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Le Instagram de Noémie : leaderexportguangzhou
Lors de mon premier voyage en Chine, il m’est arrivé un petit soucis de santé lors de mon deuxième jour qui m’a emmené tout droit aux urgences en ambulance. Le genre de situations qu’on a pas envie de vivre, surtout quand on est tout seul dans un pays un peu plus compliqué que les autres à appréhender (et même quand on a déjà fait 117 pays !).
Je t’explique en détails ce qui m’est arrivé et les 5 leçons sur l’argent que cette situation m’a rappelé. J’ai vraiment été heureux d’avoir développé mon patrimoine et mon réseau lorsque je me suis retrouvé dans cette situation, seul, en Chine.
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Mon passage aux urgences en Chine : 5 leçons sur l’argent
Retranscription de la vidéo :
J’ai passé une journée entière aux urgences en Chine, les amis. Et, je vais te partager tout ce qui s’est passé et surtout 5 leçons que je retiens de cette malheureuse aventure, 5 leçons extrêmement importantes qui a un rapport avec l’argent, le réseau et tout ça.
On est ici en Thaïlande, dans la province thaïlandaise, dans le nord de la Thaïlande, la région de l’Isan. Une ville qui s’appelle Khon Kaen, je ne sais pas comment bien la prononcer.
Je suis ici un petit peu pour me reposer, frérot. Tu vois, là, j’ai une attelle pour mon épaule que j’ai cassée. Je vais t’expliquer comment et pourquoi. Je viens, ici, un petit peu pour reprendre un peu d’énergie, tu vas, un petit peu plus comprendre vis-à-vis de ce qui m’est arrivé en Chine, me ressourcer.
C’est vrai que j’ai passé 3 mois dans des grosses mégalopoles asiatiques où la vie va parfois à 200 à l’heure où tu es tout le temps si stimulé, tu as plein de choses à faire, les villes ne dorment jamais. Et, je pense que ça m’a un petit peu fatigué avec un mélange d’autres paramètres.
Bref, les amis, qu’est ce qui s’est passé ? Qu’est ce qui nous est arrivé en Chine ? Alors, je te remets un petit peu le contexte. Première fois que je me rends en Chine, donc, un pays que j’avais vraiment envie de visiter. Mais, comme tu dois le savoir, c’est parfois un petit peu compliqué sur tout ce qui est argent et internet. Puisque pour internet, tu as un grand pare feu chinois qui bloque pas mal de ce qu’on utilise en occident en terme de réseaux sociaux que ce soit Facebook, WhatsApp, Telegram et compagnie. Donc, il y a ça que tu dois contourner.
Et, ensuite, tu as tous les moyens de paiement. Tu as Visa, tu as MasterCard et compagnie, tu peux littéralement oublier. Eux, ne s’en servent pas. Tout se passe sur leur téléphone avec ce qu’on appelle Alipay, WeChat et compagnie.
Grosso merdo, tout ce que tu connais, toi de ton côté avec Uber, pour te faire livrer ta nourriture, pour payer, tu peux tout oublier et tu recommences de zéro. Tu dois t’intégrer dans un écosystème chinois qui « te fait un petit peu flipper » avant d’arriver parce que tu n’es jamais sûr que ça marche à 100%, que ton Alipay va bien être connecté à ta carte européenne et compagnie et compagnie. Donc, c’est toujours un petit peu ce moment de stress.
Donc, ça c’était le premier jour et j’ai galéré. Puisqu’il y avait quelques transactions Alipay qui ne passaient pas quand je voulais payer. Donc, il a fallu s’arranger avec les chinois. Ensuite, mon VPN, les 3 VPN que j’avais buggaient pas mal le premier jour.
Donc, tu as vu, c’est une arrivée où tu dis : « Merde, si je n’ai pas internet, et si je n’ai pas d’argent, dans un pays comme la Chine où tu es tout seul, c’est un peu compliqué ».
Donc, ça, c’était mon premier jour en Chine.
