tu as l’impression que tout le monde est pro-tracker, tout le monde est pro-PEA… Bref, il y a énormément. En fait, le marché, il a vachement maturé. Probablement, sans me jeter des fleurs, grâce à moi. Parce que de toute façon, mon livre, La Magie des Dividendes, je vois très bien qu’il a inspiré beaucoup de personnes à créer des contenus. Ça, c’est cramé, il y a des gens qui ne sont pas très futfut, pas très discrets, ils pompent un peu trop le travail. Bon, je n’ai jamais rien fait, je n’ai jamais rien dit parce que je m’en fous et je prends ça comme un compliment. Mais, en tout cas, il y a quand même un marché qui a maturé sur ce sujet-là.

En fait, quand j’ai commencé le business en ligne il y a 10 ans, je parlais de bourse, d’immobilier, d’un peu de tout. Et, j’étais le seul aussi en 2014. Rappelle-toi, il n’y avait personne sur internet. Aujourd’hui, j’ouvre YouTube, et, il y a des dizaines de mecs que je ne connais pas qui font des petits vlog, des petites vidéos sur leurs parcours business. Donc, c’est incroyable de voir que le marché, il a vraiment grossi. Mais, c’était facile à l’époque.

Après, j’ai commencé à parler d’actions à dividendes, parce qu’il n’y avait personne. Maintenant, il y a beaucoup trop de personnes, donc, je pense que clairement, je ne vais vous parler, les gars, que de start-ups. Voilà, coup d’opportunités, c’est des clients que je préfère plus, qui ont plus d’argent, qui bégayent moins, qui percutent plus.

Et, là, au moins, je sais que je ne vais pas avoir de concurrence parce que les sourcing du deal au sein du Y Combinator, dans la Silicon Valley, tout le monde ne pourra pas le faire comme je peux le faire, moi, aujourd’hui.

Donc, je pense qu’on va recentrer un peu Club Millionnaire sur le côté start-ups. J’accompagnerai évidemment toujours sur les actions à dividendes pour ceux qui veulent toujours. Je ne dis pas que tous les services autour de ça, les formations ne seront plus mises à jour, rien ne va changer. Tout sera toujours là, le Club Dividendes, etc… Mais je pense que ma communication sera plus orientée sur les start-ups, les amis.

Patrimoine

De quoi on va parler avant de clôturer ? le patrimoine. Le patrimoine, il est en augmentation. Crypto et bourses ont bien fait monter vers le haut, l’immobilier c’est stable, les prix du mètre carré n’ont pas forcément beaucoup évolué. Le portefeuille de start-ups, c’est stable. Stable aussi parce qu’il n’y a pas eu de nouvelles levées de fonds qui ont permis de re-acter des multiples de valorisations.

Donc voilà, sur le patrimoine, comme je le disais sur Instagram, pas de grosse augmentation mais ça monte. Donc, c’est cool, tout suit son cours.

En conclusion, les amis, parce que ça fait déjà 30 minutes que je te parle, tout va bien. En conclusion, tout va bien. On a la santé, on a l’argent, on a le temps, on s’amuse aux 4 coins du monde, j’ai envie de te dire : C’est un peu la vie que je rêvais d’avoir quand j’ai commencé à entreprendre il y a 10 ans. ClubMillionnaire, aujourd’hui, a 10 ans.

D’ailleurs, c’est pour ça que, lis-bien la barre de la description, il y a une offre spécialement pour l’anniversaire du blog ClubMillionnaire qui a déjà 10 ans. Mais, voilà, quand j’ai commencé il y a 10 ans, c’était vraiment ce que je voulais atteindre, l’indépendance financière, comme on l’appelait, pourquoi pas devenir millionnaire, un jour.

Je le suis devenu à 27 ans, mais c’était un objectif quand j’ai commencé il y a 10 ans. Etre libre, pouvoir voyager, je rêvais de voyager, je rêvais d’aller aux 4 coins du monde, c’est ce que je suis en train de faire. Donc, Dieu merci, tout va bien, on a la santé, on a l’argent, on a le temps. Et, c’est sur ça qu’on va clôturer cette vidéo, les amis.

Dis-moi, toi, dans les commentaires si ton année 2024 était excellente ou pas. Dis-moi ce que tu as fait, ce que tu n’as pas fait, si tout est allé dans ton sens. Dis-moi tout dans les commentaires, je veux savoir si vous aussi, a été une bonne année, ou si au contraire, ça a été un petit peu difficile, puisqu’on a des années plus ou moins bonnes parfois.

Donc, voilà les amis, lis bien la barre de la description, également, premier lien dans la bio pour profiter d’un petit cadeau de début d’année qui disparaitra dans les prochains jours. Donc, clique bien tout de suite et regarde ça tout de suite. Et, je te dis à très très vite pour commencer 2025 dans, on l’espère, une très bonne énergie. Ciao ciao.