Deuxième jour, figure-toi que je me fais réveiller « en pleine nuit ». Alors, je me fais réveiller. Personne n’est rentré dans ma chambre, rassure-toi. Mais, je me couche vers 4 heures du mat, donc, très standard pour moi. Par contre, je suis réveillé à 7 heures 50, beaucoup moins standard pour moi, puisque, d’habitude, je me réveille plutôt vers 10 – 11 h, midi. C’est mon rythme de vie. Et, là, je me fais réveiller.
Et, en fait, j’ai une douleur, j’ai une douleur, j’ai une gêne dans mon corps, je sens que quelque chose ne va pas. Et, je me lève, je sens que je commence à perdre le contrôle de moi-même, que je commence à avoir la vision floue, que j’ai des coups de chaud.
Et, là, je me dis : « Raph, ça ressemble fortement à un malaise, ce que tu es en train de faire ». Je commence à paniquer, je me dis : vas-y, je suis tout seul dans ma chambre d’hôtel. Deuxième jour en Chine, ce n’est vraiment pas l’endroit où j’ai envie de faire un malaise, de tomber tout seul dans ma chambre d’hôtel, qu’on me retrouve mort.
Donc, je commence à ouvrir la porte de ma chambre d’hôtel pour au cas où tomber dans le couloir et qu’on puisse me retrouver, tu vois.
Je commence à me mettre des gifles, je me mets de l’eau froide. J’essaie de « rester en vie » mais je ne sais pas, je tombe. Je finis par tomber de je ne sais quelle façon. C’est un malaise. On ne s’en rappelle pas.
Sauf que je me réveille, j’imagine quelques secondes plus tard, avec une grosse douleur bien vive dans l’épaule droite. Je me dis : « Houla, qu’est ce qui s’est passé ? » J’ai des égratignures sur le corps, sur l’épaule gauche, sur la main. Je me dis : « Mais, frérot, là, il s’est passé quoi, c’est une dinguerie ».
Je temporise un peu dans le lit et je décide quand même d’aller dans une clinique dans la matinée pour faire un petit bilan, tu vois. Parce que deuxième jour en Chine, je fais un malaise, qui, quand même, me provoque une très grosse douleur vive dans l’épaule droite. Je me dis, c’est quand même chelou.
Donc, je vais dans une clinique. Et, là, devant le docteur, 2 minutes après que je commence à lui expliquer ce qui s’est passé, je refais un malaise devant lui. Mais, là, je pense plus psychologique, en mode : « Putain, deuxième jour en Chine, j’ai galéré la veille avec internet, avec l’argent, là, je suis dans une clinique, j’ai grave mal à l’épaule ». Je lui explique ce qui s’est passé, que je commence à me sentir mal, et je retombe. Là, je pense que c’était plus psychologique, un petit coup de chaud, un coup de pression. Mais, je suis retombé.
Et, là, directement, il m’a dit : « Je ne peux rien faire pour toi. On a appelé tout de suite une ambulance et on t’emmène aux urgences pour que tu fasses des tests ». Là, je me suis dit dans ma tête : « Putain de merde, sérieux, je n’ai pas envie d’aller là-bas. Je suis sûr que ce deuxième malaise, en plus, il est psychologique. Mais, je n’ai vraiment pas envie ». Mais, bref, je me dis : « Au cas où, on y va ». On ne sait jamais, frérot. La santé, c’est important.
Donc, là, une ambulance qui arrive. Je suis entouré de Chinois dans l’ambulance, je suis tout seul. Ils commencent à me mettre sur le cœur, tu sais, les ondes pour faire un ECG. Je regarde par la fenêtre, dehors, en dehors de l’ambulance, je vois que tout est écrit en chinois. Le mec met les sirènes, je me dis : « Frérot, je suis dans un film. Ça y est, c’est fini, mon heure est arrivée, je vais canner en Chine, à mon deuxième jour ». C’est ridicule comme situation.
Bref, on arrive aux urgences. Les urgences sont ce que sont les urgences. Donc, il y a des gens qui meurent autour de toi. C’est un peu le chaos, tu ne parles jamais à la même personne. Personne ne parle anglais, ça ne parle que chinois.
Donc, heureusement, une nana de la clinique était venue pour m’accompagner, comprenant que si j’allais là-bas, tout seul, j’allais « à l’abattoir ». Personne ne me prendrait en charge, personne ne me comprendrait.
Et, donc, j’ai passé toute la journée aux urgences, non pas parce qu’ils ont fait plein de trucs mais parce qu’il fallait attendre, attendre, attendre, que c’était long, qu’il y avait plus urgent que moi. Et, les urgences, que ce soit en France ou en Chine… je pense qu’en Chine, c’était quand même mieux. On a attendu quand même beaucoup moins longtemps. Mais, ce n’était vraiment pas marrant.
Donc, voilà, pour te la faire courte, après ça, je me suis rapatrié à Bangkok, pour faire des tests à Bangkok Hospital, un hôpital réputé, si tu ne connais pas, qui est génial. Et, ils ne m’ont rien trouvé, on a fait quand même plusieurs ECG, on a fait scanner du cerveau. Donc, l’épaule, elle est bien pétée, la clavicule.
On a fait des tests de sang, on a fait des tests d’urine, on a fait des tests de selles. Bref, ils ont fait plein de trucs, ils n’ont rien trouvé qui pourraient justifier les malaises. Ils m’ont recommandé de me tourner vers le neurologique ou le cardiaque, j’y crois assez peu.
Je pense surtout qu’il y a eu un mélange d’intoxication alimentaire puisque la semaine auparavant, j’en ai fait 2 dans la semaine, en Indonésie. Ensuite, mon fasting, mon jeûne intermittent, peut-être que, à un moment, ça n’a pas été le bon timing pour lui et il n’avait pas assez de ressources, mon corps, pour assumer tout ça. Le stress d’arriver en Chine. Pas mal de pollution où je suis resté 2 mois à Jakarta, donc, tous les jours tu respires de la merde.
Bref, je pense que j’ai eu un petit coup de trop. Mon corps, il m’a dit : « Frérot, calme-toi. La vie à 200 à l’heure, comme ci à droite, à gauche. Bref, calme toi un peu frérot, prends un peu de recul ». Il m’a fait un rappel.
Donc, je vais faire attention un petit peu sur mon rythme et sur ce que je mange. Parce que c’est vrai que je n’ai pas forcément l’alimentation la plus bonne du monde.
Mais, voilà, ça c’est le topo, frérot, de ce qui m’est arrivé en Chine, sur mon deuxième jour. Donc, troisième jour ou quatrième jour, je me suis barré. Je me suis dit : « Frérot, on reviendra dans de meilleures conditions ». Parce qu’encore une fois, ce n’est pas l’endroit où j’ai envie d’avoir des problèmes de santé.
Et, puis, surtout, tu es un peu paranoïaque après. Tu dis : « Putain, merde, et si je retombe, si je refais un malaise encore dans ma chambre tout seul ». Le soir où je suis rentré, je me suis couché, franchement, je n’étais pas serein. Je me suis dit : « Putain, je suis tout seul en Chine, c’est chiant », tu vois. Tu as un peu de stress.
Donc, après, tu as le psychologique qui entre en jeu, où quand tu as le moindre truc sur ton corps qui te parait bizarre, ton cœur, il bat un peu trop vite, ça te gratte à un endroit, je ne sais pas quoi, tu te dis : « Allez, ça y est, j’ai un cancer ». Donc, frérot, voilà.
Venons-en, les amis, aux 5 leçons que je retiens de tout ça. Je m’excuse si je filmais un petit peu comme un raté, là. Je filme de la main gauche. Et, je te jure que ce n’est pas évident, j’ai déjà mal à mon tout petit biceps, frérot. Donc, j’espère que je ne cadre pas trop mal.
5 leçons que je retiens de ce qui m’est arrivé en Chine autour de l’argent et du réseau.
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L’argent
La première, on va parler directement de l’argent. Quand j’étais à la clinique et qu’ils m’ont appelé l’ambulance, là, ils m’ont dit : « Est-ce que tu as une assurance ? Est-ce que tu veux qu’on les appelle pour qu’ils prennent en charge tout puisqu’aux urgences, ça va potentiellement coûter un peu d’argent ? ». Je leur ai dit : « Oui, j’ai une assurance, mais, non, on ne les appelle pas, juste emmenez-moi, terminé ».
Aux urgences, évidemment, ils te font payer avant. Donc, même dans l’ambulance. J’étais dans l’ambulance, allongé, ils me mettaient des trucs sur le cœur, ils me débitaient, en même temps, parce que le trajet en ambulance, ce n’est pas gratuit.
Une fois aux urgences, avant de faire la moindre chose, il faut payer. Donc, là, ils me faisaient payer, tu sais, les scans, des QR codes, pour payer avec Alipay. Je galérais, je n’arrivais pas, tu sais, je n’avais pas assez l’énergie, je n’avais pas la tête à ça.
Donc, c’est la nana de la clinique qui payait pour moi, qui prenait mon téléphone et qui payait, je m’en foutais du prix. Et, là je me suis dit : « Franchement, je n’en ai rien à foutre, débitez-moi ce que vous voulez, les gars, juste faites-moi les tests, juste faites-moi ressortir d’ici, en vie, avec une bonne nouvelle. Le reste, on s’en remettra ».
Et, donc, ça, je me suis dit : « Putain, quel confort, quand même que d’avoir de l’argent ». Que de se dire : qu’en fait, la santé, on peut la payer, on peut la payer. Quand ça ne va pas et qu’il faut payer, on est là, on a une assurance qui prendra en charge derrière ou pas. Et, sur l’instant T, s’il faut tout avancer, que ça soit 1.000, 2.000, 3.000, 5.000, je n’en ai rien à foutre, juste débitez-moi.
A la fin, c’était, je pense 800 €. Mais, pour beaucoup de personnes, en Chine surtout, 800 €, c’est énormément d’argents. Donc, ça c’était ma première leçon de me dire : « Raph, c’est bien. Tu as assuré ton confort financier pendant ta vingtaine ».
Putain, les gars, c’est quoi, ça, c’est un crocodile ou … peut-être pas trop marcher vers là-bas, les gars. Ça doit être un varan mais il est costaud, celui-là. Ce n’est évidemment pas un crocodile, en tout cas, j’espère.
Donc, voilà, le confort financier que j’ai construit pendant ma vingtaine. Je me suis dit : « Franchement, ça a rassuré vraiment sur l’instant T en étant à l’autre bout du monde et en se faisant débiter, débiter, débiter ».
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Le réseau
Ensuite, ce que je me suis dit c’est que le réseau, c’est extrêmement important, les amis. Pourquoi ? Parce que grâce à 2 personnes, que je connaissais, qui habitaient dans cette ville de Canton de Guangzhou, en Chine – puisque c’était à Guangzhou, si je ne te l’ai pas dit, ça a vraiment pu m’aider.
Parce qu’en fait, quand j’étais à la clinique et que j’ai fait ce malaise, on m’a dit : « Est- ce qu’il y a quelqu’un que tu connais ici, qui peut venir avec toi et qui parle chinois ? Parce que si tu n’as personne qui parle chinois et qui peut venir avec toi, nous, on ne peut pas t’emmener aux urgences, ça sera beaucoup trop compliqué », comme je te l’ai dit.
Et, donc, là, j’ai appelé cette personne qui est, en fait, un membre de la communauté Clubmillionnaire, qui est venu au séminaire il y a 2 ans, qui est membre des programmes, etc. et qui vit à Guangzhou, à Canton avec son mari, et que j’ai appelé. Noémie et son mari, parlent chinois.
Donc, là, je me suis dit : « Bon, je vais les déranger ». Ce n’est vraiment pas ce que j’avais envie de faire. Mais, je n’avais vraiment pas d’autres choix. Et, puis, je ne vais pas te mentir, c’était aussi un petit peu rassurant que d’avoir du monde avec toi dans cette situation totalement loufoque que tu n’as pas normalement envie de vivre.
Donc, ils ont passé 10 heures avec moi aux urgences. Donc, tu imagines que je leur dois plus d’une chose, les amis. Et, justement, ces personnes-là, font du business d’import-export depuis la Chine. Ils sont basés à Canton à Guangzhou, et si vous avez besoin d’importer quoi que ce soit en toute l’Europe ou toute l’Afrique, eux, ont les prix d’usine et sont en mesure de vous envoyer des containers directement dans toute l’Europe et dans toute l’Afrique.
Donc, je vais te mettre dans la barre de la description leur contact, le site internet, etc… pour que tu puisses les contacter si ce genre de chose peut t’intéresser. Je leur dois également au moins ce petit coup de pub. Donc, n’hésitez pas à les contacter puisqu’ils m’ont vraiment bien sauvé la vie et en plus d’être membres de la communauté, ce sont vraiment des gens formidables. Donc, n’hésitez pas à les contacter si vous avez des besoins dans ce sens-là.
Et, donc, là, je me suis également rendu compte de l’importance du réseau, les amis. Parce qu’en fait, aujourd’hui, je me rends compte que à peu près n’importe où, où je vais dans le monde, j’ai toujours du monde que je connais.
Donc, il y a des hubs qui sont évidemment plus gros que d’autres, si tu parles de Dubaï, de Bangkok, de Panama, de l’Estonie, et des endroits où il y a plus d’entrepreneurs où j’ai plus de réseau qu’ailleurs. Mais, tu vois, même à Canton, Guangzhou – c’est un lieu qui est quand même connu pour le business, on ne va pas se mentir avec la foire de canton – mais, même en Chine, à l’autre bout du monde, finalement, j’ai quand même des gens qui sont expatriés, ici et qui vivent ici.
Et, donc ça, ça m’a tellement aidé, tellement rassuré sur l’instant T. Okay, ce n’était pas un rendez-vous fun, je ne les ai pas appelés en mode fun. On devait se voir, à la base, pour un resto sympa, posé, etc…
Je les ai appelés pour les faire galérer. Ils avaient une randonnée à faire et ils sont venus 10 heures aux urgences avec moi pour me balader de service en service, traduire en chinois, parler en chinois avec les docteurs, comprendre, récupérer les documents, parce que c’était une catastrophe pour récupérer ne serait-ce que les rapports médicaux et les bilans des tests.
Donc, je leur dois vraiment beaucoup. Donc, là, le réseau, encore une fois, les amis, ne le négligez pas. C’est vraiment super important et on ne sait jamais à quel moment, comment, pourquoi, parfois, on va en avoir besoin de son réseau. Mais, vraiment quand on a besoin, et qu’on sait qui appeler pour avoir une solution, c’est tellement puissant.
On en parle souvent dans l’immobilier, dans le business ou dans la fiscalité, l’expatriation, le réseau, c’est extrêmement important mais ça peut être dans des situations comme ça, d’urgence finalement où tu es à l’autre bout du monde, et tu ne sais pas qui appeler, tu es en situation de difficulté, et tu as besoin qu’on vienne « te sauver ».
Parce que franchement, si j’avais été tout seul aux urgences, je ne sais pas comment j’aurais fait. Je m’en serai sorti, j’aurais trouvé quelqu’un qui parle chinois, j’aurais mis une story sur mon Instagram, on aurait… je m’en serais sorti. Je ne doute pas de mes capacités à m’en sortir. Mais, franchement, savoir que Noémie et son mari étaient dans le coin, ça a été vraiment une grande, grande, grande bouffée d’air, les amis.
Je reprends mes petites notes. Qu’est-ce que je m’étais noté ? Ça, c’était le deuxième point, le réseau.
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La santé en priorité
Le troisième point, c’est que la santé c’est l’actif le plus précieux. C’est tellement bateau à dire les amis. Mais, je vous jure que c’est seulement quand on a un problème de santé qu’on se rappelle à quel point c’est précieux. Donc, je commence bien 2025, premier janvier, intoxication alimentaire, 07 janvier, intoxication alimentaire, et 10 janvier, urgences en Chine.
Donc, les amis, là, on a vraiment un coup de pas de bol. Bon, écoute, ça arrive. J’ai envie de te dire : la santé, à ce moment-là, on se rend compte qu’elle est vraiment très fragile.
Encore une fois, ça fait très bateau de dire ça. Mais, je vous jure les amis, l’argent, il est tellement peu important quand on a des problèmes de santé. Là, j’ai du mal avec mon épaule à faire ce que je voudrais faire, je suis lent, je demande à tout le monde de l’aide. C’est comme ça, c’est le jeu de la vie, les amis. Mais, ne prenez jamais pour acquis la santé. Encore une fois, c’est tellement bateau et je n’aime même pas dire cette phrase, tellement c’est bateau. Mais, vraiment, c’est l’actif le plus précieux.
Et, d’ailleurs, dans ce sens-là, on a investi pour le mois de janvier en bourse dans une action à dividendes qui est dans le secteur de la santé. Alors qu’il me faisait de l’œil déjà depuis plusieurs semaines, avant même que j’ai ce petit souci en Chine. Mais, je vous jure que d’être en Chine, de voir à quel point dans cet hôpital, aux urgences à débiter, il y avait des gens malades qui arrivaient dans cesse, des gens en mauvais état, je vous jure ça faisait vraiment de la peine.
Ça m’a rappelé aussi à quel point j’étais heureux d’avoir arrêté mes études de médecine. Parce que c’est un endroit vraiment je trouve, je ne dirais pas toxique, mais qui nuit à ta santé mentale, en fait.
Tu vois, quand tu es confronté au quotidien à la mort, aux gens malades, tu as des gens, ils ont des tubes, tu as des gens… Franchement, j’étais sorti de là, et je me suis dit : « Putain, frérot… Non, ça use », ça use, ça use, ça rend triste, en fait, ça rend tout simplement triste.
Et la santé, quand j’ai investi en bourse dans cette action que je vais d’ailleurs te partager dans une prochaine vidéo ou si ce n’est pas déjà fait, dans la dernière vidéo qui a été publiée, je me suis dit : « La santé, c’est un secteur qui ne connaitra jamais la crise ». Parce qu’en fait, comme je te l’ai dit dans cette vidéo, quand ils m’ont dit : « Il faut payer tant, et il faut payer avant », je leur ai dit : « Les gars, il n’y a pas de souci, prenez l’argent ».
Et, donc, quand on a un problème de santé et qu’on doit se soigner, qu’est-ce qu’on fait, on se soigne tout de suite. C’est une dépense prioritaire. Tout le reste est futile. On n’ira pas au resto, on n’ira pas au casino, on n’ira pas faire ce voyage, on n’ira pas s’acheter ces habits-là, on n’ira pas … On dépense pour la santé d’abord.
Et, donc, vraiment, là, à ce moment-là, je me suis dit : « Ouais, c’est un secteur anti-crise, anti-récession à souhait ». Et, d’ailleurs, l’action qu’on a achetée en bourses pour ce mois-ci, elle a un historique de versement du dividendes qui est phénoménal. Ça fait plus de 100 ans, 110 ans, presque qu’un dividende est versé. Donc, c’est vraiment un truc de fou, les amis.
La santé, investissez dans la santé, aussi bien pour vous qu’en bourse, les amis. C’est super important.
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Oser demander
Et dernier point, que je voulais te dire : « demander = obtenir ». Ça je vous l’ai souvent dit dans le passé. Quand on demande, quel est le risque ? Quel est le risque de demander quelque chose à quelqu’un ? Qu’on nous dise non. C’est comme ça, ça peut arriver. Je ne sais pas, tu es dans la rue, là, tu vois une fille, là-bas qui est sympa, qui marche sur la promenade, tu vas lui demander son Instagram, son numéro, elle te dit non. Voilà, ce n’est pas grave, tu t’en remettras. Tu avances.
Tu demandes un financement bancaire pour un bien immobilier, le banquier te dit non, ce n’est pas grave, tu continues, tu avances, tu vas voir une autre agence.
Demander, au pire, tu te prends un non. Tu ne vas pas mourir. Et, puis, tu continues d’avancer. Par contre, il y a de fortes chances aussi que tu obtiennes, pour pleins de petites choses. Des fois, on a peur de demander pour des choses très ridicules. Des toutes petites demandes, on se dit : « Non, ça ne se fait pas. Non, on va nous dire non ». Et puis, au final, on nous dit oui. On se rend compte quand on demande. Et, là, je me suis vraiment rendu compte que quand tu demandes, on te dit quasiment toujours oui.
Là, avec mon épaule, il y a plein de trucs que je ne peux pas faire. Donc, tous les taxis, je leur dis : « Les gars, vous pouvez descendre me porter la valise ? » Tu leur expliques, tu as l’épaule cassée, ils te disent oui.
Dans l’avion, pareil. « Je ne peux pas monter ma valise dans le compartiment. Est-ce que tu peux le faire pour moi ? – Pas de souci ». Là, je ne peux pas faire-ci, là, je ne peux pas faire-ça.
J’étais au lounge, la dernière fois, il y a 2 jours, avant d’arrivée ici, j’ai pris l’avion depuis Bangkok. Il y avait des fruits qui étaient placés un peu en hauteur dans un frigo, j’ai demandé : « Ils sont un peu trop haut, les fruits, est-ce que tu peux me préparer mon assiette ? » Je les ai fait vraiment assistés au petit enfant ou le mec un peu hautain, tu sais, genre, je ne vais quand même pas faire ça moi-même, je suis dans un lounge. Elle l’a fait avec un grand plaisir, tu vois.
Et, donc, demander égal obtenir. Ça, je me suis rendu compte qu’en fait, finalement, tu as toujours ce que tu veux si tu oses demander. Donc, c’est un bon rappel également à ce niveau-là.
Bref, en conclusion les amis, l’argent c’est important, la santé c’est important, le réseau c’est important, et quand on demande, en général, on obtient plutôt assez facilement tant que la demande n’est pas totalement what the fuck, évidemment.
Donc, voilà les amis, les conclusions de ce passage aux urgences, les amis, dont je me serais bien passé. Mais, bon, je prends ça comme étant une expérience de plus, finalement. On va le prendre avec positivisme. On va juste espérer qu’on ne retombe pas quand même dans les prochains jours, dans les prochaines semaines et que tout aille pour le mieux. Sinon, je commencerais à m’inquiéter. Mais, voilà les amis.
Pour investir en bourse ou en start-ups les amis, lisez bien la barre de la description. Il y a pas mal de ressources qui devraient pouvoir t’aider. On investit parfois dans la santé que ça soit en bourse, dans les actions à dividendes, ou même dans les start-ups. On investit dans le secteur de la santé, notamment en Inde, et, il y en a quelques boites qui se portent à merveille pour le moment. Mais, également, dans la santé, aux Etats-Unis, et ça avance bien aussi.
Donc, voilà, les amis. Toutes ces ressources sont disponibles dans la barre de description. Et, puis, moi, je vais continuer de souffler un petit peu, là, dans cette campagne thaïlandaise où la vie s’écoule doucement, lentement mais surement sans stress et ça fait du bien de respirer, de lever un petit peu le pied. Et, puis, voilà, le soleil est en train de se coucher, les amis. On va aller sûrement sur un petit rooftop se détendre et la journée sera terminée.
Voilà les amis, je vous dis à très très vite et prenez soin de vous. Ciao ciao.
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